Fermer le menu
DAKARMATINDAKARMATIN
  • Accueil
  • Actualités
  • Politique
  • Economie
  • Société
  • International
  • Sport
  • Chroniques
  • People
Facebook X (Twitter) Instagram
Urgent
  • Paris sportifs en ligne: quels risques pour les jeunes ?
  • Ambiance balnéaire à Dakar : La plage de Ngor, une baie de détente populaire
  • Birame Souleye Diop révèle : « plus de 200 sites d’hydrocarbures sont clandestins »
  • Sénégal – Mines : Birame Soulèye Diop révèle pourquoi 95 % des demandes de titres sont rejetées
  • Blanchiment de capitaux présumé : La CENTIF ouvre une enquête sur des paiements de 6,7 milliards de FCFA à un cabinet français
  • Pool judiciaire financier (Pjf) : Amy Samaké et la Dage du ministère des Télécommunications arrêtées
  • Scandale financier au ministère du Numérique : deux hautes responsables arrêtées, l’ancien ministre Me Moussa Bocar Thiam cité
  • Ecoles Hlm 4 et Ibrahima Diop de Dakar : Moustapha Guirassy prévoit de rénover ces établissements
  • Village artisanal de Dakar : Soumbédioune, un musée à ciel ouvert
  • Diaspora bonds : l’or du Sénégal de demain (par Lamine Niang)
  • Le cabinet Lazareff, Promo Consulting et le rapport de la Centif : Un signalement de Tracfin a tout déclenché.
Facebook X (Twitter) Instagram
DAKARMATINDAKARMATIN
Bannière Dakar
  • Accueil
  • Actualités
  • Politique
  • Economie
  • Société
  • International
  • Sport
  • Chroniques
  • People
DAKARMATINDAKARMATIN
Home»A la Une»Air Sénégal, couacs en série
A la Une

Air Sénégal, couacs en série

Par Dakar Matin27 septembre 2021Aucun commentaire502 Vues
Facebook Twitter Pinterest LinkedIn WhatsApp Reddit Tumblr Email
Share
Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email
Ecoutez l'article

Malgré des efforts colossaux consentis par l’Etat, un engouement énorme suscité auprès des voyageurs sénégalais, la compagnie nationale Air Sénégal fait l’objet de toutes les controverses, à cause de la qualité du service

Entre patriotisme et qualité de service, le choix n’est pas toujours simple. La dialectique est au cœur de tous les débats autour de la compagnie nationale Air Sénégal. Aux uns qui ne cessent de débiter leur colère sur la toile, suite à des expériences malheureuses, d’autres portent la réplique, les invitant à plus de compréhension pour ne pas plomber l’entreprise, ‘’fierté nationale’’ à leurs yeux.

Mais que fait la compagnie pour limiter les préjudices causés aux voyageurs ? En tous les cas, le mécontentement ne cesse d’enfler chez certains voyageurs. Et du point de vue de la perception, les dégâts peuvent être énormes, si l’on en croit les experts.

Ancien pilote, ancien contrôleur aérien, Moctar Ndiaye prévient contre ce que peuvent être les conséquences d’un manque de qualité. ‘’Il faut savoir que les gens ne prendront pas une compagnie, parce que c’est le Sénégal. Ils vont voyager dans les compagnies qui les emmèneront, dans les délais, là où ils veulent aller. C’est l’un des tout premiers critères de choix. Le deuxième critère, c’est le prix. Le troisième, c’est le service. Voilà les choses qui sont les plus déterminantes dans la vie d’une compagnie. Pour marquer son empreinte, Air Sénégal doit obligatoirement se mettre au diapason des standards internationaux à ce niveau’’.

Sur le premier point, les récriminations contre la compagnie nationale sont nombreuses. Et les questionnements autour du management ne cessent de se multiplier. Pour M. et Mme Seck, si le patriotisme les avait poussés à prendre la compagnie nationale, malgré les mises en garde, le défaut de qualité risque de les y chasser. ‘’Personnellement, c’est la première et la dernière fois. Mon mari et moi l’avions pris par patriotisme. Mais dans ces conditions, il vaut mieux ne pas être patriote’’, lance Mme Seck très amère.

Avec son époux, la bonne dame devait quitter Casablanca le samedi 18 septembre à 12 h, après avoir fait leur réservation deux mois auparavant. Arrivés à l’aéroport à 9 h 30, on leur fit savoir que l’avion est déjà plein et qu’il faut patienter quelques instants pour voir s’il reste de la place en business. Les premiers arrivés, leur fit-on savoir, seront les premiers servis.

Au bout de quelques longues heures, suspendus aux aléas, ils finirent par avoir une information précise. ‘’Un certain M. Diagne est venu nous dire qu’il n’y avait finalement aucune place. La seule solution est de passer la nuit à l’hôtel. Nous n’avions pas le choix’’, regrette-t-elle. Le lendemain, les choses se sont décantées, non sans retard au départ. Mais ce qui révolte le plus la passagère, c’est la ‘’perte’’ de ses valises. Elle témoigne : ‘’Imaginez, la valise à 10 kg ne pouvait même pas monter dans l’avion avec moi ; de même que les bagages à main. Nous sommes arrivés au Sénégal à 15 h 38. Et jusqu’à 18 h, je cherchais mes valises et, à ma grande surprise, un monsieur est venu me dire qu’apparemment, les bagages sont finis et que j’ai la possibilité de faire une réclamation.’’

‘’On m’a dit que l’avion est plein et que je devais attendre le lendemain’’

Dégoûtés, impuissants, Mme Seck et son époux rentrent dans l’espoir de trouver leurs bagages prochainement. Pour elle, le plus désagréable dans tout ça, c’est le comportement des agents. Elle peste : ‘’Depuis dimanche, je les appelle. Mais ils parlent au téléphone avec un ton tellement sec ; ils sont vraiment agressifs au lieu de se mettre à la place du voyageur. Finalement, quand je les ai rappelés aujourd’hui (hier) à 8 h, un monsieur m’a dit qu’ils ont une valise en mon nom, alors que c’est deux valises de 23 kg. J’ai dû acheter de l’essence, aller jusque là-bas, pour chercher la seconde valise, alors qu’ils avaient dit qu’ils vont me les livrer. Le patriotisme ne vaut pas toutes ces peines’’, peste-t-elle pour conclure.

A l’instar de Mme Seck et de son époux, ils sont nombreux les passagers d’Air Sénégal qui ne cessent de se plaindre. Pour Bara Salihou, c’est également un problème de bagages qui se pose, mais aussi et surtout de la gestion de la clientèle. ‘’Ça fait quatre jours que je n’ai toujours pas reçu mes valises, alors que je dois aller à Touba. À cause de cette compagnie (dont je vois sa faillite si elle continue comme ça), ma femme et moi risquons de ne pas porter nos habits et récupérer les cadeaux pour nos prochains’’, rouspète-t-il sur sa page Facebook.

Avant de pester : ‘’C’est la première et certainement la dernière fois que je vais prendre cette compagnie !’’ Le reste, estime-t-il, c’est la gestion : gérer les aéronefs, la maintenance, gérer le personnel, faire de sorte à avoir un certain équilibre pour le développement de la compagnie. S’ils ne peuvent pas le faire, ils ont beau acheter des avions, recruter du personnel, beau créer de nouvelles lignes, il y aura toujours des problèmes.

‘’Il faut un personnel qualifié qui sait apaiser les clients’’

Si certaines récriminations sont justifiées, d’autres le sont moins, selon des spécialistes accrochés par ‘’EnQuête’’. Sur la question des bagages, par exemple, Moctar Ndiaye corrige : ‘’Si des bagages n’ont pas été trouvés à destination, ce n’est pas forcément de la faute de la compagnie, même si elle est tenue pour responsable sur le plan juridique. Deux choses peuvent l’expliquer : un problème de triage au niveau des aéroports – c’est le plus fréquent – ou un problème de vol. C’est moins fréquent. En fait, les bagages sont mis dans de petits containers rangés dans l’avion, selon l’ordre des escales’’.

Il poursuit : ‘’A chaque étape, on descend le container concerné. Il se peut maintenant que dans la mise en boite, on met une valise de Dakar dans le container d’Abidjan. Généralement, on retourne les bagages avec trois à quatre jours de retard. Ce sont des choses qui arrivent partout, avec toutes les compagnies. Et cela occasionne d’ailleurs des coûts très importants pour la compagnie. Mais, il faut un personnel qualifié qui sait apaiser les clients’’.

Ces quelques détails, renseigne-t-il, s’ils ne sont pas pris en charge correctement, ils peuvent entrainer des conséquences dévastatrices. Parce que, souligne-t-il, dans le secteur de l’aviation, l’image est essentielle. ‘’Dans ce milieu, renseigne le spécialiste, il suffit que les gens indexent une compagnie pour qu’elle soit dans des difficultés. Surtout chez les Occidentaux. Ils vont te dire : ‘Mais pourquoi telle compagnie ? Tu vas arriver en retard…’ Cela ne pardonne pas. Il faut donc limiter au maximum les couacs’’. 

L’intolérance des Sénégalais vis-à-vis d’Air Sénégal

D’après un autre expert en transport aérien joint par ‘’EnQuête’’, il y a quand même de l’exagération et de l’acharnement dans les accusations contre la compagnie nationale. Il dénonce : ‘’Pour moi, c’est un mauvais procès. Les retards ne sont pas spécifiques à Air Sénégal. Même Air France. Mais personne n’en parle. Mais quand c’est Air Sénégal, on rue dans les brancards. Les gens sont vraiment intolérants avec notre compagnie. Ils ne lui pardonnent pas le moindre couac. Je pense que c’est souvent injustifié. Il faut savoir que l’aéroport n’appartient pas à Air Sénégal ; de même que les différents services’’.

Sur le cas de M. et Mme Seck qui n’ont pas pu embarquer parce que leur vol était plein, il rétorque : ‘’Ce sont des choses qui arrivent. Parfois, le système peut faire des erreurs. Parfois, et toutes les compagnies le font, on met des réservations en liste d’attente. Cela permet, au moment où l’enregistrement est effectué, s’il y a des absents, on fait appel aux gens qui sont sur la liste d’attente et qui sont venus. Ça, tous ceux qui sont habitués à voyager le savent.’’

Pour Moctar Ndiaye, même si cela peut arriver, c’est quand même très rare. ‘’En principe, dit-il, la compagnie doit avoir les contacts de tout client qui achète un billet, afin de l’informer de tout changement. Certaines compagnies te contactent même trois fois : WhatsApp, mail, appel téléphonique. Les listes d’attente existent certes. Mais il y a des délais et les gens sont informés. On ne peut pas laisser la personne venir jusqu’à l’aéroport sans l’aviser. Les gens doivent être informés à l’avance. A moins qu’on leur dise que si vous ne recevez pas de nouvelle, sachez que vous n’avez pas de place’’.

Des raisons techniques

Au-delà des problèmes techniques d’ordre conjoncturel, il y a des problèmes plus structurels, qui peuvent influer sur le planning des compagnies. Monsieur Ndiaye explique : ‘’C’est au niveau opérationnel qu’il faut prendre en charge certaines questions. Il faut veiller à ce que les appareils soient prêts à temps. Les causes techniques doivent être amoindries au maximum, même s’il faut reconnaitre que tout ne dépend pas de la compagnie. L’autre problème, c’est là où les grandes compagnies peuvent facilement affréter un autre avion pour pallier un retard, certaines petites compagnies comme Air Sénégal ne le peuvent pas. Il faut, en effet, avoir assez d’aéronefs pour ce faire, pour pouvoir se redéployer, dérouter des vols pour aller prendre des passagers dont le vol est en retard. Beaucoup de paramètres compliqués pour une petite compagnie’’.

En attendant d’y parvenir, l’expert préconise de mettre l’accent sur un service performant et efficace pour gérer certains impairs qui ne peuvent pas manquer. Il en est ainsi des personnels qui ne posent en principe pas de problème, en ce qui concerne les personnels navigants techniques, les hôtesses et autres, car il y a des normes internationales à respecter pour ces derniers. ‘’C’est au niveau du sol qu’il y a peut-être des failles. Au Sénégal, malheureusement, on n’a pas une école d’aéronautique. On a juste quelques écoles privées. Il peut y avoir des problèmes au niveau du recrutement, mais c’est surtout des facteurs humains. Il y aura toujours quelques brebis galeuses sur la chaine. Parfois aussi, il y a un problème de laxisme, de manque de rigueur… Les Occidentaux sont généralement plus stricts à ce niveau’’, constate le spécialiste.

Mais, il ne manque pas de saluer l’ambition et les efforts énormes consentis par la compagnie et les plus hautes autorités. ‘’Il faut les saluer, les encourager, mais aussi les inviter à être encore plus vigilants sur certains aspects’’, soutient l’ancien contrôleur aérien.

Les défis d’un hub !

Par ailleurs, Moctar Ndiaye a saisi l’occasion pour parler de défis encore plus importants pour la compagnie nationale, si elle veut jouer dans la ‘’cour des grands’’. Le plus urgent, à l’en croire, c’est d’avoir des infrastructures qui pourraient lui permettre de prendre en charge, in situ, certaines petites révisions de routine.

‘’Avoir un hub, souligne-t-il, cela demande beaucoup de choses. Il faut un système de maintenance efficace, des hangars, des bases techniques performantes. Si tu crées une compagnie et à chaque fois payer des centaines de millions pour la maintenance, c’est de l’argent perdu. Il est plus réfléchi d’avoir des techniciens – et il en existe à Air Sénégal – d’avoir des infrastructures et mettre des moyens pour prendre en charge certains problèmes techniques mineurs. Maintenant, pour les grandes révisions, c’est peut-être un peu tôt, même s’il faut aller dans ce sens’’.

Le pilote à la retraite de donner l’exemple d’Air Afrique qui avait un centre technique à Dakar, un à Abidjan et dans une autre capitale africaine. ‘’Cela permet de s’arrêter, de souffler et de faire certaines révisions. Parce qu’en aviation, il y a de petites pièces à changer périodiquement, même s’il n’y a pas de problème’’.

Partager Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Telegram Email
Dakar Matin

Articles similaires

Paris sportifs en ligne: quels risques pour les jeunes ?

17 septembre 2025

Ambiance balnéaire à Dakar : La plage de Ngor, une baie de détente populaire

17 septembre 2025

Birame Souleye Diop révèle : « plus de 200 sites d’hydrocarbures sont clandestins »

17 septembre 2025

Sénégal – Mines : Birame Soulèye Diop révèle pourquoi 95 % des demandes de titres sont rejetées

17 septembre 2025

Blanchiment de capitaux présumé : La CENTIF ouvre une enquête sur des paiements de 6,7 milliards de FCFA à un cabinet français

17 septembre 2025

Pool judiciaire financier (Pjf) : Amy Samaké et la Dage du ministère des Télécommunications arrêtées

17 septembre 2025
En direct
Bannière
Plus lus

Logements sociaux : devenir propriétaire avec des mensualités dès 70 000 FCFA, annonce du DG de la SN HLM

15 septembre 20252 078 Vues

Bon maintenant ça suffit cette campagne de manipulation. Par Dr Mamadou Mansour Diouf

11 septembre 20251 837 Vues

Le Collectif Rappel à l’Ordre s’oppose à la nomination de Me Bamba Cissé et saisit des instances internationales

12 septembre 2025892 Vues

Parcelles Assainies : Daouda Traoré retrouvé sans vie dans une auberge, sa copine arrêtée

9 septembre 2025519 Vues

Scandale financier au ministère du Numérique : deux hautes responsables arrêtées, l’ancien ministre Me Moussa Bocar Thiam cité

17 septembre 2025256 Vues

POOL JUDICIAIRE FINANCIER : Les dessous de l’affaire Waly

15 septembre 2025247 Vues

Lettre « Confidentielle » pour la liberation de Farba Ngom : Amsatou Sow Sidibé parle de « fuite » et menace

11 septembre 2025242 Vues

2,5 milliards FCFA d’arriérés : les avocats commis d’office se désengagent progressivement

12 septembre 2025190 Vues

Mbour : Quarante jeunes Maliens condamnés avec sursis et sommés de quitter le Sénégal

12 septembre 2025176 Vues

Dr Babo Amadou Ba corrige Pape Malick Ndour : « Quand on est NUL, c’est pas pour une journée mais… »

15 septembre 2025153 Vues

Mac de Mbour : violents affrontements entre gardes pénitentiaires et prisonniers, trois détenus grièvement blessés

9 septembre 2025147 Vues
Ne ratez pas!
A la Une

Paris sportifs en ligne: quels risques pour les jeunes ?

Par Dakar Matin17 septembre 202511 Vues

Alors que les paris sportifs battent des records de popularité, l’association Addictions France tire la…

Ambiance balnéaire à Dakar : La plage de Ngor, une baie de détente populaire

17 septembre 2025

Birame Souleye Diop révèle : « plus de 200 sites d’hydrocarbures sont clandestins »

17 septembre 2025

Sénégal – Mines : Birame Soulèye Diop révèle pourquoi 95 % des demandes de titres sont rejetées

17 septembre 2025

Blanchiment de capitaux présumé : La CENTIF ouvre une enquête sur des paiements de 6,7 milliards de FCFA à un cabinet français

17 septembre 2025

Pool judiciaire financier (Pjf) : Amy Samaké et la Dage du ministère des Télécommunications arrêtées

17 septembre 2025

Scandale financier au ministère du Numérique : deux hautes responsables arrêtées, l’ancien ministre Me Moussa Bocar Thiam cité

17 septembre 2025
Suivez-nous
  • Facebook
  • Twitter
  • Instagram
  • YouTube
À propos de nous
À propos de nous

DakarMatin traite des principaux problèmes de notre temps sous un angle destiné aux spectateurs qui veulent en savoir plus sur le Sénégal en soulevant des sujets souvent ignorés par les médias grand public pour produire un contenu qui sort de l’ordinaire.
Ecrivez-nous: dakarmatin@gmail.com
Contact: (221) 33 825 25 17

Facebook X (Twitter) Pinterest YouTube WhatsApp
Derniers articles

Paris sportifs en ligne: quels risques pour les jeunes ?

17 septembre 2025

Ambiance balnéaire à Dakar : La plage de Ngor, une baie de détente populaire

17 septembre 2025

Birame Souleye Diop révèle : « plus de 200 sites d’hydrocarbures sont clandestins »

17 septembre 2025

Sénégal – Mines : Birame Soulèye Diop révèle pourquoi 95 % des demandes de titres sont rejetées

17 septembre 2025
Les articles populaires

Refus d’acquiescement de Sonko : la grosse erreur du président du tribunal de Dakar

17 octobre 202359 362 Vues

Affaire Ousmane Sonko : Me Ciré Clédor donne les deux raisons pour lesquelles son client a suspendu sa grève de la faim

3 septembre 202354 247 Vues

Embargo sur le Mali: Les Groupements Economiques du Sénégal annoncent 1348 camions en souffrance à la frontière avec le Sénégal

3 février 202246 437 Vues

Séquestration de Sonko : L’indignation de la Communauté Internationale

29 mai 202332 975 Vues
© 2025 DAKARMATIN
  • WEB RADIO
  • Web TV
  • Reportages
  • Scandales d’Etat
  • Chroniques
  • Religion
  • Culture
  • People
  • Contributions
  • Autour du Micro
  • Carte Blanche
  • Actualité des régions
  • Nouvelles Technologies

Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour effectuer la recherche. Appuyez sur Esc pour annuler.

pixel