Le Code pénal sénégalais, en son article 254 (Loi n°77-87 du 10 août 1977), protège le Chef de l’État contre toute offense. Mieux encore, ce même article prévoit que les mêmes sanctions s’appliquent à ceux qui exercent tout ou partie des prérogatives présidentielles.
Or, le Premier Ministre -Ousmane SONKO, Père de la Révolution et symbole de la dignité retrouvée du peuple sénégalais- incarne aujourd’hui cette charge et exerce directement une partie de ces prérogatives.
Mais que constatons-nous ?
👉 Des décisions judiciaires qui tergiversent, qui attendent du Procureur qu’il “prouve” ce qui est une évidence.👉 Des petites gens qui, cachés derrière leurs claviers ou même devant leur caméras, se permettent de souiller l’honneur d’un homme que le peuple a choisi et porté au sommet.
Assez d’humiliations !
Assez de ces attaques gratuites contre notre leader !
Assez de cette impunité des offenseurs !
LA SOLUTION EXISTE.
Une simple proposition de loi suffit. Que l’article 254 du Code pénal soit clarifié par une phrase limpide :
« Les peines prévues au premier alinéa sont également applicables aux offenses dirigées contre le Premier Ministre. »
DÉPUTÉS DE PASTEF, VOUS AVEZ TOUS LES LEVIERS !
Le peuple vous a donné une majorité absolue. L’histoire vous a confié une mission : protéger Ousmane SONKO, protéger le flambeau de notre révolution, protéger la dignité des Patriotes.
Chaque jour d’attente est une blessure supplémentaire pour nos frères et sœurs qui craquent face à l’acharnement et au mépris.
QUI PEUT LE PLUS, PEUT LE MOINS !
AGISSEZ MAINTENANT !
Maître Tanor DIAMÉ, Greffier et militant du PASTEF.