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Société

Projet énergie OMVG : La préférence étrangère

Par Dakar Matin22 octobre 2020Updated:22 octobre 2020Aucun commentaire159 Vues
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Dans les différents postes en construction au Sénégal, dans le cadre du gigantesque projet Energie de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Gambie, la plupart des intervenants sont des étrangers. En dehors de la main-d’œuvre non-qualifiée et, dans une moindre mesure, le génie civil, les entreprises locales (sénégalaises ou de la sous-région) sont quasi absentes. Les compétences sont-elles inexistantes ? Des dispositifs ont-ils été pris pour qu’il y ait un transfert de compétence ? ‘’EnQuête’’ interroge les experts.

Quand c’est géant, c’est souvent l’étranger. Le projet Énergie de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Gambie (OMVG) ne fait pas exception. Dans ce chantier gigantesque qui s’étend sur près de 1 700 km, reliant par des pylônes et la fibre optique les réseaux électriques du Sénégal, de la Guinée et de la Gambie, se côtoient des entreprises de plusieurs nationalités, y compris quelques sénégalaises. Mais dans les travaux les plus sophistiqués, c’est plutôt les Chinois, les Indiens et les Marocains qui se taillent la part du lion.

Ingénieur-conseil d’Aecom, ayant en charge le contrôle du projet, le Marocain Ahmed Hatab explique : « En fait, les travaux des lignes haute tension sont des travaux spécifiques. Il n’empêche, l’OMVG a tenu à maximiser la présence de la main-d’œuvre locale à travers la sous-traitance de certains travaux comme le génie civil… Pour les autres segments, l’organisation veille aussi à l’implication et à l’encadrement des ressources humaines locales. Mais dans certains domaines, il manque une expertise locale.’’ Parmi ces domaines où les locaux sont le moins présents, selon l’énumération de M. Hatab, il y a les travaux d’assemblage, les travaux d’élévation des supports, de jonction de la fibre optique, même des travaux de fondement, soutient-il.

Ingénieur de l’unité de gestion du projet de l’OMVG, Amadou Sylla Fall embouche la même trompette et reconnait un déficit d’expertise dans certains domaines. De plus, estime-t-il, le problème fondamental des ressources humaines dans nos pays, c’est le manque d’expérience. Il déclare : « Il faut le reconnaître. Il y a un problème d’expertise auquel nous sommes confrontés dans certains domaines. Nos ingénieurs sont sortis des mêmes écoles, mais parfois il leur manque l’expérience. Cette expérience, elle s’acquiert dans le temps. C’est d’ailleurs pourquoi ce genre de projets, en plus de son impact social et économique, est très important, en ce qu’ils constituent une opportunité de transfert de compétence. Et c’est l’option qui a été retenue par l’OMVG en impliquant la main-d’œuvre locale ».
A l’instar des pays asiatiques dont l’Inde, il préconise que les pays africains devraient s’engager dans cette dynamique. « Aujourd’hui, dans le monde, beaucoup ont pu le réussir au point de gagner des marchés à l’étranger. Nous aussi, en Afrique, je pense qu’on devrait aller dans ce sens. Mais cela ne se fait pas en un jour. A moyen et long terme, il faut travailler à être plus autonome ».

Pour réussir un tel pari, l’ingénieur considère qu’il va falloir que les Etats accompagnent, comme c’est le cas dans le cadre du projet Energie. Mais il faut aussi que le privé s’y mette. « Les privés nationaux doivent, dans nos pays, envoyer leurs ingénieurs à l’étranger, pour approfondir leurs connaissances. L’Etat pourra ensuite les impliquer dans certains projets ».

A l’en croire, un pas important a été franchi, avec le projet Énergie de l’OMVG. ‘’Moi qui vous parle, je suis ingénieur sénégalais et je suis envoyé ici dans le secteur de l’électricité. Je suis ici pour accompagner le projet, suivre ce qui se fait et acquérir de l’expérience. Je dois aussi dire que la dimension formation à l’étranger a également été tenue en compte. Malheureusement, à cause de la pandémie, on n’a pas pu faire certains voyages que l’on devait faire dans le cadre de cette formation et de ce partage d’expérience’’.

Quoique très peu représentée dans ce projet sous-régional d’un financement total de 722 millions de dollars, l’expertise sénégalaise a pu faire ses preuves dans les segments où elle a été impliquée. Il en est ainsi de Tanaf (Sédhiou) où Energecom a remporté le marché relatif à l’érection des équipements, l’installation des structures, entre autres, comme le signale M. Fall. Mais selon nos informations, cette entreprise avait candidaté aussi bien pour Tanaf que pour Kédougou. Mais, au finish, elle n’a pu avoir que Tanaf. Le constructeur KEC a préféré donner le reste à une de ses compatriotes.

Qu’à cela ne tienne ! L’ingénieur de l’unité de gestion du projet, Amadou Sylla Fall, se félicite de ce qui a été fait, même s’il en appelle à plus. « Il faut retenir que la main-d’œuvre locale est bien impliquée. Par exemple, tout ce qui est génie civil ici, c’est assuré par une entreprise entièrement sénégalaise qui s’appelle Omnibat. C’est la même chose du côté de Tanaf. Et, au-delà, l’OMVG est engagée dans le cadre de la formation des ingénieurs de nos pays qui interviennent dans le projet’’.

‘’Nous avons veillé à ce que nous entreprises soient impliquées dans tout ce qu’elles peuvent faire’’

Il ressort des précisions du secrétaire général de l’OMVG, Ababacar Ndao, que les principaux constructeurs des postes au niveau du Sénégal sont : les Indiens (KEC) qui sont dans les postes de Tamba et Kédougou, ainsi que sur la ligne Tamba – Kaolack. Il y a aussi les Marocains de Cegelec qui interviennent sur la ligne Kédougou – Tamba. Entre Kédougou et le Mali, il y a les Français. Et en Guinée, il y a une entreprise chinoise.

Par ailleurs, souligne le SG, il y a également Eiffage qui travaille dans les postes au niveau des autres pays.

Ces grandes entreprises, souvent, contractent avec des sous-traitants. Si la construction est trop grande pour être remportée par les entreprises des pays de l’OMVG, certains estiment que les parts qui leur sont octroyées au niveau de la sous-traitance sont très en deçà des capacités des acteurs locaux. Mais, estime M. Ndao, il ne faut pas perdre de vue qu’il y a des procédures. ‘’Il y a des travaux spécialisés. Aussi, il faut savoir que nous travaillons avec des bailleurs de fonds et il y a des procédures à respecter. Nous avions lancé des appels d’offres. A l’époque, nous avions reçu plus de 60 offres. Et ce sont ces entreprises qui sont sorties victorieuses de cette compétition. Ce qu’il faut noter, c’est qu’il y a une grande diversité. De plus, nos ingénieurs se brassent avec des Marocains et d’autres compétences. Je pense qu’il faut s’en réjouir’’.

En outre, M. Ndao a tenu à saluer la coopération Sud-Sud avec les entreprises marocaines qui sont bien présentes au niveau du projet. Et d’ajouter : ‘’Ce qu’on n’a pas dit au niveau du centre (poste de Tamba), c’est que tout ce qui est génie civil, c’est les Sénégalais qui le réalisent. Nous avons veillé à ce que nos entreprises puissent, par la sous-traitance, être impliquées dans tout ce qu’elles peuvent faire. Comme vous pouvez aussi le voir, nos ingénieurs travaillent avec leurs homologues qui disposent parfois d’une très grande expérience. J’ai noté, par exemple, quelqu’un qui a 30 ans d’expérience. Il a travaillé sur 400 kV. Vous vous rendez compte ! Cela veut dire tout simplement que nos ingénieurs sont entre de bonnes mains et c’est ce qu’il faut retenir.’’

LIBASSE NIANG, DG ENERGECOM

Joint par téléphone, le directeur général d’Energecom (entreprise sénégalaise qui intervient au niveau du poste de Tanaf) salue le projet, mais estime que l’expertise locale aurait pu davantage en bénéficier. Ce, d’autant plus qu’elle est appelée à assurer la maintenance.

Pensez-vous que la main-d’œuvre locale ou sous-régionale est suffisamment impliquée dans la réalisation de ce projet ?

Disons pas tellement. Il faut savoir que c’est parfois un peu complexe. Tout dépend de la philosophie du maitre d’ouvrage et des bailleurs de fonds. Au niveau international, c’est souvent des bureaux d’études qui mènent le processus et, à ce niveau-là, la préoccupation locale n’est pas tenue en compte. Les grandes entreprises qui gagnent, elles, tout ce qui les intéresse, c’est d’aller vite. Si on ne leur impose pas de travailler avec des locaux, ce n’est pas leur préoccupation.

En ce qui nous concerne, c’est l’Indienne KEC qui nous a contactés parce qu’elle avait nos références. Nous avions candidaté au même titre que des entreprises indiennes et on a gagné pour le site de Tanaf (Sédhiou). L’autre qui est à Kédougou et qui nous intéressait beaucoup, a été donné à une entreprise indienne. De ce fait, les locaux sont très peu représentés, pour ce qui est du montage, l’installation et au niveau du commissionning. Nous pensons que nos Etats doivent davantage s’impliquer dans ce domaine, parce que quand même, nous allons payer avec nos deniers.

Vous faites quoi concrètement ?

Tout ce qui est installation des structures métalliques. On met les pylônes, on met les jeux de barre… Bref, on fait l’installation et on le fait depuis longtemps. Maintenant, il y a les multinationales qui vendent le soft. Nous, on installe le hard, c’est-à-dire tout ce qui est équipement. Eux, ils viennent installer les logiciels et autres, mais nous branchons par exemple les armoires et tout. Nous avons une grande expérience dans ça.

L’un des arguments qui est brandi, c’est l’absence d’expertise. Etes-vous d’avis ?

Vous savez, depuis 1960, au Sénégal en tout cas, ce sont des entreprises locales qui font les gros projets. Et cela a des avantages certains. Si on ne fait pas travailler les locaux, qui va faire la maintenance ? Vous pensez qu’elles vont quitter l’Inde pour faire la maintenance ici ? Ce n’est pas possible. Ce sont les locaux qui vont le faire. Je pense qu’il y a des entreprises locales qui peuvent être à niveau dans ces domaines, si on les accompagne. Vous pouvez voir ce qui est fait à Tanaf. Nous n’avons rien à envier aux autres, d’un point de vue expertise.

Vous savez, ce sont les mêmes études, les mêmes étudiants, les mêmes ingénieurs. Je pense que, quelque part, il y a un complexe qui ne dit pas son nom.

Que peuvent attendre les entreprises locales des gouvernements ?

D’abord, qu’ils accompagnent leurs entreprises. Comme je l’ai dit, la maintenance, ce sera nous. Personne ne viendra nous faire la maintenance. Nous avons tout intérêt à encourager cette expertise. Quand il s’est agi du plan Takkal, le marché était gagné par des Américains, mais c’est nous qui avons tout fait. Nous avons installé des centrales de 100 mW à Kounoune et au Cap des biches.

Mais c’était quand même un appel d’offres ouvert. Quels sont les domaines où les locaux sont moins performants ?

En fait, il y a eu l’appel d’offres et ces grandes entreprises ont gagné. Mais dans le choix des sous-traitants, je pense qu’on aurait pu accorder davantage de parts de marchés à nos entreprises. L’autre point, c’est que nous devons aussi davantage nous regrouper, mutualiser nos efforts pour aller à l’assaut de ces marchés. C’est ce que nous avons fait. Ce qui est dommage, c’est que, parfois, l’Etat ne nous connait même pas.

MOR AMAR

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