Auteur/autrice : Dakar Matin

L’appel de l’avocat Me Abdoulaye Babou à suspendre toutes les audiences au niveau du tribunal de Grande instance de Diourbel après que des cas de Covid-19 aient été signalés à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de la localité, n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd. La décision de renvoyer tous les procès vient d’être prise par le président de l’institution, Papa Mohamed Diop, et ce jusqu’au lundi 13 juin 2020. « Suite à la détection de cas de Covid-19 au niveau de la Maison d’arrêt et de correction de Diourbel à la date du 30 juin courant, et…

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L’homme d’affaires Babacar Ngom, Pdg de Sédima, est opposé à la population de Ndengueler sur une question foncière. Mais le secrétaire général du syndicat des hommes des médias n’est pas satisfait du traitement de cette information. Bamba Kassé dénonce le silence de la presse sur cette question. « Une presse libre ne se soumet pas », lance-t-il.  Non sans rappeler que le seul camp du journaliste doit rester celui de la vérité.Voici son message publié sur Facebook. Le 8 février, une conférence de presse tenue à Ndengueler, n’a été relayée que par Dakaractu me dit on.Ou sont les 8 autres…

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Le professeur Moussa Thior ne partage pas l’information selon laquelle la maladie du coronavirus se propage au Sénégal. Invité de la Matinale d’iRadio, le célèbre médecin, expert en Santé publique a encore tenu des propos qui pourraient encore soulever une nouvelle polémique. « Les cas n’augmentent pas », a-t-il ainsi déclaré, sur le plateau d’Alassane Samba Diop. Pour étayer ses propos, il explique : « Si vous regardez le taux de positivité depuis le début de la maladie le 2 mars au Sénégal, il est compris entre 7 et 12%. Donc, les échantillons que vous voyez présentés par le ministère de la Santé concernent…

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Sa prise de parole est rare mais quand Abdou Wahab Sall décide de parler, il ne porte pas de gants. Le Directeur de la Sécurité publique, qui présidait hier un atelier de renforcement de capacité d’écoute, d’accueil et d’orientation du public dans les services de police, est revenu sur les affrontements entre la police et les 400 familles de Gadaye. Abdou Wahab Sall a pris la défense de ses agents et dit haut et fort qu’il n’y a pas eu lors de ces affrontements de bavure policière. Mieux, le Dsp dépeint une police sénégalaise dynamique, démocratique, respectueuse des institutions républicaines…

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ais qui protège Racine Sy ? Qui est derrière ce gars-là ? Parce que ça commence à faire beaucoup. Si les craintes des syndicalistes de l’hôtel affiliés à la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (Cnts) se justifient, c’est qu’il y a lieu de mobiliser tous les Sénégalais dans une grande marche pour dire «basta» à ce gars. Figurez-vous que, selon les syndicalistes, la Direction du King Fahd Palace veut prolonger de deux mois le chômage technique. Ce, après les avoir renvoyés depuis trois mois en chômage technique. Et vous savez combien de pères et mères de famille ont été mis au…

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Le différend qui oppose le président-fondateur du Groupe Sedima, Babacar Ngom, aux habitants de Ndingler, remet sur la table l’opposition récurrente des populations à l’octroi de leurs terres, héritées de leurs ancêtres, à des promoteurs privés agro-businessmen. Elles ont tendance à réclamer ce qui leur revient de droit. Cependant, aux yeux de la loi, il n’en n’est pas le cas. La loi sur le Domaine national de 1964 donne à l’Etat la possibilité de disposer et d’octroyer les terres en fonction de la possibilité de l’acquéreur d’en faire un usage rentable. Ce qui donne ainsi plus de possibilité aux «nantis»…

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L’octroi des terres à des fins d’exploitation prive les populations locales démunies de leur droit d’accès au foncier. Le système fait que souvent les surfaces cultivables se retrouvent entre les mains de personnes beaucoup plus nantis, à cause de leur position sociale. Le différend entre Babacar Ngom de Sedima Group et les populations de Ndingler n’est qu’une dernière affaire d’une longue liste de révoltes de populations privées de leurs terres. Si elles obtiennent gain de cause, parfois, elles deviennent aussi des victimes, contraintes d’accepter des projets qui leur sont imposés. La région Nord du pays, qui fait face à l’accaparement…

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Jusqu’ici, le fonds commun ne bénéficie qu’aux travailleurs des greffes alors que l’Ums a récemment relancé son projet de fonds abrogé en 2012. En attendant, le décret qui fixe celui des greffes et le projet des magistrats, qui seront alimentés de la même manière, sont au niveau de la Chancellerie. Quel arbitrage ! Le Fonds commun est un dossier judiciaire complexe. Si les travailleurs des greffes en sont bénéficiaires, les magistrats voudraient qu’ils soient étendus à tout le personnel judiciaire. Une autre manière de faire le nouveau projet de fonds commun soumis par l’Union des magistrats sénégalais (Ums) à la…

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A chacun sa loi d’habilitation. Macky Sall a, au motif de la crise sanitaire du Covid-19, sollicité une loi d’habilitation de trois mois. Mais sous Diouf, il y a eu une loi de la même nature pour deux ans, reconduite pour deux ans encore. Macky Sall va-t-il demander une reconduction ? Prorogera, prorogera pas. Les trois mois de validité de la loi d’habilitation arrivent à terme et l’on ne sait pas encore si le Président Sall sollicitera une nouvelle fois l’autorisation de l’Assemblée nationale pour prendre par ordonnances des mesures relevant du domaine de la loi. Il faut dire que…

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Le Quotidien s’interrogeait sur la non-ratification des ordonnances prises par le président de la République dans le cadre de la loi d’habilitation adoptée le 2 avril dernier. Eh bien, c’est hier que le projet de loi n°24/2020 portant ratification des ordonnances a été distribué aux députés. Mais le texte n’a pas été examiné puisque la session ordinaire a été clôturée hier même. Sans doute, il faudra une session extraordinaire pour se pencher sur ces textes. C’est donc en vertu de l’article 2 de la loi n°2020-13 du 2 avril 2020 habilitant le président de la République à prendre, par ordonnances,…

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