La Confrontation entre Ousmane Sonko et Adji Sarr aura lieu la semaine prochaine au Tribunal de Dakar.
L’instruction dans l’Affaire Sweet Beauty passe à une nouvelle étape. En effet, Ousmane Soncko et Adji Sarr feront une confrontation le 06 Décembre prochain. Ce, dans le bureau du Doyen des juges d’instructions, Oumar Maham Diallo. L’information a été confirmée par Me Bamba Cissé, joint par iGFM. Il est membre du pool d’avocats du leader de Pastef.
LE JUGE APPLIQUE LES CONSIGNES DU ROI. PAS DE DEBAT ON S’EN FOUT ROYALMENT. LA JUSTICE DU ROI. CE QUE VEUT LE ROI LES ESCLAVES LE FONT.
Le Sénégal en plein dans le 3ème Reich !
De 2012 à 2022, le Président Macky Sall a réussi à plonger le Sénégal dans l’arbitraire.
Tout le monde s’était trompé en jetant l’anathème aux magistrats. Car, pour arriver à déliter complètement la justice, Macky Sall savait qu’il était nécessaire de néantiser toutes les garanties que le législateur a accordé aux citoyens pour le protéger de l’arbitraire.
Et, c’est ainsi qu’il s’est employé, dès les premières heures de son magistère, à vassaliser les avocats et la cour suprême qui a la charge de veiller à la bonne application de la loi pénale.
Ce constat a été vérifié hier avec Khalifa Sall, et aujourd’hui»hui avec Ousmane Sonko.
Dans chacune de ces affaires, nous avons observé que les autorités de la cour suprême s’étaient tues, et les avocats quant à eux, s’étaient docilement soumis à la volonté personnelle des magistrats.
Dans le cas Khalifa Sall, nous avions vu que Serigne Bassirou Gueye avait tout simplement fait prévaloir sa propre volonté sur la loi, qui est l’expression de la volonté du Peuple souverain, pour empêcher Khalifa d’être candidat en 2019. Pour ce faire, il avait tout bonnement suspendu les effets de l’article 164 du Code de Procédure Pénale, et cerise sur le gâteau, i s’était permis de convoquer un point de presse pour déclarer qu’il avait décidé de remplacer le dossier de l’enquête préliminaire par le rapport de l’IGE qui ne comportait aucun élément infractionnel. À l’audience, les magistrats ont utilisé les éléments de l’enquête préliminaire (fausses factures, aveux etc…) en violation de l’article 167 du Code de Procédure Pénale.
Dans l’affaire Ousmane Sonko, une enquête menée par deux officiers supérieurs, qui ont la qualité d’officiers de police judiciaire, a établi que le dossier d’enquête a été falsifié, et le juge Maham Diallo, lui-même, lors de l’audition de Ndeye Khady Ndiaye avait constaté que des photos pornographiques ont été frauduleusement introduites dans le dossier pour asseoir la thèse du proxénétisme. De plus, lors de l’audience du gynécologue, il avait pu constater que le certificat médical était frappé de nullité en vertu de l’article 166 du Code de Procédure Pénale. Mieux, il a été informé que M. Ousmane Sonko avait déposé plainte auprès de la cour suprême. Dès lors, il est évident qu’il y avait soit question préalable, soit question préjudicielle.
Il est donc évident qu’au vu de ce qui précède, le doyen des juges Maham Diallo, en continuant de poser des actes de procédure, a tout simplement décidé de s’installer sur le terrain du non droit. Or, dans cette perspective, il est permis de dire que tout comme Khalifa Sall, Ousmane Sonko va être soumis à un procès extrajudiciaire.
MAIS OÙ SONT DONC SES AVOCATS ?!