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Home»A la Une»Le culte de la non-maîtrise du français
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Le culte de la non-maîtrise du français

Par Dakar Matin23 décembre 2021Aucun commentaire21 310 Vues
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 L’école coloniale nous a fait aimer sa langue en nous poussant vers ce que Boris Diop appelle la haine de soi. Decroix devrait s’ériger contre cette disposition constitutionnelle conférant au français une primordialité sur nos parlers

Invité à l’émission Jury du dimanche du 12 décembre dernier, le politicien député Mamadou Diop Decroix n’a pas mis de gants pour s’attaquer avec une cruelle goguenardise aux enseignants. Leur péché mortel ? Ne pas maîtriser le français de nos ancêtres les Gaulois qui nous sert de langue d’enseignement depuis plus deux siècles. « …On a parlé de la qualité de l’enseignement. On ne peut pas avoir une qualité de l’enseignement si on n’a pas la qualité de l’enseignant. On enseigne dans quelle langue ? On enseigne en français. Aujourd’hui, ceux qui enseignent, je suis désolé, ne maîtrisent pas le français », disait-il au micro du journaliste Mamoudou Ibra Kane. Decroix s’immerge dans ce poncif abyssal et itératif qui est chanté comme une antienne : les enseignants ne maîtrisent pas le français et c’est ce qui explique la baisse de niveau voire la nullité des apprenants. On cloue au pilori les enseignants qui, chaque jour, se sacrifient, nonobstant les mauvaises conditions tous azimuts auxquelles ils sont confrontés dans leur tragique quotidienneté. Et dire que de 2000 à 2012, Decroix a appartenu à un régime qui n’a jamais songé un tantinet à poser la problématique du français comme langue officielle, lequel a montré ses limites en 61 ans de pratique imposée. Quand Abdoulaye Wade accédait à la magistrature suprême, il était question que l’on remît en cause le legs quarantenaire politico-linguistique de Senghor. Que nenni ! La rédaction d’une nouvelle Constitution qui, en réalité, n’était pas nouvelle dans ses grandes lignes, ré-officialisa le français comme la langue-déesse qui surpasse nos dialectes pluriels, lesquels n’ont même pas le statut de sous-langue aux yeux du colon et de ses suppôts locaux. Imposer que « celui qui ne sait ni lire ni écrire en français (article 28 de la Constitution) ne doit pas aspirer à la magistrature suprême » est un acte de discrimination et d’exclusion d’une bonne partie de la population statistiquement et « francisément » analphabète à 54,6%. Bref, le français est un instrument de ségrégation sociale, une langue de domination. Et cet oukase linguistique, la France l’a imposé à toutes ses colonies africaines qui l’ont gravé comme du marbre dans leurs Chartes fondamentales respectives. Pourtant, cette France n’a point inscrit expressément dans sa Constitution que « pour être candidat à la République, il faut savoir lire et écrire le français ».

Les communistes sont connus pour leur aversion au colonialisme et à toute idéologie qui porterait ou perpétuerait le projet colonial. Mais le Sénégal est le pays des paradoxes doctrinaux et des salmigondis idéologiques. Devant les bonheurs et les honneurs, des marxistes-léninistes et des maoïstes ont préféré brocanter leurs ardentes décennies de lutte chevillée à un socle idéologique apparemment imperturbable contre l’ivresse des voluptés du pouvoir.

Aujourd’hui, le combat que le député Diop Decroix doit mener est de mettre en branle une réflexion profonde qui promeut nos langues nationales et leur donne leur véritable place dans nos options et objectifs de développement.

Le mépris de Cheikh Anta contre l’extase senghorienne

Dans « Ethiopiques », Léopold Sédar Senghor qui est chantre ou aède du français s’extasie sans retenue devant la beauté divine de la langue de ses maîtres en ces termes laudatifs : « Si nous sentons en nègres, nous nous exprimons en français, parce que le français est une langue à vocation universelle. Car je sais ses sources pour l’avoir goûté, mâché, enseigné, et qu’il est la langue des dieux. Chez nous, les mots sont naturellement nimbés d’un halo de sève et de sang ; les mots du français rayonnent de mille feux, comme des diamants. Des fusées qui éclairent notre nuit. » Pourtant, c’est lui qui disait « assimiler et non être assimilé », c’est-à-dire « saisir par la pensée un objet de connaissance et l’intégrer à son propre fonds intellectuel » ou « acquérir des connaissances nouvelles » et non « s’intégrer dans un groupe social au point de perdre son identité ».

Malheureusement, l’école coloniale nous a fait aimer sa langue en nous poussant vers ce que Boubacar Boubacar Boris Diop appelle « la haine de soi ». Nous nous abîmons dans une contemplation extatique quand nous entendons nos enfants parler avec aisance la langue coloniale. Combien de fois, dans nos écoles-purgatoires, n’a-t-on pas fait passer au fouettage, à la « cravacherie » tout apprenant téméraire ou imprudent qui baragouine la langue du maître blanc ? Et combien de fois sommes-nous restés insensibles, indifférents devant nos enfants et même de grandes personnes qui massacrent les règles de fonctionnement de nos langues maternelles ?

Cheikh Anta Diop tout comme Majmouth Diop, Ousmane Sembène et autres ardents défenseurs des langues nationales s’est toujours dressé contre le projet senghorien qui fait du français notre langue véhiculaire en réduisant les nôtres à de simples dialectes vernaculaires. Pour eux, le français est comme un cheval de Troie du colonisateur dont la mission princeps est d’investir nos langues et les reléguer à de simples sous-langues s’il ne les anéantit pas. Par conséquent, Diop Decroix, ancien communiste reconverti à la religion libérale, devrait plutôt s’inspirer de ces résistants à l’impérialisme du français au lieu de morigéner les enseignants qui se sont abreuvés à une source linguistique qu’on leur a imposée depuis des décennies mais qui ne parvient toujours pas à étancher leur soif de connaissances.

El Hadji Abdou Aziz Faty, dans sa publication « Politiques linguistiques au Sénégal au lendemain de l’Indépendance. Entre idéologie et réalisme politique », démontre l’importance de la maitrise de nos langues nationales dans tout projet de développement et de civilisation : « En 1817 s’ouvre la première école française à Saint-Louis sous la direction d’un instituteur laïc du nom de Jean Dard. Celui-ci est confronté d’emblée à une tâche de grande ampleur car, quelque statut que la langue française puisse avoir sous ces contrées, elle demeurera toujours une langue étrangère pour les enfants sénégalais. C’est alors que Dard commence à s’interroger sur la méthode à suivre. Deux voies s’offrent à lui : privilégier des leçons de langue (grammaire) pour une bonne connaissance des bases du français ou passer par la langue maternelle des enfants, le wolof, en vue d’une traduction. Il opte pour cette dernière, qui consiste à faire acquérir aux enfants une conscience linguistique claire de leur langue maternelle avant de les faire entrer dans une langue étrangère, le français. La voie choisie par Jean Dard, le détour par la langue maternelle des enfants, nécessite une bonne maîtrise du wolof. Il l’apprend et le maîtrise au point d’en écrire une grammaire et un vocabulaire. Ses élèves peuvent ainsi lire en wolof pour ensuite traduire en français. En procédant de cette manière, Dard s’éloigne du fameux « projet méthodologique » tracé par les autorités coloniales qui, d’ailleurs, ne tardent pas à réagir. En 1822, Jean Dard est démis de ses fonctions d’enseignant sous le prétexte de son inefficacité pédagogique. Restant persuadé du bien-fondé de son choix après sa destitution, Dard affirmait : « La civilisation des Ouolofs est plus que négligée, elle est mise à l’oubli puisqu’on a cessé d’instruire les noirs au Sénégal dans leur langue. Car, quoi qu’on en dise, il faut que les noirs soient instruits dans leur langue maternelle ; sans cela, point d’établissements durables, point de civilisation. » »

Et c’est ce que Philippe Rey a compris quand il affirme que « lorsque des enfants acquièrent des connaissances dans leur langue maternelle, ils progressent plus rapidement que s’ils font le détour par une langue secondaire ».

Cette conception de Dard sur l’utilité des langues maternelles rejoint aussi celle de Cheikh Anta Diop qui, « Dans Nations Nègres et Culture », est catégorique sur l’importance de promouvoir les langues locales : « Il est plus efficace de développer une langue nationale que de cultiver artificiellement une langue étrangère : un enseignement qui serait donné dans une langue maternelle permettrait d’éviter des années de retard dans l’acquisition de la connaissance. Très souvent, l’expression étrangère est comme un revêtement étanche qui empêche notre esprit d’accéder au contenu des mots qui est la réalité. » 

Toute langue véhicule une culture. Qui perd sa langue perd sa culture. « Une société qui n’est pas enracinée dans sa culture, consciente des valeurs qui sont les siennes, ne peut aspirer au développement juste en copiant les autres. La langue, en tant que système abstrait sous-jacent à tout acte de parole, est avant tout un système de pensée qui est vecteur du savoir technologique propre à la société qui en a l’usage. Une langue, quelle qu’elle soit, si elle n’est utilisée quotidiennement ni au sein de l’administration ni dans le système éducatif et se trouve de plus en plus délaissée dans le cercle familial, est vouée à une disparition certaine », dixit Johanes Agbahey. 

Voilà ce qui explique essentiellement les retards de développement de tous les pays qui ont voulu exclusivement faire de la langue du colon un instrument de science et de développement en confinant les langues locales à de simples idiomes vernaculaires. Cela fait 204 années que nous étudions avec le français glottophage et 61 ans que nous en avons fait notre langue officielle et, pourtant, plus de 50 % de la population se heurtent à sa complexité lexicale voire sa difficulté grammaticale et syntaxique. Le mal est plus profond que ne le laisse penser Diop Decroix. Il est structurel et structural. En tant que député du peuple depuis une décennie, Diop Decroix doit aller dans le sens d’une initiative de lois réformistes qui remettraient en cause cette disposition constitutionnelle conférant au français cette primordialité linguistique sur nos parlers endogènes. C’est sur cela que les enseignants l’attendent.

Mais en attendant Decroix, les enseignants continuent de porter leur croix en passant sous les fourches caudines d’un système d’enseignement importé et imposé.  

PS : Je me permets d’apporter quelques corrections au texte de Diop Decroix, maître ès-français, publié dans plusieurs sites le 15 décembre 2021. Certainement que le mien regorge plus de fautes mais je ne me fais point de complexe d’estropier cette langue importée qu’on m’a imposée. 

Texte original

« J’ai lu l’article de François Soudan où est publiée une liste de personnalités dans laquelle on trouve pêle-mêle Nicolas Sarkozy, François Hollande, Jean Pierre Mbemba, bref d’anciens présidents de la République ou d’institutions nationales, d’anciens Premiers ministres, des milliardaires et des personnalités très en vue dans le monde comme Julius Malema d’Afrique du Sud, etc. Toutes ces personnalités selon monsieur Soudan auraient bénéficié des largesses du président Alpha Condé. Et, comme un cheveu dans la soupe, mon nom apparaît dans ce gotha. Monsieur Soudan s´est lourdement trompé sur mon compte. Je signale que je ne connais pas monsieur François Soudan et que lui non plus, ne me connaît pas.

Je crois cependant avoir compris son objectif : Secouer des personnalités de par le monde pour lesquelles Alpha Condé aurait accordé des faveurs pour qu’elles retournent l’ascenseur et qu’elles bougent en soutien à leur bienfaiteur. L’objectif est louable mais la méthode me semble quelque peu approximative pour les raisons suivantes : Pour les faux amis d’Alpha Condé, s’il en existe, un article de presse, fût-il de François Soudan, ne changera pas d’un iota leur posture. Ils ne feront rien de toutes façons pour le président Condé. Peut-être même qu’ils s’essayent déjà à devenir les amis des nouvelles autorités. Les choses marchent malheureusement ainsi ici et là dans le monde.

Quant aux vrais amis d’Alpha dont je me réclame, même s’ils n’ont pas été toujours d’accord avec lui, ils ne l’abandonneront pas, quand bien même leurs moyens d’actions peuvent être relativement limités. Mais ceux-là, ce n’est pas l’argent qui les liait à Alpha Condé.

Dans mon cas, c’est au moins 20 ans avant son accession à la présidence de la République de Guinée que j’ai connu Alpha Condé. Entre 1994 et 2010, on a beaucoup échangé entre nous deux et aussi, par moments, entre les deux partis. J’ai pris part à ses congrès et lui aussi a pris part à nos événements ici à Dakar ou à Paris. Mais en dépit de tout cela, jamais l´argent ne s´est mêlé à ses relations. Je pense qu’il avait une certaine conception de nos rapports et je la respectais. Ma famille, mes proches et certains qui ne sont même pas dans mon cercle restreint savent bien de quoi je parle. Les raisons qui fondent nos relations sont que nous partagions des principes communs sur l’anti-impérialisme et sur l’unité de l´Afrique. Et je le prenais pour un camarade, un grand frère. Ça n’a pas changé.

Monsieur Soudan soutient que les amis d’Alpha Condé n’ont pas été entendus depuis son éviction. Me concernant ce n’est pas exact.

La situation en Guinée a toujours retenu mon attention. Il y a deux ans déjà, j’ai écrit pour alerter. (Il donne une référence de dakaracatu.com). Par la suite, dès le lendemain du coup d’État, je me suis exprimé sur ma page Facebook le 6 septembre 2021. Concluons : Lorsque le président Alpha Condé sortira de sa situation actuelle, je le lui souhaite ardemment, je pourrais, si nécessaire, expliciter certains aspects qui montreront que ce que monsieur François Soudan a écrit est fort éloigné de la réalité, du moins en ce qui me concerne. »

Texte corrigé : les corrections sont en gras

« J’ai lu l’article de François Soudan où est publiée une liste de personnalités dans laquelle on trouve, (virgule) pêle-mêle, (virgule) Nicolas Sarkozy, François Hollande, Jean Pierre Mbemba, bref d’anciens présidents de la République ou d’institutions nationales, d’anciens Premiers ministres, des milliardaires et des personnalités très en vue dans le monde comme Julius Malema d’Afrique du Sud, etc. Toutes ces personnalités, (virgule) selon monsieur Soudan, (virgule) auraient bénéficié des largesses du président Alpha Condé. Et, comme un cheveu dans la soupe, mon nom apparaît dans ce gotha. Monsieur Soudan s´est lourdement trompé sur mon compte.

Je signale que je ne connais pas monsieur François Soudan et que lui, (virgule) non plus, ne me connaît pas.

Je crois, (virgule) cependant, (virgule) avoir compris son objectif : lettre minuscule secouer des personnalités de par le cette expression est maladroite ; « du » est plus convenable monde pour lesquelles « auxquelles et non « pour lesquelles » Alpha Condé aurait accordé des faveurs pour qu’elles retournent l’ascenseur et qu’elles il devait éviter la répétition de « qu’elles » ; c’est un peu maladroit bougent en soutien à leur bienfaiteur. L’objectif est louable mais la méthode me semble quelque peu approximative pour les raisons suivantes : Pas de majuscule après « deux points » Pour les faux amis d’Alpha Condé, s’il en existe, un article de presse, fût-il de François Soudan, (virgule) ne changera pas d’un iota leur posture. Ils ne feront rien de toutes façons pour le président Condé. Peut-être même qu’ils s’essayent déjà à devenir les amis des nouvelles autorités. Les choses marchent malheureusement ainsi ici et là dans le monde.

Quant aux vrais amis d’Alpha dont je me réclame, même s’ils n’ont pas été toujours d’accord avec lui, ils ne l’abandonneront pas, quand bien même « quand bien même est suivi du conditionnel » leurs moyens d’actions peuvent pourraient être relativement limités. Mais ceux-là, ce n’est pas l’argent qui les liait à Alpha Condé.

Dans mon cas, c’est au moins 20 ans avant son accession à la présidence de la République de Guinée que j’ai connu Alpha Condé. Entre 1994 et 2010, (virgule) on a beaucoup échangé entre nous deux ce n’est pas la peine d’écrire « entre nous deux » et aussi, par moments, entre les deux partis. J’ai pris part à ses congrès et lui aussi a pris part à nos événements ici à Dakar ou à Paris. Mais en dépit de tout cela, jamais l´argent ne s´est mêlé à ses nos ? relations. Je pense qu’il avait une certaine conception de nos rapports et je la respectais. Ma famille, mes proches et certains qui ne sont même pas dans mon cercle restreint savent bien de quoi je parle. Les raisons qui « ont fondé » pour la concordance des temps avec « partagions » fondent nos relations sont que nous partagions des principes communs sur l’anti-impérialisme et sur l’unité de l´Afrique. Et je le prenais pour un camarade, un grand frère. Ça n’a pas changé.

Monsieur Soudan soutient que les amis d’Alpha Condé n’ont pas été entendus depuis son éviction. Me concernant, (virgule) ce n’est pas exact.

La situation en Guinée a toujours retenu mon attention. Il y a deux ans déjà, j’ai écrit pour alerter. (Il donne une référence de dakaracatu.com). Par la suite, dès le lendemain du coup d’État, je me suis exprimé sur ma page Facebook le 6 septembre 2021. Concluons : pas de majuscule après une virgule Lorsque le président Alpha Condé sortira de sa situation actuelle, je le lui souhaite ardemment, je pourrais, si nécessaire, expliciter certains aspects qui montreront que ce que monsieur François Soudan a écrit est fort éloigné de la réalité, du moins en ce qui me concerne. 

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