Le ministère de la Santé et de l’Action sociale a fait le point sur la situation de la pandémie de la Covid-19 de ce mardi 8 décembre 2020. Une légère hausse de nouvelles contaminations notées. En effet, sur les 844 tests effectués, 43 sont revenus positifs, soit un taux de positivité de 5, 09%.
Il s’agit de 14 cas contacts suivis, 3 cas importés enregistrés à l’aéroport international Blaise Diagne de Diass (AIBD) et 26 cas issus de la transmission communautaire. Ces derniers sont répartis dans les localités suivantes : Maristes (4), Richard Toll (4), Matam (3), Saint Louis (3), Diourbel (2), Dakar Plateau (1) Fann (1), Kaolack (1), Louga (1), Médina (1), Nord Foire (1), Parcelles Assainies (1), Sicap Baobab (1), Thiés (1) et Yoff (1).
Le Directeur de la prévention Docteur Mamadou Ndiaye a annoncé la guérison de 58 patients qui étaient sous traitement, 11 cas graves admis en réanimation et 00 décès.
A ce jour, le Sénégal compte 16. 596 cas confirmés, dont 15. 864 guéris, 340 décédés, et 391 malades sous traitement.

Les tests utilisés pour déclarer positif ou négatif sont des tests PCR. L’inventeur de ces tests, qui a eu un prix Nobel de médecine pour cela, a recommandé de ne pas les utiliser pour détecter des virus, parce qu’ils donneraient des résultats faux. Pour les besoins de la terreur covid 19, on dit à l’inventeur des tests; « Merde ! Tu peux inventer, mais tu ne peux pas nous conseiller ce que nous devons en faire ».
Et le principe est celui d’amplifier les signaux des particules dans l’échantillon à tester. Il y a donc le choix du niveau d’amplification ( cycles, ou fréquences, amplifications, agrandissements). Avec des cycles faibles, les tests ne trouveront aucun malade. Avec des cycles trop forts, tout le monde sera détectés malades, porteurs du virus. Alors tout est question du niveau d’amplification. Et tous les pays du monde n’ont pas choisi le même niveau d’amplification. Ce qui fait que vous pouvez être testé négatif dans un pays donné, et malade dans un autre pays, le même jour, avec le même échantillon. Tout pays du monde, s’il est libre de son choix, choisit le niveau d’amplification qu’il trouve être le plus judicieux pour donner les résultats les plus fiables. Tout en sachant, qu’honnêtement, on n’aura jamais une certitude, quelque soit le cycle choisi, tant qu’on n’aura que ces tests PCR pour savoir qui est malade et qui ne l’est pas. C’est ce que la cour suprême de Portugal a jugé, faisant ainsi jurisprudence: les tests PCR pour connaitre les positifs et négatifs ne sont pas fiables. Mais puisque c’est ce qu’il y a, on va les utiliser, mais en sachant que toute loi ou mesure basée sur les résultats de ces tests est illégale.
Qu’on continue donc, d’utiliser ces tests, pour retenir leurs résultats comme des faits scientifiques incontestables à déverser dans les médias, à répéter en masse, n’est que stratégie de terrorisme covidiste. Du faux et de l’incertain à hurler pour faire peur. Rien de scientifique, rien de médical. Je rappelle que 11 médecins de Fann avaient été déclarés positifs. Ils n’ont fait que contester ces résultats. Les tests furent repris et ils furent tous déclarés négatifs, à 100%. Rien de scientifique. Un simple outil de terreur.
Un pays peut décider de faire une deuxième vague, c’est facile, il suffit d’augmenter le nombre de tests et hausser l’amplification, les cycles. Un pays peut décider de ne pas faire de vague du tout, il suffit de baisser les cycles et de réduire le nombre d’échantillons à tester quotidiennement.