L’affaire SWEAT beauté n’est ni une affaire de viol, ni une affaire de droit ou de justice, mais relève d’un banditisme d’état digne d’un kompromat (une pratique de barbouze couramment utilisée par les services russes pour compromettre des opposants politiques).
Il faut le savoir une bonne fois pour toutes, même si toutes les preuves du monde établissaient son innocence (réquisitions téléphoniques, certificat médical, témoignages, PV d’enquête préliminaire de la gendarmerie, etc…), Ousmane SONKO sera sans aucun doute condamné devant la chambre criminelle, et sa candidature à l’élection présidentielle de 2024 empêchée, parce que tel est le souhait de Macky SALL (pour faire simple, même si le Bon Dieu « qu’il me pardonne », apportait un témoignage disculpant SONKO, il sera condamné).
Tous les débats, discours et commentaires sur le droit, la loi, la procédure et le déroulement du procès sont inutiles et relèvent d’une perte de temps. Tout est écrit à l’avance.
A ce stade, le sort d’Ousmane SONKO ne dépend plus de la justice ou de la chambre criminelle, mais uniquement de la volonté du peuple sénégalais et de sa détermination.
Macky Sall a démontré qu’il était totalement déterminé à faire emprisonner, torturer ou tuer pour conserver le pouvoir. Les sénégalais sont-ils tout autant déterminés à lui faire face, pour stopper net et définitivement ses bavures ?
C’est la seule question qui vaille.
Tous ceux qui attendent un miracle du procès en feront pour leur frais (ils ont déjà choisi leurs juges pour finir le sale Job).
Il faut faire face, maintenant.
Désormais, le sort de SONKO dépend du peuple sénégalais.
Tout le reste n’est que spéculation et vaine littérature : Il n’y aura pas de justice au Sénégal, sous le magistère de Macky SALL.
Seybani SOUGOU
Nota bene : il faut arrêter de faire semblant (naïveté) et de parler de procédure ou du déroulement du procès, car le scénario est écrit à l’avance.
Macky SALL avance de manière méthodique et exécute pas à pas son plan démoniaque (sans aucun état d’âme) au moment où d’autres se perdent en conjecture sur le déroulement du procès. A quoi bon attendre un procès ?
Le Dieu et la jeunesse de Mars 2021 sont toujours là.
Parfaitement, il appartient à la jeunesse de ce pays de tenir le procès publique de Macky Sall et non de Ousmane Sonko dont les avocats doivent mettre en ligne sur internet tout le dossier judiciaire
Un procès politique requiert des réponses politiques
Toute personne saine, j’entend dotée d’un tant soi peu de raison, sait que nous sommes dans un regime autoritaire à laquelle siège à sa tête un apprenti dictateur. Sonko a opté de vivre dignement et d’avoir pour solide repère Dieu. Avons nous des chefs religieux qui font autant foi en Dieu? J’ai toujours dit que je ne vois personne parmi eux qui merite ce titre. Senegalais sachez que vous serez seul dans votre tombe, et Dieu qui t’as doté de cerveau n’acceptera comme excuse « je faisais foi en mon mare-à-bout ». Ressaissisez vous pendant qu’il est tant. Des marabouts qui regardent un firawna tué Mancabou, Sambou, Badji et volé l’argent du peuple sans piper mot. C ça vos references? C ça que Serigne Touba, Mawdo Malick, Niasse et les autres disaient?
la légitimité est conférée par le peuple, les sénégalais souffrent d’une insécurité chronique dans les quartiers et sur les routes… au lieu de nous protéger Macky Sall recrute des sénégalais pour nous massacrer.. IL A PERDU TOUTE LEGITIMITE, le combat final approche, d’une pierre deux coups , DEGAGEONS MACKY SALL et le SYSTEME de PREDATION , mis en place depuis l’indépendance.
MACKY SALL DEGAGE DOYNA SEUK !!!
Il n’y a pas longtemps, le philosophe mathématicien Mary Teuw Niane avait écrit dans une de ses contributions que « le Sénégal est devenu le pays où tout est possible ».
Je m’étais alors demandé comment cela pouvait être possible, étant donné que le Président Macky Sall ne manquait aucune occasion pour clamer que notre démocratie est majeure, et qu’au Sénégal, il y a un État de droit ? Car, c’est seulement dans le totalitarisme que la maxime est « tout est possible ».
Mais, l’intervention de Monsieur Seybani Sougou m’a fait prendre conscience de l’abîme qui peut séparer la pensée et la réalité.
Alors, je me suis souvenu cette personnalité qui avait déclaré dans les médias qu’elle avait été conviée à une réunion nocturne où il était question de procéder à un montage pour l’emprisonnement prochain de Khalifa Sall, aux fins de l’empêcher de participer à l’élection présidentielle de 2019. Je me suis également souvenu que pour l’accomplissement de cette mission qui lui avait été assignée (empêcher Khalifa Sall de se présenter), le procureur de la République n’avait pas hésité à suspendre la loi applicable (article 164 CPP) pour confectionner une procédure de circonstance.
C’est exactement le cas de figure qui se présente avec l’affaire Sonko.
En effet, aujourd’hui encore, pour écarter un adversaire politique, le procureur et le juge n’ont pas hésité à fouler au pieds les droits de la défense et toute la législation qui est applicable en la matière.
Ils ont substitué leur propre volonté, qui n’a aucune légalité, à la loi qui est l’expression de la volonté du Peuple qui a l’exclusivité de la légalité dans l’État républicain.
Ainsi :
– Ils ont validé, d’autorité, un dossier qui a été frappé d’une nullité absolue dès le départ, parce que falsifié et entaché de faux par le procureur lui-même.
– Ils ont inculpé une mère de famille innocente, pour proxénétisme, sur la base de photos pornographiques qui ont été frauduleusement introduites dans le dossier par le même procureur.
– Ils ont écarté, illégalement, le rapport d’enquête interne de la Gendarmerie qui établi de manière irréfutable la culpabilité du procureur.
– Ils ont décidé, en violation du principe de légalité, d’ouvrir un procès pénal, en l’absence de tout fait infractionnel imputable à Sonko.
Donc, il est permis de dire, qu’au Sénégal, « tout est permis » dès lors qu’on dispose de la force brutale et non de la loi !
Ils ont fait voir aux juges le film de l’assassinat du juge Me Seye, pour qu’ils comprennent ce qui les attend s’ils osent dire le droit ou la vérité.
– Je rappelle que le procureur spécial Alioune Ndao, limogé en pleine audience de la CREI, parce qu’il avait osé suivre le droit, malgré les instructions qu’il recevait au téléphone, avait été remplacé par le juge Mara. Ce dernier prenant fonction avait dit quelque chose que la presse de Macky Sall avait vite fait de ranger, parce que n’arrangeant pas la couverture de la dictature du tyran. Il avait, dans un soupir, dit qu’à quelques temps de son départ à la retraite, il espérait terminer paisiblement sa carrière avec les honneurs, mais voilà que malheureusement il se retrouve procureur de cette CREI. Il le trouvait donc dommage pour son honneur.
– Je rappelle l’interview du parent du défunt doyen des juges Samba Sall, après son décès. Une interview que la presse de Macky Sall a encore vite fait de ranger, et pour cause. Parce qu’il y révéle que le doyen des juges avait dit à sa famille que ce n’est pas lui qui avait mis Sonko sous contrôle judiciaire. Alors qui l’a fait alors que c’est lui qui avait le dossier ? Cela permet de se demander si c’est Maham Diallo qui a envoyé Sonko en procès, même s’il y a sa signature et son cachet. Le parent du défunt doyen des juges avait aussi révélé qu’il craignait pour sa vie au point de quitter chez lui, avec sa famille, pour aller dormir ailleurs. Et il aimait rappeler comment un commissaire avait été assassiné en balançant son corps des hauteurs des falaises.
– Pour les fanatisés qui veulent se cacher derrière leur petit doigt pour ne pas voir la vérité, j’ajoute un autre rappel. Le procureur de Macky Sall, actuellement à l’OFNAC, le falsificateur de PV Bassirou Gueye, lors du verdict de la diabolisation de Aida Ndiongue, avait vu une lettre de contestation du verdict avec signature et cachet du procureur circuler dans le Sénégal entier. Et pourtant le procureur interpellé par ses paires lors de leur rencontre avait juré qu’il n’est pas l’auteur de la lettre. Et il n’avait pas déposé plainte contre X, l’auteur. Il n’avait pas enquêté. Ils ont organisé l’oubli, pour que le commun des sénégalais ne comprenne pas, à travers cette révélation, des choses qui sont cachées aux enfants.
La vérité est qu’ils sont tous terrorisés par Firaouna Sall et son organisation légionnaire.
NB: Les fanatisés peuvent encore insulter. Mais aucun d’eux ne contestera un seul mot de ce que j’ai écrit là.
Totalement d’accord avec Seybani Sougou. L’instruction du dossier par le juge d’instruction a démontré que le dossier est totalement vide et que le procureur lui-même a falsifié certains documents. Le marabout de Aji Sarr a lui-même tenu à informer sur son entretient avec la jeune femme et les manipulations dont elle a fait l’objet. Donc tout indique que c’était un complot d’amateurs qui a mal fonctionné. Malgré cela, le procureur exige qu’il y ait un procès. Ce qui est décevant c’est le manque de courage du juge d’instruction. Rien ne doit l’obliger à céder aux exigences du procureur pour un procès. S’il était aussi courageux que Kéba Mbaye il aurait décidé de clore le dossier et déclarer un non-lieu. Et condamner pour diffamation les comploteurs que tout le monde connait maintenant. Donc je suis d’accord avec Seybani Sougou pour dire que nous tous nous devons refuser que l’on décide à notre place qui doit être candidat. Maky compte sur l’appui de la France. C’est pour cela qu’il ose beaucoup de choses. Pour la France Sonko n’est pas un bon président du Sénégal. Mais c’est aux sénégalais de décider pour leur pays comme le font les maliens