Auteur/autrice : Dakar Matin

Le leader du parti politique, Alliance démocratique Penco, Moussa Tine, s’est exprimé sur la présence des nervis dans le cortège de Macky Sall lors de sa tournée économique au nord du Sénégal. Il estime que si chaque parti politique faisait recours à des nervis, on irait systématiquement vers une guerre civile, avant d’appeler à la «mise en place d’une commission d’enquête parlementaire». « Les images que nous avons vues circuler sur les réseaux sociaux sont indignes de notre démocratie. Cela est inacceptable. Si chaque parti politique faisait recours à des nervis on irait systématiquement vers une guerre civile», a mis…

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Invité de l’émission « Jury Du dimanche » sur iRadio, le responsable de l’Alliance des forces de progrès, Zator Mbaye, a été interpellé sur la polémique de l’heure: les violences des « nervis » sur les populations, au cours de la tournée du chef de l’Etat dans le nord du pays. Et sans sourciller, il a nié l’existence de ces gros bras qui seraient recrutés par le régime en place. Selon lui, c’est une assertion très grave de dire que le pouvoir recrute des nervis. « Parce que je n’ai pas vu de nervis. J’ai vu la garde présidentielle composée d’éléments de la gendarmerie, de…

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Ce samedi, lors du sommet de la Cedeao, la tension a prévalu entre les Présidents Umaro Sissoko Embalo et Alpha Condé. Le Bissau Guinéen, qui n’a toujours pas digéré la ferméture des frontières guinéennes par Alpha Condé, a demandé à ses homologues de lui dire la vérité. «Je regarde ici mais personne ne comprend. Parce qu’il n’y a pas de guerre entre le Sénégal et la Guinée Conakry. Du fait de l’esprit d’amitié ai sein de la CEDEAO, nous devons dire la vérité au président Alpha. Il n’avait pas le droit de fermer les frontières avec le Sénégal, la Guinée-Bissau…

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Les populations de Keur Ndiaye Lô ruminent encore leur colère, après le très polémique découpage administratif. Rattachées à la commune de Sangalkam sans leur consentement préalable, elles ont fait vivres au ministre des Collectivités territoriales, Oumar Guèye, un sale quart d’heure, ce samedi. En visite de courtoisie à Keur Ndiaye Lô, qui fait désormais partie de sa circonscription communale, le maire de Sangalkam a été chassé à coups de pierres, d’après des informations de Seneweb. Oumar Guèye, qui a essuyé huées, insultes et jets de pierres, a été ainsi contraint de rebrousser chemin. Déclaré persona non grata dans plusieurs localités de…

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« Si la volonté prêtée aux responsables de l’APR, parti au pouvoir, d’imposer des quotas (de nervis ? de militants ?) à la police et à la gendarmerie dans le cadre des recrutements massifs en cours est avérée, cela constituerait une grave attaque contre l’État et la République. Les forces de défense et de sécurité sont et doivent rester l’incarnation de la nation, de sa diversité et de son unité. Elles ont été préservées jusqu’ici de politisation. Nous devons tous veiller – presse, société civile, citoyens, hauts gradés de ces corps – à ce que les recrutements en cours se fassent…

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La dernière sortie de piste du tailleur Ismaëla Madior FALL sur le fonctionnement du Conseil Constitutionnel est la preuve qu’au Sénégal, les titres universitaires ne veulent plus rien dire et donnent lieu à une vaste entreprise de mystification.En effet, lors du colloque du 17 juin 2021, organisé par le Conseil constitutionnel, en partenariat avec la fondation Konrad Adenauer Stiftung, sur le thème « Regards croisés sur la justice constitutionnelle », le Constitutionnaliste et juriste tailleur Madior Fall a affirmé avec une incroyable audace que « lorsqu’un membre du Conseil doit être remplacé et qu’il ne l’est pas, il n’y a pas d’illégalité, car…

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Au mois de mars dernier le juge Mamadou Seck se désistait du complot grotesque mené par Macky Sall. C’est ensuite au tour du commandant de la brigade territoriale de gendarmerie nationale d’être changé au plus fort des manifestations du mois de mars. Quelques jours plus tard c’est au tour du chef d’état major de l’armée de voire sa retraite anticipée de quelques semaines. Rappelons qu’il avait refusé l’utilisation des armes quand l’armée fut appelée à sauver le pouvoir du despote. Coïncidence? Le chef de la police aussi chargé. Aujourd’hui c’est encore au tour du général Tine d’être victime des dérives…

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Evolution ou révolution, se demandait-on au Sénégal du temps de son premier Président, Léopold Sédar Senghor, dans les années 1970-1980. Ce fut le terme doux, non-violent, de l’alternative qui triompha avec la marche, jusqu’ici pacifique, vers la restauration d’une démocratisation longtemps bridée par le triomphe sous son magistère d’un parti unique de fait incarné par sa formation politique, l’Union progressiste sénégalaise (UPS) qui deviendra l’actuel Parti socialiste (PS). L’horizon s’assombrit désormais, et s’agglutinent dans son ciel des forces porteuses d’une violence révolutionnaire que rien, absolument rien, ne pourra arrêter. Le Sénégal est à la veille d’une révolution rendue indispensable par…

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Ainsi donc le président Macky Sall peut sanctionner un gendarme!? Quelle lecture avoir de cette radiation du capitaine Touré?Pour cela, rappelons-nous que les policiers assassins de Pape Sarr, de Seck Ndiaye, de Abdoulaye Timera, agresseurs de la camera-woman Adja Ndiaye….n’ont pas été emprisonnés ni radiés.Rappelons-nous que jusqu’à présent aucun policier ou gendarme responsable de la mort des 13 jeunes en février et mars n’a été ni jugé ni radié ni emprisonné.En radiant le capitaine Touré de la gendarmerie, le président Macky Sall ne cherche pas à rendre la gendarmerie meilleure.Le valet de l’impérialisme cherche plutôt à envoyer un signal aux…

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