Des collines toscanes à la Piazza milanaise, une voix venue du Sud a traversé le murmure du vieux cœur lombard : celle d’Ousmane Sonko. Dans cette ville où résonnent encore les échos des Visconti et des luttes du Risorgimento, une autre voix s’est élevée. Ce samedi, Milan n’était plus seulement italienne. Elle devenait, l’espace d’un instant, africaine — pour ne pas dire sénégalaise.
Ce rassemblement a mis en lumière le leadership affirmé du Premier ministre Ousmane Sonko, dont l’influence dépasse désormais les frontières du Sénégal. Sa parole, claire et ferme, incarne une vision politique structurée qui inspire des millions de jeunes et redonne à l’Afrique une voix forte sur la scène mondiale.
Cette vision s’inscrit dans la trajectoire fixée par le président de la République, Bassirou Diomaye Faye. Ensemble, ils portent un plan de redressement économique et social, véritable boussole nationale. Ambitieux, inclusif et tourné vers l’avenir, ce plan repose sur la mobilisation des forces vives du pays, sur la créativité de ses fils et filles, mais aussi sur l’apport décisif de la diaspora, acteur incontournable du développement.
Le message délivré à Milan est limpide : le Sénégal refuse d’être spectateur de son histoire. Il entend bâtir son propre modèle économique, politique et social, financé par ses propres ressources et porté par ses choix souverains.
Dans cette dynamique, Ousmane Sonko s’impose comme l’un des hommes politiques les plus influents d’Afrique : un leader inspirant, porteur d’espérance et de dignité. Milan en a été témoin. Plus qu’un discours, c’est une vision qui s’est incarnée.