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Home»A la Une»« Le gouvernement d’union nationale ne sera une bouée de sauvetage « 
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« Le gouvernement d’union nationale ne sera une bouée de sauvetage « 

Par admin26 juillet 2020Aucun commentaire252 Vues
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L’enseignant-chercheur à l’université Gaston Berger de Saint-Louis ne trouve aucune pertinence à la mise en place d’un gouvernement d’union nationale au Sénégal. Pour Maurice Soudieck Dione, le pays ne fait pas face à une crise politique, comme le cas du Mali voisin, mais plutôt à une crise sanitaire liée au coronavirus. Aux yeux du docteur en science politique, ce type de gouvernement ne sera pas une bouée de sauvetage pour aider l’Etat à faire face à ses multiples fronts.

Un remaniement ministériel est dans les tuyaux depuis des mois. Est-ce que, selon vous, le contexte actuel sied à un gouvernement d’union nationale dont il est, de plus en plus question ?

Un gouvernement d’union nationale est une solution politique de compromis pour surmonter une crise politique. Or, actuellement, le Sénégal n’est pas dans une crise politique. Un président de la République, Macky Sall, a été élu en 2019 avec 58,27 %. Il gouverne avec les membres de sa coalition Benno Bokk Yaakaar. Le contexte que nous traversons est celui d’une crise sanitaire et non point politique qui justifierait la mise en place d’un gouvernement d’union nationale.

 Si c’est le cas, serait-il la suite logique des concertations menées par Macky Sall, au début de l’apparition du coronavirus au Sénégal, avec l’opposition. Quels peuvent être les avantages d’une telle configuration pour le Sénégal actuel ?

Je pense qu’il faut dissocier les deux questions. Car les consultations du président Sall, dans le cadre de la gestion de la pandémie, étaient mues par la volonté et la nécessité d’avoir une surface de légitimité la plus grande possible, afin que toute la nation fasse un seul bloc autour de lui pour combattre le fléau. Mais aujourd’hui, ce consensus semble s’effriter, en raison des incohérences dans la communication du gouvernement et le déficit de pédagogie dans l’explication des changements brusques et radicaux de stratégies de lutte, donnant l’impression qu’on a tout d’un coup tout lâché pour ouvrir un boulevard au virus. D’où une certaine rupture de confiance marquée par une remise en cause de la parole publique, expliquant les termes qui circulent : ‘’corona politique’’, ‘’corona business’’.  

Le régime est en difficulté sur plusieurs questions d’ordre socio- économique dont les scandales sur le foncier et autres. Un gouvernement d’union nationale peut-il être une bouée de sauvetage ?

Certes, le gouvernement est assailli par plusieurs difficultés sur le plan socio-économique, surtout dans un contexte marqué par la vulgarisation de plusieurs scandales, ce qui donne l’impression que les dirigeants usent et abusent de leurs positions pour s’enrichir de manière éhontée dans ce contexte où le peuple traverse une situation extrêmement pénible. Le gouvernement d’union nationale ne sera pas une bouée de sauvetage, car le régime risque de se discréditer davantage, en donnant l’impression de mener une vaste opération politicienne pour neutraliser d’éventuelles contestations.  

 Dans l’opposition, il y a une aile qu’on peut considérer comme dure, avec notamment le Pastef et le CRD. Pensez-vous que ces leaders puissent accepter d’entrer dans le gouvernement ?

Ce serait politiquement suicidaire pour l’opposition d’entrer dans un gouvernement d’union nationale que rien ne justifie, car, encore une fois, la crise que nous traversons n’est pas une crise politique. Dans ces conditions, rejoindre le pouvoir risque d’être perçu comme une volonté de défendre uniquement des intérêts personnels et partisans, de chercher à s’associer aux délices et privilèges du régime au pouvoir. 

 Le PDS vit actuellement une fronde avec le départ d’Omar Sarr et Cie. Le leader de la coalition Tawaxu Senegaal est resté aphone, depuis sa sortie de prison, et le Pur fait également face à quelques difficultés de leadership. Est-ce qu’on peut s’attendre à ce que les membres de ces partis rejoignent la majorité, dans le cadre de la formation d’un gouvernement ?

Je ne le pense pas. Parce que, d’abord, la majorité a gagné sans eux, donc peut gouverner sans eux. Et tout rapprochement actuel entre pouvoir et opposition, dans le cadre d’un gouvernement d’union nationale, sera perçu comme une compromission. Si l’opposition le faisait, elle s’affaiblirait davantage. 

 Dans le même temps, de nombreux bannis du PDS ne cessent de faire des appels du pied à Macky Sall. Pensez-vous qu’ils puissent lui apporter quelque chose d’autant plus qu’ils se trouvent déjà dans l’antichambre de l’APR et ne s’opposent pas ?

 C’est une stratégie constante du président Sall d’affaiblir l’opposition par tous les moyens, y compris illégaux et anti-démocratiques : répression, intimidation, cooptation, distribution d’avantages et autres formes d’incitation et de motivation. Mais la doctrine ‘’mackyavélique’’ de la transhumance ne semble pas avoir changé. C’est plus une manière de discréditer toutes ces personnalités politiques, en leur enlevant toute capacité de nuisance, même verbale et communicationnelle, sans les intégrer dans son système de gouvernement, sinon à des positions périphériques où ils n’incarnent ni autorité ni prestige et n’ont aucune visibilité.

C’est le meilleur moyen de les neutraliser, tout en évitant que l’image de son régime ne pâtisse de leur intégration. On a vu, lors des Législatives du 30 juillet 2017, d’anciens responsables du PDS présenter des listes à leurs compatriotes, en disant que leur objectif était de faire gagner la coalition au pouvoir, en se permettant de lancer les critiques les plus virulentes à l’opposition, alors que celle-ci n’était pas impliquée dans la gestion des affaires publiques !

 Selon vous, quels doivent être les contours de ce gouvernement d’union nationale ?

Bien entendu, on ne peut pas définir les contours d’un gouvernement d’union nationale pour un pays qui ne traverse pas une crise politique. Dans le cas du Mali, par exemple, ces questions ont un sens, car il y a des protagonistes à un conflit politique qui ont des revendications qu’ils font valoir, tout comme le régime du président Keïta réélu en 2018 pour 5 ans a des intérêts et des arguments y compris juridiques et démocratiques à faire valoir. Dans ces conditions et dans ces contradictions, afin de résoudre cette crise politique et institutionnelle, juridictionnelle aussi, puisque la Cour constitutionnelle malienne est mise en cause, eu égard au traitement du contentieux électoral des Législatives d’avril 2020, en plus des questions d’ordre sécuritaire et de celles liées à la montée des violences fondamentalistes, terroristes et communautaires, il est donc pertinent au Mali, par rapport à cette situation, qu’on puisse parler d’accords politiques, de gouvernement d’union nationale, pour sortir le pays de cette impasse, de cette  crise politique.

Voyez-vous des inconvénients à un gouvernement d’union nationale, d’autant que la situation politique du pays est relativement stable ?

Il n’y a aucune pertinence à mettre en place un gouvernement d’union nationale, parce que le pays n’est pas en crise.

 Un gouvernement d’union nationale aura un profil beaucoup plus politique. Avec les échéances et les défis économiques qui attendent le pays qui fait face à une pandémie lourde de conséquences, pensez-vous que ces potentiels ministres vont faire l’affaire et relever les challenges ?

De toute façon, le gouvernement a beaucoup de défis à relever, car la situation économique et sociale s’est beaucoup dégradée, avec la pandémie Covid-19.   

 Pensez-vous que le président de la République puisse rétropédaler et revenir à un gouvernement avec un Premier ministre ?

Le président de la République Macky Sall a pris cette décision importante de supprimer le poste de Premier ministre, au lendemain de l’élection présidentielle de 2019, sans aucune concertation, sans même l’avoir annoncée pendant sa campagne comme une réforme d’envergure et d’en expliquer ses raisons ; et alors même qu’en 2016 un référendum a été adopté par le peuple et que cette question de la suppression du poste n’a jamais été d’actualité. Tout au contraire, que ce soit à travers la charte des Assisses nationales qu’il a signée sans réserve, comme dans les conclusions de la Commission nationale de réforme des institutions (CNRI) qu’il a mise en place avec un coût de 700 millions, il y avait une constante liée à la rationalisation des pouvoirs du président de la République et non à leur accroissement, pour consolider la démocratie sénégalaise, préserver et renforcer le respect des droits et libertés.

Revenir en arrière sur cette décision de supprimer le poste de Premier ministre prise le 14 mai 2019, soit 14 mois après, révélerait, une fois de plus, de manière flagrante, cette tendance à manipuler les institutions sur une base politicienne.

Or, les hommes passent et les institutions demeurent. On ne peut pas fonder une démocratie digne de ce nom, si chaque président qui arrive se taille de manière très situationniste et opportuniste, partisane, conjoncturelle et personnelle, les institutions de son choix. Ce qui fait qu’on ne capitalise pas sur l’expérience institutionnelle et on met en péril le vivre ensemble qui doit être porté et pérennisé par des institutions fortes comme formes sociales établies, investies de sens et de croyances partagées qui les renforcent et les consolident. En tout état de cause, je ne pense pas que le président Sall revienne sur sa décision d’avoir supprimé le poste de Premier ministre, mais il aura à en assumer seul toutes les conséquences. Car il se retrouve sans bouclier, ni fusible.  

 L’objectif de la suppression de ce poste est de faire dans le ‘’fast-track’’. A la lumière de ce qui se passe depuis le début du second mandat et de la manière dont les choses sont gérées, notamment la crise Covid, pensez-vous que la décision est opérante ?

C’est une aberration de parler de ‘’fast-track’’ et de supprimer en même temps le poste de Premier ministre, celui-là qui assurait la coordination de l’action gouvernementale et administrative. Le président de la République ne peut pas être partout en même temps et à la fois, il ne peut pas tout faire ; il a des limites objectives en tant qu’être humain. La centralisation excessive du pouvoir entraîne l’apoplexie au centre et la paralysie aux extrémités. Lorsque le président a changé brutalement de cap dans la lutte contre la pandémie Covid-19, l’incohérence communicationnelle a été frappante, car avec moins de cas, on était en guerre, et avec la multiplication des cas, on passe au relâchement.

S’il y avait eu un Premier ministre, il aurait pu monter au créneau et en ce moment, le président aurait une plus grande marge de manœuvre, avec la possibilité de rectifier et d’ajuster les décisions du Premier ministre, et même de le changer pour se redonner un nouveau souffle. Encore qu’un Premier ministre aurait pu, avec les conseils interministériels, coordonner plus efficacement la lutte contre la pandémie et rendre compte au président.

En plus, en supprimant le poste de Premier ministre, le président de la République concentre davantage de pouvoirs entre ses mains. On ne peut, dès lors, ne pas penser au syndrome de la troisième candidature. Car un président qui en est à son second et dernier mandat ne pose pas des actes de cette nature, en renforçant cette tare congénitale du système politique sénégalais qu’est l’hyper-présidentialisation, dangereuse pour la préservation des droits et libertés. Les fondements du constitutionnalisme reposent, en effet, sur la limitation du pouvoir, pour en neutraliser les nuisances politiques et libertaires. Au surplus, dans l’histoire politique du Sénégal, la suppression du poste de Premier ministre est toujours allée de pair avec la montée de l’autoritarisme. D’abord, après la crise de 1962 entre Senghor et Dia, le poste est supprimé avec la Constitution du 7 mars 1963, et le président Senghor construit son hégémonie sur la base d’un autoritarisme modéré qui culmine avec le parti unique de fait en 1966, après l’absorption du Pra/Sénégal.

Tirant les enseignements de la crise de 1968, le président Senghor fait revenir le poste en 1970, confié à Abdou Diouf, et entame une série de réformes démocratique marquées par le multipartisme limité jusqu’à son retrait du pouvoir en 1980.

Le président Diouf, quant à lui, a supprimé le poste de Premier ministre en 1983, lorsqu’il était dans une phase d’affermissement de son pouvoir jusqu’à se heurter à la crise politique de 1988. Le poste revient en 1991 avec le gouvernement de majorité présidentielle élargie et coïncide également avec une série de réformes juridiques et institutionnelles pour renforcer la démocratie : Haut conseil de radiotélévision en 1991, Code consensuel en 1992 et création du Conseil constitutionnel la même année, notamment.

Dès lors, quel sens peut-on donner à l’attitude d’un président qui en est à son second et dernier mandat et qui pose des actes de construction hégémonique comme la suppression du poste de Premier ministre ? L’avenir nous édifiera.  

  Quelle note donnez-vous à ce premier gouvernement de ce quinquennat ?

L’obsession de la réélection a amené le régime à faire beaucoup de gaspillage, à s’endetter à un niveau très élevé, pour des investissements lourds et colossaux dont la priorité, l’utilité et la rentabilité sont plus que controversées. On peut citer l’exemple du Train express régional (Ter), du Centre international de conférences Abdou Diouf, notamment. En plus de l’insuffisante prise en compte des impératifs de l’aménagement du territoire, en concentrant l’essentiel des ressources sur l’axe Dakar – Diamniadio – Diass. Si on ajoute à cela les conséquences économiques et sociales drastiques et néfastes de la pandémie Covid-19, le gouvernement a encore énormément de travail.  

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