Olivier Faure ne cautionne pas les dérives notées au Sénégal ces derniers jours notamment le non-respect des libertés, les marches qui sont réprimées par le pouvoir et les emprisonnements de près d’une centaines d’opposants après la marche de Yewwi Askanwi du 17jinmun denier réprimée par le pouvoir avec à la clé, 3 morts. Dans un post sur twitter, le socialiste condamne également, avec vigueur les arrestations de députés et maires opposants sous le régime de Macky Sall. Voici son post.
« La démocratie Sénégalaise est piétinée. La liberté de manifester est entravée, la justice instrumentalisée. Les députés d’opposition DÉTHIÉ FALL, MAME DIARRA FAM, BARA DOLLY MBACKÉ et Le maire AMETH AÏDARA doivent être libérés #Free_Sénégal #Stop_Macky_Sall
L’obséssion à un 3è mandat est la cause principale de l’animosité de macky sall envers l’opposition et le peuple tout court…….mais ça ne passera pas,il est à son dernier mandat,un point/un trait.
La loi pour tous !
Après la sortie de Madame Aminata Tall, d’aucuns ont crié haro !
Pourtant, en revisitant la question sous l’éclairage du code électoral, on ne peut pas manquer de se demander comment pourrait-on prétendre élire la représentation nationale en l’absence des deux coalitions qui représentent au bas mot les 3/4 de la population, à savoir Benno Bokk Yaakaar et Yewwi Askan Wi qui chemine avec Wallu Senegal ?
Car, le ministre de l’Intérieur Antoine Felix Diome et le Conseil Constitutionnel ont bel et bien éliminé la liste nationale de Benno Bokk Yaakaar des élections législatives du 31 juillet prochain.
En effet, lorsque Antoine Diome déclare irrecevable les suppléants qui figurent sur la liste nationale de Benno Bokk Yaakaar, il la rend automatiquement incomplète au regard de l’article 154 du Code Électoral.
L’article 154 du Code Électoral exige, pour la recevabilité de chaque liste nationale, la présence de 50 suppléants.
Il s’agit d’un impératif catégorique que le législateur a posé et auquel le Conseil Constitutionnel ne peut déroger, a fortiori le ministre de l’Intérieur.
En disposant que « chaque liste de candidats au scrutin de représentation proportionnelle avec liste nationale comprend 50 candidats suppléants », la loi ne prévoit aucune cause dérogatoire et, par conséquent, toute liste ne comportant pas 50 candidats suppléants est irrecevable.
Face à cette situation, Macky Sall doit agir en tant que chef de l’État qui a prêté serment de veiller au respect de la Constitution et des lois (article 37 de la Constitution).
C’est pourquoi, au cas où Benno Bokk Yaakaar serait admis par l’administration à se présenter aux élections en violation de la loi, la coalition Yewwi Askan Wi serait en droit d’exiger l’égalité devant la loi, tel que lui reconnait la Constitution.
Pour notre part, nous pensons que pour ne pas tomber dans la déraison, il est souhaitable d’éviter les extrêmes, parce que l’intérêt supérieur de la Nation doit primer sur tout.
Bravo Olivier notre cher secrétaire général quel courage de soutenir des élus de la République comme toi qui a été reelu largement le 19 juin en France.
Merci pour ce soutien
HAHAHAHAHAHA les boubougolos de Pasteef et de YAW qui insultent la France un jour et applaudissent la France le lendemain ! De vrais complexés menteurs et nafèkhes ! Mais votre Yolom Guénio sodomiseur national wiri wiri dina wouyoudji Adji Sarr ! En attendant des citoyens déterminés vous attendent le 29 juin… Sonko Sodomiseur montrera si son prétendu courage ne sert pas seulement à défoncer le derrière des minettes de 20 ans…