Câest la crise dans le secteur du ciment. AprĂšs lâentreprise Dangote qui avait arrĂȘtĂ© ses activitĂ©s et mis tous ses employĂ©s en congĂ©s en juin dernier, câest au tour de la SOCOCIM de mettre sa production Ă lâarrĂȘt. Condamnant de fait ses employĂ©s, ses prestataires et ses fournisseurs Ă suspendre leurs activitĂ©s.
LâEtat a bloquĂ© les prix alors que les prix des matiĂšres premiĂšres (charbon, clinker, emballage, gypse, piĂšces de rechanges) ont flambĂ© de plus de 200% dans certains cas et ce depuis des semaines, voire des mois. Avec la fermeture de la SOCOCIM, ce sont 10.000 tonnes de ciment en moins sur le marchĂ© chaque jour. AprĂšs lâentreprise Dangote qui avait arrĂȘtĂ© ses activitĂ©s et mis tous ses employĂ©s en congĂ©s en juin dernier, câest au tour de la cimenterie SOCOCIM de mettre sa production Ă lâarrĂȘt selon LĂ©ral.net. Condamnant de fait ses employĂ©s, ses prestataires et ses fournisseurs Ă suspendre leurs activitĂ©s.
Cette dĂ©cision extraordinaire fait suite Ă la tenue du Conseil de la Consommation mardi dernier sans quâaucune dĂ©cision nâait Ă©tĂ© prise pour sortir le secteur cimentier de la crise et menacĂ© de faillite. En effet, lâEtat a bloquĂ© les prix alors que les prix des matiĂšres premiĂšres (charbon, clinker, emballage, gypse, piĂšces de rechanges) ont flambĂ© de plus de 200% dans certains cas et ce depuis des semaines, voire des mois. Avec la fermeture de la SOCOCIM, ce sont 10.000 tonnes de ciment en moins sur le marchĂ© chaque jour. La situation prive les SĂ©nĂ©galais de prĂšs de 60% du ciment habituellement disponible sur le territoire national. Le risque est une flambĂ©e du prix du ciment et la menace dâinflation.