À vouloir coûte que coûte exclure Ousmane Sonko de la scène politique, le procureur semble avoir pris la ferme résolution de s’affranchir de l’article 90 de la Constitution et donc, de toutes les règles de droit !
Il va même jusqu’à se prévaloir de sa propre turpitude, lorsqu’il accuse Madame Ndeye Khady Ndiaye d’avoir diffusé des images contraires aux bonnes mœurs.
En effet, le rapport d’enquête interne de la Gendarmerie établit de façon irréfutable que c’est le procureur, lui-même, qui a fait introduire frauduleusement des images provenant d’un autre salon de massage n’appartenant pas à Madame Ndeye Khady (d’ailleurs, les liens google ayant permis de les télécharger sont visibles sur ces documents).
Les avocats de Sonko doivent savoir que les incriminations de viol et menaces de mort ne sont qu’un miroir aux alouettes, car le refus de leur client de se soumettre à un test ADN n’aurait accrédité les allégations de Adji Sarr que si, et seulement si le gynécologue avait constaté l’effectivité d’une conjonction sexuelle.
Mais, dans la mesure où la plaignante n’a apporté aucune preuve étayant ses allégations, exiger du mis en cause un test ADN, c’est opérer un renversement de la charge de la preuve.
La plaignante n’étant pas en mesure d’apporter la moindre preuve, le procureur exige du mis en cause de se soumettre à un test ADN pour prouver son innocence (qu’il ne l’a pas violé) : c’est une aberration !
La vérité est que le procureur, s’étant rendu compte que le dossier était vide, avait dès le départ penser qu’il valait mieux avoir deux cordes à son arc. Et pour cela, il avait fait glisser les fameuses images, qu’il dit non conformes aux bonnes mœurs, dans le dossier pour le cas échéant, accuser Ndeye Khady Ndiaye de proxénétisme et, par ricochet, faire condamner Sonko sur la base de l’article 325 du Code Pénal.
À ce propos, le procureur a été inspiré par la jurisprudence française selon laquelle, est qualifié de proxénétisme, le fait, pour un propriétaire de salon de massage, de diffuser des photos pornographiques.
La seule preuve matérielle dont dispose le procureur, ce sont ces images qu’il a, lui-même, frauduleusement introduites dans le dossier.
Il est important de rappeler que Sonko a bel et bien le droit de se servir du rapport d’enquête interne de la Gendarmerie comme preuve de son innocence, cela participe des droits de la défense dont la Constitution dit qu’ils sont absolus.
À ce propos, personne ne peut arguer du caractère confidentiel de ce document qui dénonce des faits délictueux commis contre le citoyen Sonko.
Quant aux témoins, il y a qu’il s’agit d’une affaire criminelle dans laquelle le témoignage est un moyen de preuve que le procureur ne peut récuser que pour des raisons que la Cour Suprême estime pertinentes. À preuve, le procureur a tenté d’écarter le témoignage de Madame Tall qui vient confirmer la mythomanie de la plaignante qui a déclaré que c’était Sonko qui l’avait mise enceinte, comme elle l’avait d’ailleurs déclaré aux enquêteurs de la Gendarmerie.
Concernant MC Niasse, la plaignante a reconnu devant le juge d’instruction que c’était bien elle qui avait accusé Mamour Diallo d’être l’instigateur de cette affaire.
De plus, il est remarquable que le procureur n’ait rien dit sur le fait que la plaignante avait tenté de corrompre la deuxième masseuse, qui était présente, pour qu’elle ne témoigne pas.
Enfin, s’il y a un signe qui prouve quelque chose, c’est la traque dont est victime le gynécologue, qui a refusé d’établir un certificat médical de complaisance. À cela s’ajoute le fait que le procureur ait passé sous silence que la plaignante avait été renvoyée par Madame Ndeye Khady Ndiaye, qui l’avait surprise dans une position indécente.
En conclusion, il ressort du réquisitoire publié dans la presse, que le procureur n’a aucune preuve d’un quelconque viol, mais cherche à utiliser les photos pornographiques, qu’il avait lui-même fait glisser frauduleusement dans le dossier, pour passer du viol au proxénétisme impliquant une maison de débauche.
Ils sont pathetique et a la limite ridicule. Senegalais dioke lene sauver votres pays des badolos. Lou eupe tourou…
Triste ce que ce pays est devenu depuis 2012!
C’est clair comme l’eau de roche et très pertinent ! Merci !
C’est la peur.
Ils ont perdu le sang-froid
Toutes les formes sont légales pour empêcher à Ousmane SONCKO d’accéder au pouvoir qui ne les appartiennent pas.
J’ai pitié de Macky Sall qui ignore que le pouvoir appartient au tout puissant Allah et il le donne qui il veut sans demander l’autorisation de personne et sans rendre compte qui que se soit.
, vous tout compris.. malheureusement pour ces arrivistes…
Heureusement qu’on est au 21ème siècle et que les réseaux sociaux sont là sinon, tout cela serait passé comme lettre à la poste.
Pour moins que ça en Italie un fameux procureur (juge Abate de Varese) a été sanctionné, jugé par la CSM de ce même pays. Pour vous montrer comment chez nous manque la justice, l’éthique et les valeurs. On se dit même un pays de l’islam, ce soisdisant procureur même se réclame musulman. C’est ça le Sénégal, c’est ça l’Afrique et c’est ça aussi l’homme noir qui est un éternel traître. Désolé mais c’est ça.
Je ne sais pas qui a fait ce poste, mais il résume à merveille la situation du dossier Mamour Diallo /Adji Sarr. Macky a fait tuer Didier inutilement Badji et Fulbert Sambou pour cacher les réquisitions téléphoniques. Elles sont sorties.
Il a fait emprisonner PAN, pour l’empêcher de parler du rapport interne de la Gendarmerie. Peine perdue.
Macky gueumeul Yalla bayi Sonko.
Bilahi, Macky si tu savais ce que tu risques en voulant à tout prix éliminer l’espoir de tout un peuple, tu rentrerai ta petite queue entre tes grosses fesses. et laisser Sonko tranquille.