Le Sénégal, autrefois un phare démocratique, se retrouve aujourd’hui dans les rets d’une tragédie politique. La haute trahison, le parjure, la violation de la Constitution – le président Macky Sall a mené notre nation dans une valse infernale de désillusion, laissant derrière lui des institutions en lambeaux et une démocratie sur le fil du rasoir.
Les pages de l’histoire politique de notre cher pays sont désormais tachées d’une indignation et d’une inégalité républicaine sans précédent. Filouter avec nos institutions semble être devenu leur modus operandi, une étiquette que le président Sall porte sans vergogne. En reportant les élections, il s’est précipité dans l’abîme du déshonneur, sacrifiant le peu d’estime qui lui restait.
Défendre ce régime devient une plongée volontaire sous les fourches caudines de la désillusion. Macky Sall a trahi la confiance du peuple sénégalais, ébranlant les fondements mêmes de notre démocratie. Les institutions, autrefois robustes, se retrouvent désormais affaiblies, témoins impuissants de la dégradation de notre héritage républicain.
C’est une tristesse profonde de voir notre nation en arriver là. La grandeur du Sénégal, autrefois louée sur la scène internationale, est désormais éclipsée par l’ombre du cynisme politique. L’éclat démocratique qui illuminait notre pays s’est éteint, laissant place à une période sombre et incertaine.
Il est temps pour chaque citoyen de se demander s’il peut encore soutenir un régime qui érode la démocratie et dilapide les valeurs qui ont forgé notre identité nationale. La voie vers la rédemption démocratique nécessitera plus que des élections reportées – elle exigera un réexamen profond de nos principes fondamentaux.
Le Sénégal mérite mieux que cette descente aux enfers. C’est un appel à la résilience, à la prise de conscience collective, pour restaurer la dignité démocratique et reconstruire nos institutions. Que cette période sombre serve de catalyseur pour une renaissance politique, ramenant le Sénégal à la splendeur de ses jours démocratiques passés.