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Home»A la Une»Refonte institutionnelle contre l’hyper présidentialisme
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Refonte institutionnelle contre l’hyper présidentialisme

Par Dakar Matin20 septembre 2023Aucun commentaire1 030 Vues
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 Inverser le repli autoritaire, sauver l’État de droit et réformer les institutions pour une réelle séparation des pouvoirs. « Sursaut citoyen » se présente comme une force de réflexion et d’action progressiste

Le groupe « Sursaut citoyen » se présente comme une force de réflexion et d’action dédiée à la sauvegarde de la démocratie et de l’État de droit au Sénégal. Fortement préoccupé par la constante dérive hyperprésidentialiste postcoloniale, ce groupe, initié par de grands noms de l’intelligentsia sénégalaise, s’insurge contre l’accroissement du pouvoir présidentiel au détriment des autres branches gouvernementales. S’appuyant sur l’héritage de résistance et de défense des libertés civiles du peuple sénégalais, l’initiative entend non seulement préserver ces acquis, mais aussi promouvoir la réforme des institutions en faveur d’une véritable séparation des pouvoirs. Face aux violations actuelles des droits et des libertés, l’objectif est clair : inverser la tendance autoritaire, renforcer l’État de droit et combattre résolument l’hyperprésidentialisme qui menace la démocratie et la stabilité du pays. Composé de 59 membres fondateurs, ce groupe aspire à rallier des citoyens sénégalais soucieux de démocratie, de justice et porteurs de valeurs progressistes. SenePlus, publie ci-dessous, l’intégralité de la déclaration constitutive.

Le peuple sénégalais, grâce à ses organisations progressistes et démocratiques successives, a mené des combats héroïques multiformes pour conquérir l’exercice des libertés civiles et fondamentales, notamment celles d’association, de réunion, d’expression et de vote. Ces conquêtes ont permis la consécration du pluralisme politique et syndical ainsi que l’avènement d’une presse indépendante du pouvoir politique. C’est certainement sur ces acquis que repose la fameuse « exception sénégalaise » qui, surfaite ou non, explique pour une bonne part l’absence de coup d’État militaire et la réalisation de deux alternances politiques à la tête de l’État par les urnes. Toutefois, force est de reconnaitre que ce processus de démocratisation n’a pas réussi, pour l’essentiel, à remettre en cause l’orientation, la structure et le fonctionnement de l’État hérité de la colonisation. Celui-ci a plutôt, au fil du temps, connu une aggravation de son déficit démocratique originel : pouvoir présidentiel autocratique accru, plus forte subordination des pouvoirs législatif et judiciaire à l’exécutif, manipulation plus sophistiquée du processus électoral au profit du parti au pouvoir, gouvernance prédatrice et de détournement des ressources publiques… Ces graves carences de l’État représentent autant d’obstacles à l’approfondissement de la démocratie, notamment au droit des citoyens à la sécurité juridique et à un procès équitable mais aussi à la santé, à l’éducation, à la protection sociale… La nature ambivalente actuelle du régime sénégalais découle de ce double visage. Elle reflète aussi l’équilibre des forces en présence et dont le basculement d’un côté ou de l’autre produit les avancées et les reculs que le processus de démocratisation a connus dans notre pays. Où en sommes-nous aujourd’hui dans ce rapport contradictoire ?

Des reculs graves dans le respect de la démocratie et de l’État de droit

Le président de la République s’est cru fondé d’annoncer publiquement sa volonté de réduire l’opposition à sa plus simple expression et de s’y employer effectivement au vu et au su de tous. Non pas par le débat politique, ni par la bataille d’opinion, encore moins par le ralliement   d’une majorité de la population à sa cause. Il s’est agi purement et simplement d’instrumentaliser l’appareil d’État comme arme de guerre politique pour :

  • Empêcher tout concurrent susceptible de gagner de se présenter à l’élection présidentielle par une utilisation abusive de l’appareil répressif de l’État, notamment judiciaire ; 
  • Étouffer le droit d’expression garanti par la constitution en interdisant systématiquement tout rassemblement et toute marche, en fait tout mouvement populaire de résistance contre son projet, en équipant et en utilisant à cet effet les forces de répression ;
  • Faire taire toute voix divergente en judiciarisant le débat politique : arrestations et emprisonnements massifs sur la base d’incriminations le plus souvent contestables   telles que troubles à l’ordre public, appels à l’insurrection, association de malfaiteurs, discrédit jeté sur les institutions, offense au chef de l’État…
  • Restreindre de façon drastique la liberté de presse :  suspension des réseaux de diffusion et arrestation de journalistes qui n’ont eu le tort que d’informer ou de commenter objectivement sur l’actualité politique. 

Pris dans cette spirale répressive folle, le régime ne semble plus avoir de limites et s’est engagé dans les atteintes portées à la vie et à l’intégrité corporelle : usage de la torture, disparitions non expliquées de personnes, utilisation de nervis à des fins de violence, tirs à balles réelles sur des manifestants désarmés…

Où va donc le Sénégal ?

Cette interrogation qui exprime une profonde angoisse sur le devenir de notre pays n’est plus seulement nationale. Nos frères africains se la posent tout comme nos amis du reste du monde. Nous savons que les arrestations massives actuelles nous rappellent la chasse aux patriotes progressistes opérée en 1960 contre les membres et les dirigeants du PAI. Que tuer autant de manifestants nous ramène aux fusillades de l’armée sur les manifestants mobilisés par le PRA contre la manipulation des élections couplées législatives-présidentielles en 1963. Que la dernière dissolution de parti politique date des années 60 et nous situe donc à quelque soixante ans en arrière. A tous ces égards, le régime de Macky Sall est en train de raturer les conquêtes démocratiques acquises depuis 1968 contre le régime du parti unique et de nous ramener aux plus sombres heures de l’histoire du Sénégal.

Source d’inquiétude en plus, cette répression tous azimuts et l’arithmétique macabre qui l’accompagne se déroulent, avec leurs lots de frustrations et de sentiments de révolte, dans un contexte national explosif. La mal gouvernance faite de gaspillage et détournement des ressources publiques, de bradage sans précédent des terres du domaine national (notamment avec la modification du décret de 1972 facilitant le transfert des terres des paysans aux spéculateurs) a engendré une baisse insupportable du pouvoir d’achat avec le renchérissement du coût de la vie de même que  l’aggravation de la pauvreté, du chômage, de la détérioration des services publics de l’éducation, de la santé et de la protection sociale. Elle a particulièrement enfermé les jeunes, la forte majorité de la population, dans des impasses économiques et sociales qui les poussent massivement vers des solutions de désespoir, voire suicidaires : délinquance agressive, émigration par le désert ou la mer… Dans la foulée, la dérive despotique du pouvoir favorise des destructions déplorables de biens publics et privés par des groupes marginaux. Le régime de Macky Sall ne risque-t-il pas ainsi d’allumer la mèche de cette véritable bombe sociale et de plonger le pays dans un chaos d’où il sortira difficilement ?  

Sauvegarder la démocratie et éviter le chaos 

Il est donc plus que temps que toutes celles et tous ceux qui se soucient de l’avenir du Sénégal mutualisent leurs engagements et leurs capacités pour la sauvegarde et l’approfondissement des acquis démocratiques qui ont permis d’éviter les dérives liberticides et chaotiques que vivent certains pays africains. Nombre de voix, notamment celles d’intellectuels renommés, s’élèvent déjà pour alerter l’opinion sur ces sombres perspectives. Elles méritent d’être soutenues et prolongées dans l’action collective. C’est pour tout cela que nous avons décidé de lancer une initiative progressiste dénommée Sursaut citoyen, un groupe de réflexion et d’action pour la sauvegarde de la démocratie et de l’État de droit.

Qui voulons-nous rassembler autour de cette initiative ?

L’initiative cherche à rassembler dans une vaste plateforme les citoyennes et les citoyens sénégalais, de toutes générations et de toutes professions et sensibilités, vivant à l’intérieur du pays comme dans la diaspora et qui sont attachés à la sauvegarde et à l’approfondissement de la démocratie et du progrès social. La diversité recherchée y est considérée non pas comme un problème mais en tant que ressource et opportunité pour enrichir et renforcer la réflexion et l’action. Ce qui exige le règne d’un esprit d’ouverture et de tolérance de la part de chacun ainsi que le respect de ce qui rassemble tous et toutes dans une même plateforme.

Quels missions et objectifs se fixe l’initiative ?

Missions :

  • La sauvegarde et l’approfondissement des acquis du Sénégal en matière de démocratie et d’État de droit ;
  • La contribution au progrès et à la cohésion sociale permettant de désamorcer la « bombe sociale » que constitue l’aggravation de la misère des couches les plus vulnérables, notamment des jeunes, et de préserver la paix.

Objectifs :

  • Lutter contre les violations des droits et libertés démocratiques en cours, interdictions et arrestations arbitraires notamment ;
  • Exiger la libération de tous les détenus politiques et des enquêtes indépendantes sur la mort des manifestants de 2021 et de 2023, de François Mancabou, de Didier Badji et de Fulbert Sambou ;
  • Œuvrer pour des élections présidentielles inclusives, transparentes et démocratiques organisées par une autorité non-partisane et consensuelle ;
  • Contribuer à l’amélioration de la qualité du débat public et politique en y promouvant l’éthique, la pensée critique et l’argumentation rationnelle et fondée sur des faits probants ;
  • Contribuer à l’approfondissement de la démocratie dans la phase post-électorale dans le sens d’une refondation des institutions renforçant l’État de droit, en particulier la séparation des pouvoirs, l’indépendance de la justice, la réforme du présidentialisme autocratique ;
  • Promouvoir, en tant que solide rempart de la démocratie, une citoyenneté démocratique consciente et active dans l’exercice des droits et libertés comme des devoirs et responsabilités ;
  • Contribuer à la transformation sociale dans le sens du progrès pour le mieux-être des populations et pour ouvrir des perspectives d’espoir aux jeunes.

Par quels modes d’action ?

  • Élaboration interne de thématiques, de projets et de programmes en matière de démocratie, de progrès et d’État de droit afin de jouer un rôle de force de propositions transformationnelles : groupes de travail, séminaires, …
  • Interventions dans le débat public et politique pour y promouvoir les objectifs définis : tribunes, pétitions, déclarations, appels…
  • Participation aux luttes pour la démocratie : soutien à des initiatives conformes ; prise d’initiatives
  • Contribution à la transformation : vulgarisation de propositions de réforme dans divers domaines après élaboration interne à travers des conférences publiques, tribunes de presse, divers canaux de communication.

Nous lançons un appel à toutes nos compatriotes et à tous nos compatriotes épris de démocratie et de progrès à la mutualisation de nos réflexions et de nos actions  autour de cette initiative pour leur donner la force catalytique capable d’inverser le repli autoritaire en cours, de sauvegarder nos acquis en matière de droits et de libertés et  d’ouvrir la perspective  d’une refondation de nos institutions en direction de l’approfondissement de la démocratie et d’un  authentique État de droit.

Déclaration constitutive signée par les 59 membres fondateurs du groupe qui reste ouvert à d’autres citoyennes et citoyens attachés à la démocratie et aux valeurs progressistes :

  • Kader Boye, (président) juriste, ancien recteur de l’UCAD, ancien ambassadeur à l’Unesco
  • Rokhaya Daba Fall, (vice-présidente) agropédologue, New York
  • Mamadou Ndoye, (coordinateur) expert en éducation, ancien ministre
  • René Lake, (responsable de la communication) journaliste, Washington
  • Babacar Buuba Diop, (responsable des études) chercheur, professeur d’universités
  • Falilou Kane, (responsable des finances) consultant en finances
  • Paap Seen, (responsable de l’organisation) journaliste, doctorant en Sciences de l’Information et de la communication
  • Félix Atchadé, médecin, Paris
  • Hawa Ba, sociologue et journaliste
  • Selly Ba, sociologue, universitaire
  • Cheikh Badiane, haut fonctionnaire international, Genève
  • Alymana Bathily, écrivain, sociologue des médias
  • Ousseynou Beye, enseignant, Université numérique Cheikh Hamidou Kane
  • Youssouf Cissé, conseil stratégie et développement
  • Demba Moussa Dembélé, économiste
  • Oumar Dia, philosophe, enseignant-chercheur à l’UCAD
  • Mamadou Diallo, historien, doctorant, Columbia University, New York
  • Woury Diallo, inspecteur du Trésor, économiste
  • Abdoulaye Dieye, juriste, professeur à l’UCAD
  • Bachir Diop, agronome, Saint-Louis
  • Boubacar Boris Diop, écrivain
  • Massamba Diouf, enseignant chercheur à la faculté de médecine de l’UCAD
  • Cheikh Ahmed Tidiane Fall, musicien, ingénieur du son, Genève
  • Amadou Fall, historien, enseignant, chercheur, Fastef, UCAD
  • Moctar Fall, juriste et chef d’entreprises
  • Diomaye Ndongo Faye, consultant en stratégie développement politique, Princeton, New Jersey
  • Wagane Faye, avocat
  • Samba Gadjigo, professeur à Mount Holyoke University, Massachusets
  • Makhily Gassama, écrivain, ancien ministre
  • Souleymane Gomis, sociologue, professeur à l’UCAD
  • Abdoulaye Gueye, inspecteur de l’enseignement, syndicaliste
  • Mansour Gueye, informaticien, ancien coordonnateur des Assises nationales en France, Paris
  • Serigne Saliou Gueye, journaliste, directeur de presse
  • Thierno Gueye, expert en droit international et en gestion des conflits
  • Youssoupha Mbargan Guissé, philosophe, sociologue et chercheur
  • Annie Jouga, architecte
  • Malle Kassé, universitaire, interprète
  • Mohamed Ly, médecin, spécialiste de santé publique
  • Saphie Ly, journaliste, DG de Nexus
  • Hady Ndiaye, ingénieur aéronautique, Montréal
  • Khadim Ndiaye, philosophe, historien, Udes, Québec
  • Maty Ndiaye Sy, coach en développement
  • Ousmane Ndoye, consultant, développement et gestion de projets
  • Sada Niang, professeur à University of Victoria, British Columbia
  • Thierno Souleymane Diop Niang, écrivain
  • Ada Pouye, expert en développement international et urgence humanitaire
  • Lamine Sagna, sociologue, professeur à Worcester Polytechnic Institute, Massachusetts
  • Mouhamadou Lamine Sanokho, ancien gestionnaire
  • Abdourahmane Seck, anthropologue, Centre d’études des religions de l’UGB, Saint-Louis
  • Mouhamadou Saliou Ræve Seck, professeur de droit, Université de Nantes
  • Amadou Lamine Sène, linguiste, interprète de conférences
  • Mame Lika Sidibé, archiviste, journaliste, experte paix et sécurité
  • Ibrahima Silla, enseignant chercheur en science politique à l’UGB, Saint-Louis
  • Cheikh Tidiane Sow, mathématicien et coach en communication politique
  • Mamadou Abdoulaye Sow, ancien inspecteur du trésor, ancien ministre
  • Jean-Charles Tall, architecte
  • Oumou Wane Touré, expert-comptable
  • Oussouby Touré, sociologue
  • Mamadou Mao Wane, sociologue, spécialiste protection des enfants
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