« Des accusations graves, infondées, disproportionnées, nacceptables ». Voilà comment le Collectif des Organisations de la Société Civile pour les Elections (COSCE) aqualifié la sortie de Ousmane Sonko. Parlant de la société civile, le leader de Pastef a accusé celle-ci d’être « à la solde du président Macky Sall », dit le collectif qui affirme avoir suivi le point de presse du maire de Ziguinchor membre de la Coalition yewwi askan wi.
« Ces propos sont Inexcusables d’autant plus qu’elles viennent d’un acteur politique de premier plan selon l’entité », estime le Collectif. Le COSCE rappelle à « Monsieur Ousmane SONKO que la société civile est à équidistance de toutes les parties prenantes et ne peut être ni instrumentalisée ni discréditée auprès de l’opinion publique ».
Dans la même dynamique, le collectif atteste que » l’indépendance de la société civile n’est point négociable ». « Nous ne ménageons aucun effort et ne souffrons d’aucun complexe pour défendre les principes de la république et de l’Etat de droit, se défendent-ils. Notre posture de société civile responsable nous a toujours permis de trouver les solutions les plus inclusives pour une participation démocratique de tous les acteurs politiques. Qu’ils soient de l’opposition comme du pouvoir avec comme objectif principal l’expression du suffrage universel garant de la cohésion sociale » .
Le collectif de préciser : » nous ne pouvons, sous aucun prétexte, être sous l’emprise d’aucun groupe de lobbying et de pression au risque de violer les valeurs intrinsèques et l’éthique qui sont à la base de nos statuts et règlements intérieurs.Ayant un statut d’observateur, nous avons l’obligation, sous réserve de la loi, de donner notre point de vue, avec la rigueur et l’objectivité nécessaires, sur tout le processus électoral et ce, sans aucun parti pris ».
En effet, l’histoire récente des élections locales, et même des Législatives en cours, a fini par prouver que la société civile a toujours oeuvré pour préserver les acquis démocratiques dans une démarche consensuelle malgré le constat évident de manquements observés dans le dépôt des listes de certains acteurs politiques selon le communiqué. En conséquence, la société civile « condamne fermement les propos de Ousmane Sonko et appelle les acteurs politiques au calme et à la sérénité ».
Votre réponse est trop molle !! On vous donne un direct et vous tendez l’autre joue ! Vous êtes aussi nafèkhes poltrons que les « leaders frustrés » ! Sonko Sodomiseur il faut le traiter comme un délinquant sexuel, un criminel cynique et un manipulateur séparatiste. Il avait promis une grande manifestation devant le tribunal. Personne n’est sorti ! Les Dakarois l’ont royalement ignoré. Té il n’a encore rien vu ! La liste de YAW sera rejetée par le CC et la liste de BBY passera comme lettre à la poste. Té dara dou khew ! Vous prenez les sénégalais pour des moutons ? Lifi amoon dotoufi amaat…
Lemzomatique franchement quel gâchis! J’aurai conseillé à son temps à ton père de ne pas gaspiller son sperme ou à ta mère de simuler de la fatigue pour éviter le coÏt afin que tu ne vienne pas au monde. Quelque soit la position ou les miettes que te donnent Mbeurgou Sall, au 1er Aout 2022 insha’Allah, le robinet sera coupé et on verra si tu vas continuer à boire de l’eau ou les rejets de la station d’épuration de Cambérène.
Lemzo est né illégitime c’est une erreur dans l’histoire de ses géniteurs il ne faut pas lui répondre c’est le début de sa fin
Wahouléne daara…….
Ousmane sonko a bien raison de cette société civile qui doit défendre la société,c’est à dire le peuple au lieu de faire les les yeux doux aux délinquants du pouvoir ayant comme chef macky sall…..rien qu’à voir leur silence inquiétant sur l’affaire gana gueye,on peut logiquement dire que cette société civile en partie financée par les lobbies maçonniques et lgbtiques n’ose en parler par crainte de voir leurs robinets de financement fermés.
Les propos de Sonko reflètent la réalité au Sénégal où la quasi totalité des membres de la société civile roule pour les autorités étatiques. Leur intégration dans les institutions depuis 2000 ternit leur principe d’être à équidistance du pouvoir qui donne des sinécures et de l’argent et de l’opposition qui ne leur offre rien. D’ailleurs certains qui peinaient à joindre les deux bouts vont de Plateau de télé à plateau de radio pour défendre des positions fortement partisanes que des politiciens fortement engagés refusent de cautionner par éthique.
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La seule personne integre de cette societe civile est Ndiaga Sylla qui defend le droit et les textes d’une maniere courageuse et avec integrite. Le reste cest de la pourriture qui font du bruit pour exister et perpetuer leurs privileges. Ils ne sont pas interesser par les Senegalais et ni par la verite, la defense des lois, ou une democratie inclusive qui reste le droit et obligations de toute les parties. Ils sont de la veritable pourriture.
Ngouda m’boup a raison d’insister à ce que ce poltron de macky sall nomme un premier ministre,sinon il est dans l’illégalité par le vide juridique et institutionnel qu’il crée…..même ce chien de macron après les élections a nommé un PM qui pourrait être démis après les législatives de juin prochain.Les présidents africains sont tous en majorité des imbéciles qui vont à l’encontre des besoins de leurs peuples respectifs.
En tout cas je trouve souvent les positions de Boubacar Ba et de Moundiaye Cissé trop Beige-marron! Je préfère les analyse de Ndiaga silla
IL N’YA PAS DE SOCIETE CIVILE. DES TAPALEKATES A LA RECHERCHE DE GAIN ET VUES. ILS SONT TOUS PAREILS A L’IMAGE DU SENEGALAIS TAPALE ET NAFEKH. CITEZ MOI UN ACTE DEFENDU FACE AU POUVOIR : CARTE D’IDENTITE, PARRAINAGE, KARIM WADE, KHALIFA SALL. NADA. DE BEAUX PARLEURS.