Quatre (4) jours après son refus de suivre le traitement des médecins à son chevet, l’état de santé de Pape Alé Niang a gravement rechuté.
Le journaliste est cloué au lit poursuivant sa grève de la faim entamée depuis 14 jours.
Il déclare prêt au sacrifice suprême pour dénoncer son emprisonnement arbitraire et injuste.
Si Pape Alé Niang meurt en prison cela risque d’avoir des conséquence inattendu aussi bien au Sénégal qu’à l’étranger parce que notre pays sera à jamais frappé d’une infamie. L’affaire de l’assassinat de Zongo est moins « grave » puisque Zongo a été assassiné. Sa souffrance n’a dure qu’un petit instant. Or PAN est en train de dépérir lentement depuis 14 jours. Maky et ses copains le regardent avec indifférence et le laissent mourir. Ils sont en train de préparer un prétexte pour se dédouaner et nous faire gober que c’est l’affaire la justice et qu’ils respectent la séparation des pouvoir. Mais cela ne convaincra personne puisqu’il n’y a pas séparation de pouvoir au Sénégal. Autant pour Zongo on peut prétexter que Compaoré a été pris de court par ses partisans trop zélés et n’a pas eu le temps de stopper le processus d’assassinat. Autant Maky ne peut donner ce prétexte puisque le cas de PAN se passe devant lui, devant tout le Sénégal, toute l’Afrique noire et toute la diaspora. J’espère qu’il sera suffisamment intelligent et sensible pour agir avant que l’on ne lui annonce le décès de PAN. A ce moment la mort de ce journaliste le hantera pour le restant de sa vie s’il y a un peu d’humanité en lui. Comme celle de Hussen Habré le grand résistant tchadien qui avait été accueilli à bras ouverts par les prédécesseurs de Maky pendant des dizaines d’années et qu’il a laissé mourir de Covid alors que cette mort était évitable. Si j’avais un conseil à donner à Maky c’est de libérer PAN et stopper sa grève de la faim pour éviter d’avoir un deuxième mort évitable sur les bras. A méditer. J’espère que Maky lira mon post
De quel ISLAM se réclame le PR Macky Sall dites moi !
kilifeu dey matt kilifeu en restant tolérant quoi qu’ il advienne