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Cette fois-ci, c’est pas la langue fourchue de Yérim le « devin circonstanciel politique » du petit écran qui se verse dans des prémonitions, très éloignées de la vocation métier qui annonce le nom du futur premier-ministre, mais une certaine presse-censitaire connue et reconnue par l’opinion publique sénégalaise qui prend le relais, à la solde de défaitistes, battus honteusement à Dakar par des jeunes leaders politiques de l’opposition, malgré les atouts et et les atours du pouvoir.
Vainement, ils cherchent la repentance auprès d’un président diminué politiquement malgré qu’il clame une victoire électorale au goût amer. L’ancien premier-ministre est la cible des prétendants au poste et d’un clan qui partage un dénominateur commun certes naturel mais abject pour notre république. « Le discréditer » est le mot d’ordre donné à une certaine presse hideuse et diabolique et des grandes gueules de la scène politique qui ne se jaugent jamais électoralement. Pourtant le départ de l’ancien ministre de l’intérieur du gouvernement passe toujours mal auprès de ses partisans, fidèles à l’homme fort de Djolof qui attendent le sort politique réserver à Bourba Djolof par Macky Sall.
