Sonko Sodomiseur arrête ton baratin !! Seuls les golos de Pasteef te suivent dans tes délires… Mais tu es le premier à savoir que LIFI AMOON DOTOUFI AMAAT ! Tu as été briefé et c’est ce que justifie ton indigne rétropédalage !! Niakk jom d’enculé ! Écoute partout les gens dans le pays, les sénégalais sont lassés de tes histoires de cul !! Va répondre et basta ! Si tu n’as rien à te reprocher, jure publiquement sur le Coran comme te le demandent tous les citoyens honnêtes du pays (y compris Adji Sarr et même des membres de Pasteef) ou bien va répondre sans diversion ou menace ou violence ou manipulation ! Plus tu gueule, plus ta peur panique devant cette pauvre petite orpheline est évidente claire et nette !! Un avertissement amical : si tu échappes par pression à notre justice, tu n’échapperas pas à une plainte à l’étranger qui est ta vraie terreur… On ne sodomise pas impunément une petite orpheline. Wiri wiri…
Lemzo, saa baay mii laa yaroul moy sodomiseur. Domoukharame. Mou Seleu MIi, tout ça, c’est de votre faute. Vous auriez dû laisser le beau travail entamé par la jeunesse et ne pas écouter les médiateurs. Il serait actuellement à Abidjan et cela nous aurait épargnés de lire les insultes de cet imbécile de Lemzo. Cela m’aurait évité de perdre mon précieux temps pour répondre à cet être abject.
Lemzo, même s’il est homosexuel, nous l’adorons. Si vous êtes des hommes, combattons à armes égales. C’est facile de se cacher derrière la gendarmerie, la police et une partie de la justice.
Touchez-le si vous êtes des hommes. C’est quelqu’un de respectueux et qui respecte nos guides religieux. Daa gnou am kilifeu, téé momatoul bopam.
Saa patron déé mou laa geuneu kham kan moy mou seleu mii
Khekh bii dougeu naa cii. Foo saagaa Sonko maa tontou laa. Domakharam, diamm bii ngaa doone
Lemzo,
Il y a un article sur le chômage des jeunes. On ne vous entend jamais sur les problèmes de la population. Ousmane Sonko a des épouses et des enfants. Pensez à ses épouses et à ses enfants. Mettez-vous à sa place. Cet acharnement montre qu’il vous fait peur. Si vous êtes des hommes, affrontez-le à armes égales et arrêtez vos bassesses.
Je vous comprends, vos privilèges sont menacés. Bilahi, cii kanatou sounou borom, vous ne pourrez rien contre lui tant que je serai en vie. Cette fin de semaine, Dakar était sans eau. Todj naa ndeyou lepeu. Lou maa guiiss dii naa koo tooth, niane mou keupou watt cii yène. Sonko dii ngène koo baayi déé!
La plaie béante de notre système répressif.
Dans une société politique et démocratique, c’est la loi et la loi seule qui conditionne le code de vie, parce qu’il n’y a de paix que dans la Justice.
C’est pourquoi, une décision qui est rendue par un juge ne peut être légitimée que par le droit.
Autrement dit, une décision juridictionnelle puise sa force obligatoire dans la loi et non dans la seule volonté du juge qui l’a rendu. D’où, la règle selon laquelle, pour être valide, un acte juridique est soumis aux conditions édictées par la loi «Locus regit actum».
Mais en revisitant plusieurs affaires, dans lesquelles des leaders de l’opposition étaient impliqués, on constate que les juges, pour arriver à leurs fins, substituent leur propre volonté aux dispositions de la loi pour prononcer une sanction pénale. L’acte en lui-même constitue, sans nul doute, une violation du principe de la séparation des pouvoirs qui est prévue et sanctionnée par l’article 118 CP.
Et, parce que cette pratique n’a jamais rencontrée l’opposition appropriée, l’opinion a fini par s’y faire. Mêmes les avocats et les universitaires qui sont les gardiens de l’orthodoxie n’y prêtent plus attention alors qu’il s’agit d’une mise à mort du principe de la légalité. C’est l’avènement de l’arbitraire.
Pour illustrer ce qui précède, nous pourrions nous contenter de citer le placement sous contrôle judiciaire du député-maire Ousmane Sonko.
Tout le monde, y compris l’intéressé, pense que le juge était dans son bon droit en prononçant cette mesure qui restreint la liberté d’aller et de venir qui lui est dévolue par la Constitution, sans aucun préalable.
Or, la validité d’une décision de placement sous contrôle judiciaire, est soumise à deux conditions cumulatives : une condition de légalité fixée par la loi, et une une condition d’opportunité qui dépend de la volonté du juge.
Ainsi, le juge d’instruction n’a légalement le pouvoir de placer un citoyen sous contrôle judiciaire que dans le cas où celui-ci est coupable ou complice vraisemblable d’une infraction pénale.
Il se trouve que dans l’affaire sweet beauté, aucune infraction à la loi pénale n’a été constatée par les officiers de police judiciaire qui ont mené l’enquête préliminaire.
Le procureur lui-même, pour satisfaire les conditions essentielles de la légalité de son réquisitoire introductif, a été obligé de s’appuyer sur l’article 77 alinéa 2 CPP, lequel dispose : «Le réquisitoire introductif peut-être pris contre personne non dénommée, notamment en cas de plainte insuffisamment justifiée par les pièces produites».
C’est dire que la condition de légalité, qui pouvait donner force obligatoire à la décision de placement sous contrôle judiciaire du député-maire Ousmane Sonko, n’était pas remplie.
Dans un tel cas, on estime que la décision qui a été prononcée par le juge n’a que la valeur d’une simple «déclaration de volonté» dépourvue de toute force obligatoire. En effet, en agissant de la sorte, le juge ne pourrait invoquer que la suspicion et la présomption de culpabilité, lesquelles ne fondent pas un motif d’inculpation.
Dès lors, le refus de se présenter au tribunal tous les derniers vendredis du mois ne constitue pas un défit à l’institution judiciaire, mais plutôt un refus de s’associer volontairement à la violation de la loi qui est l’expression de la volonté du Peuple, seul souverain.
À Mamadou,
Merci pour toutes ces explications. J’en veux aux avocats qui ont accès ce contrôle judiciaire. J’en veux aussi à ceux qui ont fait reculer les jeunes. Il ne fallait pas accepter ce contrôle judiciaire.
Je suis entièrement d’accord. À sa place, je ne retournerai plus signer et ils peuvent venir me tuer ou me mettre en prison, mais je ne leur permettrai plus de violer mes droits. Malheureusement, il y a trop d’hypocrites au Senegal.
Dès lors, le refus de se présenter au tribunal tous les derniers vendredis du mois ne constitue pas un défit à l’institution judiciaire, mais plutôt un refus de s’associer volontairement à la violation de la loi qui est l’expression de la volonté du Peuple, seul souverain.
Merci pour cet excellent résumé
I do believe all of the ideas you have offered to your post. They are really convincing and will certainly work. Nonetheless, the posts are very quick for newbies. May just you please lengthen them a bit from next time? Thanks for the post.
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Lemzo, saa baay mii laa yaroul moy sodomiseur. Domoukharame. Mou Seleu MIi, tout ça, c’est de votre faute. Vous auriez dû laisser le beau travail entamé par la jeunesse et ne pas écouter les médiateurs. Il serait actuellement à Abidjan et cela nous aurait épargnés de lire les insultes de cet imbécile de Lemzo. Cela m’aurait évité de perdre mon précieux temps pour répondre à cet être abject.
Lemzo, même s’il est homosexuel, nous l’adorons. Si vous êtes des hommes, combattons à armes égales. C’est facile de se cacher derrière la gendarmerie, la police et une partie de la justice.
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Et, parce que cette pratique n’a jamais rencontrée l’opposition appropriée, l’opinion a fini par s’y faire. Mêmes les avocats et les universitaires qui sont les gardiens de l’orthodoxie n’y prêtent plus attention alors qu’il s’agit d’une mise à mort du principe de la légalité. C’est l’avènement de l’arbitraire.
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Le procureur lui-même, pour satisfaire les conditions essentielles de la légalité de son réquisitoire introductif, a été obligé de s’appuyer sur l’article 77 alinéa 2 CPP, lequel dispose : «Le réquisitoire introductif peut-être pris contre personne non dénommée, notamment en cas de plainte insuffisamment justifiée par les pièces produites».
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Dès lors, le refus de se présenter au tribunal tous les derniers vendredis du mois ne constitue pas un défit à l’institution judiciaire, mais plutôt un refus de s’associer volontairement à la violation de la loi qui est l’expression de la volonté du Peuple, seul souverain.
À Mamadou,
Merci pour toutes ces explications. J’en veux aux avocats qui ont accès ce contrôle judiciaire. J’en veux aussi à ceux qui ont fait reculer les jeunes. Il ne fallait pas accepter ce contrôle judiciaire.
Je suis entièrement d’accord. À sa place, je ne retournerai plus signer et ils peuvent venir me tuer ou me mettre en prison, mais je ne leur permettrai plus de violer mes droits. Malheureusement, il y a trop d’hypocrites au Senegal.
Dès lors, le refus de se présenter au tribunal tous les derniers vendredis du mois ne constitue pas un défit à l’institution judiciaire, mais plutôt un refus de s’associer volontairement à la violation de la loi qui est l’expression de la volonté du Peuple, seul souverain.
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