Le régime de Macky Sall aux abois, sombre dans une folie totalitaire qui mène le Sénégal au bord du précipice. Alors que les dernières digues de l’état de droit se sont littéralement effondrées comme un château de cartes, la démocratie sénégalaise est désormais l’otage d’un homme, irresponsable, paranoïaque et mégalomane qui ne se fixe plus aucune limite.
Macky Sall a décidé de régner par le vol, la ruse, la fraude, la terreur d’état, l’arbitraire, la forfaiture et le coup d’état électoral permanent, avec la complicité des 7 laquais du Conseil Constitutionnel, des magistrats-valets, dont l’indignité, l’esprit de soumission et la lâcheté, sont synonymes de déshonneur et de génuflexion. Ces 7 tartempions ont trahi la nation sénégalaise et leur serment de remplir fidèlement leurs fonctions, en toute impartialité dans le respect de la Constitution sénégalaise. Après avoir accaparé et pillé les ressources du pays avec sa cohorte de mafieux, saccagé la démocratie sénégalaise, perverti les institutions de la République Macky Sall, compte effacer la république, assujettir les sénégalais et transformer le pays en une propriété aux mains du clan FAYE-SALL.
La résistance à l’oppression dispose d’une valeur juridique indéniable, consacrée par les textes. Les articles 2 et 16 de la Déclaration des droits de l’homme de 1789 visent l’objectif d’une transition de la « liberté contre l’autorité » vers « l’autorité garante de la liberté ». La Déclaration des droits de l’homme énoncée dans le Préambule de la Constitution sénégalaise fait de la résistance à un pouvoir arbitraire un devoir de chaque citoyen. La formule est connue de tous : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, la résistance est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».
Si des potentats sans foi, ni loi comme Bokassa, Idi Amin Dada, Mobutu et Blaise Campaoré ont pu exister en Afrique, c’est parce que les citoyens ont abdiqué leur responsabilité. Tous les segments de la société (intellectuels, étudiants, jeunes, salariés, organisations de la société civile…) doivent opposer une résistance morale à l’arbitraire et être disposés à payer de leur personne pour que la démocratie sénégalaise acquise au prix de hautes luttes, ne vole en éclats. Il n’y a ni état de droit, ni démocratie au Sénégal sous le magistère de Macky Sall.
Dans la situation actuelle, l’heure n’est plus aux atermoiements : les forfaitures de Macky Sall ont atteint un point de non-retour qui l’obligent à user de tous les artifices et subterfuges pour conserver le pouvoir et assurer sa survie et celle de son clan. Dès lors, la lutte contre le régime violent et despotique de Macky Sall est un impératif. Les sénégalais, où qu’ils soient dans le monde doivent se mobiliser pour faire face au MONSTRE.
Il faut combattre ce régime moribond, au besoin exiger le départ de Macky Sall, et faire échec à son funeste projet de diriger le Sénégal, contre la volonté du peuple qui lui a définitivement tourné le dos. Aucune armée, ou aucune police du monde n’est en mesure d’ébranler un peuple déterminé. L’exemple de la Tunisie, de l’Egypte et du Burkina est là pour nous le rappeler. La confrontation entre Macky Sall et le peuple est désormais inéluctable.
Le peuple sénégalais doit faire face à la FORFAITURE : C’EST LUI OU NOUS.
Seybani SOUGOU – E- mail : sougouparis@yahoo.fr
LA RÉSISTANCE EST UN DROIT CONSTITUTIONNEL.
SALAM
Le Sénégal à la croisée des chemins
Il ne fait aucun doute que pour satisfaire les ordres reçus, le juge constitutionnel a allègrement outrepassé ses compétences.
Il n’a pas dit le droit, il a dicté sa « loi », espérant s’abriter derrière l’article 92 de la Constitution, lequel dispose que « les décisions du Conseil Constitutionnel ne sont susceptibles d’aucune voie de recours. Elles s’imposent aux pouvoirs publics et à toutes les autorités administratives et juridictionnelles ».
Mais, par ces dispositions, le législateur n’a nullement voulu permettre au Conseil Constitutionnel de s’ériger legibus soluta, c’est-à-dire se hisser au-dessus et au-delà des lois. La décision du juge constitutionnel, comme celle de tout autre juge, puise sa force dans la loi, qui est l’expression de la volonté du Peuple souverain. Pour s’en convaincre, il suffit de procéder à la jonction des articles 3, 90 et 92 de la Constitution.
En l’espèce, il peut être observé qu’outre la violation de l’article 154 et autres du code électoral, le juge constitutionnel s’est arrogé illégalement le pouvoir d’annihiler, du code électoral, l’unicité des listes de candidature, et même, la notion de « liste incomplète », parce que désormais, un parti ou une coalition de partis pourra aller aux élections soit avec seulement les titulaires, ou seulement les suppléants.
Hélas, le Sénégal qui, jusqu’en 2012, était la vitrine de la démocratie en Afrique de l’Ouest, est devenu la risée du continent.
En effet, tout le monde ne manquera pas de se demander comment un suppléant de Yewwi Askan Wi pourra-t-il être élu au suffrage universel direct ?
Voilà que pour éliminer un adversaire politique, on en arrive à ridiculiser notre pays.
Par cette décision, non seulement le Conseil Constitutionnel s’arroge la souveraineté du Peuple en violant l’article 118 du code pénal pour modifier à sa guise la loi électorale, mais il se paye un tour de passe-passe pour transformer des suppléants en titulaires.
Même pour Benno Bokk Yaakaar, cette alchimie génère un inconvénient (à moins que ce soit un coup fourré de Macky), aucun des titulaires ne pourra prétendre à une autre fonction qu’à son mandat de député (Aminata Touré, Amadou Ba, Diouf Sarr et autres…).
Macky Sall, sous l’aveuglement de la passion du pouvoir, s’est employé dès 2012 à confectionner et à mettre en place un système d’apparence démocratique sans aucune perspective d’alternance démocratique. C’est ainsi qu’il a utilisé, comme arme de destruction, la loi sur l’enrichissement illicite que le Président Diouf, le républicain, avait mis en place comme simple épouvantail ; c’est ainsi, également, qu’il a déployé tout son génie pour faire emprisonner Khalifa Sall.
Aujourd’hui, il s’agit, coûte que coûte, d’éliminer Ousmane Sonko.
Seulement, cette fois, il s’agit de la survie de l’État républicain et de la démocratie dans notre pays. Il ne faut pas que le Sénégal devienne l’ombre obscure du Troisième Reich.
Tous ces gens doivent être poursuivis après le départ de maky car ils sont responsables de tout ce qui pourrait arriver.Quelle honte!
7c’ est un juge constitutionnel qui a brule la Côte d’Ivoire et ce sera un Conseil Constitutionnel qui va brûler le Senegal
On est prêt au combat pour libérer ce pays des griffes de ces fils de putes qui sont macky sall et compagnie .
J’espère que tu ne seras pas un minable lâche Sougou et que tu iras au moins manifester devant l’Ambassade du Sénégal à Paris. Montre une fois dans ta vie Sougou que tu as de vrais couilles… Appeler les gens à manifester dans la rue en étant terré dans ton minable pantaré parisien avec ta tronche de somalien, c’est être le pire des vauriens indignes pyromanes ! Un vrai doméram qui n’ose même pas s’aventurer devant l’Ambassade du Sénégal à Paris !! Comme ton Yolom Guénio sodomiseur national qu’on attend de pied ferme mercredi, lui son fils de pute Mohamed Sonko…