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Home»A la Une»Y-aurait-il un agenda caché ?
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Y-aurait-il un agenda caché ?

Par Dakar Matin14 juillet 2023Aucun commentaire1 767 Vues
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« Quelle incongruité de vouloir tirer gloire d’une normalité »

Le lundi 03 juillet courant, après avoir maintenu volontairement le suspens pendant plus d’un an, le Président de la République, Macky Sall s’est finalement résolu à s’adresser aux Sénégalais pour les mettre au fait de sa décision, apes y avoir longuement et murement réfléchi a-t-il dit, de ne pas se présenter à l’élection présidentielle du25 février 2024. Néanmoins, il a aussitôt ajouté que la constitution l’y autorise, ce qui, du reste, enlève toute valeur à sa déclaration; en effet, cette mise au point de la part du Président Macky Sall est totalement en porte à faux avec les dispositions constitutionnelles qui le rendent inéligible pour un troisième mandat.

 Ainsi, pendant longtemps, sans trop de soucier de l’atmosphère délétère dans laquelle est plongé notre pays, le Président Macky Sall a entretenu, à travers des attitudes et comportements apocryphes et un discours spécieux, un véritable flou autour d’une problématique qui, en réalité, n’aurait pas dû se poser. Et comme l’a toujours soutenu madame Aminata Touré, ancien Premier ministre, « la question du troisième mandat est déjà réglée au Sénégal »; et madame Aissata Sall TALL, actuelle ministre des affaires étrangères, de renchérir pour dire que « c’est un débat nocif qui n’a pas sa raison d’être ». Malheureusement, toute honte bue, cette dernière est revenue sur ses propos, ravalant ses vomissures, pour soutenir le contraire, devenant une transhumante zélée et aversive. Le Président Macky Sall lui-même avait tranché la question à travers les propos que voici;

1/ « Au Sénégal, nous avons réglé cette question du troisième mandat, puisque notre constitution de 2001 a limité le nombre de mandats à deux; il y a eu une variation, c’était sur la durée. Moi-même, j’ai été élu sous le registre du septennat. Et pour revenir à une norme de deux mandats de cinq ans, j’ai décidé d’appliquer une réduction sur mon propre mandat. La décision de réduire un mandat n’existe nulle part; j’ai voulu donner un exemple. Les exemples il faut les appliquer à soi-même si on veut être crédible. Avant mon élection, mon prédécesseur a voulu un troisième mandat, ce qui a entrainé de vives tensions, il y a eu de morts; il ne faut oublier ce qui s’est passé. »

2/ « Le Président de la République ne peut et ne doit avoir un troisième mandat. Sur cette question nous restons inflexibles et nous allons continuer la mobilisation afin que force reste à la loi. Et dans ce cadre nous allons appeler nos compatriotes à venir nous rejoindre à la place de l’obélisque pour exprimer de vive voix la détermination des populations afin que le Président non seulement retire sa candidature, mais également qu’il puisse respecter le choix du suffrage universel à la suite des élections. Donc, c’est un combat qui s’est engagé et dont l’issue sera rn faveur des populations comme partout ailleurs. »

3/ « Si je suis réélu, je fais mon second mandat de cinq ans, cela fait 7+5, il faudra partir. C’est ça l’option fondamentale, c’est ça la constitution. C’est moi qui l’ai proposé et qui l’ai fait rédiger et qui l’ai fait voter. On en est là. Malgré cela, le débat persiste, c’est ce qui m’étonne, pourtant c’est clair. « 

Comme il est fort aisé de le constater, le Président Macky Sall n’a rien fait ni dit d’extraordinaire ou d’historique comme le prétendent ses affidés; il n’a fait que respecter la constitution qui, en son article 27, dispose que « nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs ». A l’annonce de la décision du Président Macky Sall de ne pas se présenter à l’élection présidentielle, on a assisté à des scènes ubuesques, ridicules et d’une grande indignité. Au siège de l’APR on a vu de militants, notamment, des femmes s’élancer sur le sol, se trémousser, se tortiller, roulant à même le parquet et pleurant à chaudes larmes, à l’image de ces femmes pleureuses payées pour hausser la tension émotionnelle lors des funérailles.

Quant aux responsables du parti, pris de court, ils ont salué la sagesse légendaire et la lucidité de leur mentor dont ils viennent de découvrir les qualités morales, lui qui leur a fait comprendre qu’il se conformait à son code d’honneur; un code d’honneur qui a très longtemps été mis en hibernation au vu de tout ce qui s’était passé dans le pays. Et pourtant, ce sont ces mêmes responsables de la coalition présidentielle qui, il y a deux jours auparavant, après l’avoir couvert d’éloges et de dithyrambes, l’incitaient, lui demandaient, l’encourageaient, le priaient et le suppliaient de se présenter comme leur candidat.

La décision du Président Macky Sall a été saluée au niveau international, notamment, par certains du monde qui y voient une posture de sagesse et un sens des responsabilités. Des éloges et des satisfécits qui n’ont aucune raison d’être et qui nous confine dans un infantilisme et une sorte d’angélisme qui ne font que déprécier les dirigeants africains quant à leur capacité d’être responsables et d’agir au mieux des intérêts de leur peuple et conformément aux principes et règles de gouvernance librement choisis et définis. Pourquoi devrait-on féliciter un Président de la république qui respecte la constitution de son pays?  

Malheureusement, les beaux discours et autres glorioles ne peuvent masquer la réalité. La vérité est que le Président Macky Sall a été contraint de renoncer à sa volonté, clairement affichée, de briguer un troisième mandat.  Ce n’est point par gaieté de cœur que le Président Macky Sall a abdiqué; il a manifesté des velléités claires et évidentes de vouloir solliciter un troisième mandat. Il y a suffisamment d’éléments et d’indicateurs pour l’étayer; il a renoncé pour les raisons que voici;

-il y a le phénomène Ousmane Sonko, le leader du PASTEF qui, faisant montre d’un grand courage, d’une forte ténacité, d’une inlassable pugnacité et d’un engagement patriotique inébranlable, incarne ce qu’il est convenu d’appeler l’opposition radicale qui refuse toute forme de compromission avec le pouvoir au détriment des intérêts des populations;

-il y a le choix conscient et réfléchi de la jeunesse qui a adhéré à ce qu’elle considère comme un projet porteur d’espoir pour un avenir prometteur;

-il y a la pression de la communauté internationale et celle plus puissante et plus pressante de certains maitres du monde. Au niveau international, les yeux se sont désilés et les gens ont fini par comprendre la nature du régime actuel. Les évènements violents de mars 2021 et ceux récents de juin 2023 avec leurs lots de morts dont la plupart par des balles réelles, ont fait découvrir la face hideuse d’une répression disproportionnée qui a vu l’implication de nervis, recrutés par des hommes du pouvoir;

-il y a aussi le fait que le Président sortant, conscient de la réalité du terrain qui lui est totalement défavorable et confirmée par différentes sources de renseignements et divers sondages, a fini par comprendre qu’une participation à l’élection présidentielle se solderait par une cuisante et humiliante défaite comme je le lui avait dit dans une de mes contributions il y a plus d’un an;

– il y a que le Président Macky Sall a compris, sur le tard, que tous ceux-là qui le poussaient à briguer un troisième mandat le faisaient non pas par conviction politique ou par quelque sympathie, mais tout simplement pour continuer à profiter et jouir des privilèges du pouvoir. La duplicité de certains de ses collaborateurs a été mise à nu.

Les propos du Président de la république relatifs à sa volonté d’assumer pleinement ses responsabilités et de faire appliquer rigoureusement les décisions de justice visent, à n’en point douter, le leader du PASTEF qui est doublement condamné et qui ne semble pas accepter les décisions de la justice. Tous ces agissements n’ont qu’un seul et unique objectif, empêcher par tous moyens, notamment, judiciaires, Ousmane Sonko de se présenter à l’élection présidentielle qu’il pourrait remporter[S1] . C’est ce que le leader du PASTEF a parfaitement compris et qui l’a amené à déclarer qu’il ne saurait accepter d’être écarté et qu’une élection sans lui se tiendrait dans un chaos total.

 On ne saurait accepter une telle déclaration, un tel défi dans une république normale, organisée et fonctionnant dans le strict respect des valeurs et principes de l’état de droit. En effet, l’élection présidentielle est cruciale dans un pays; c’est un grand moment de délibération démocratique qui permet à chaque électeur de poser un acte majeur dans le choix de celui qui aura en charge la destinée de toute une nation.  Dès lors s’y opposer serait tout à fait condamnable. Cependant, il ne faudrait pas interpréter les propos d’Ousmane Sonko outre mesure; en effet, nous sommes dans le champ de la politique, domaine par excellence de la surenchère. Et si nous revisitons l’histoire, comment qualifier ces propos de Macky Sall à l’endroit d’Abdoulaye Wade alors Président en plein exercice de son mandat légal, je le cite « J’appelle tous les militants républicains et tous Sénégalais soucieux de l’avenir de notre pays et de nos institutions de venir nous rejoindre dans la rue; le combat se fera dans la rue. On va marcher au palais, on va le sortir du palais, on va le dégager. IL n’y a même pas à chercher; s’il fait ça, nous, on va appeler tout le monde à aller là-bas, on va le sortir du palais[S2]  ». Propos pouvaient-ils être plusdurs, plus virulents et plusviolents que ceux-ci, adressés à un Chef d’état en exercice?

Malheureusement, nous ne sommes pas dans une république respectueuse et soucieuse de l’état de droit. Le leader du PASTEF a subi ce qu’aucun homme n’a connu dans l’histoire politique du Sénégal; il a pendant plus de deux ans été victime de harcèlements, de brimades, d’acharnements, de persécutions et toutes les formes de violences physiques, morales, psychologiques, familiales et même spirituelles. Autant le Président Macky Sall a cherché vainement à réduire l’opposition à sa plus simple expression, autant le régime cherche à réduire Ousmane Sonko à sa plus simple expression biologique.

Nous vivons sous les fourches caudines d’un magistère partisan, clanique et familial ou une poignée d’individus font subir au reste de la population toutes sortes d’injustices et d’abus. Des opposants, des activistes, des membres de la société civile et de simples citoyens sont en prison pour avoir simplement exprimer leurs opinions, alors que sont libres et vaquent tranquillement à leurs occupations des partisans du régime, de potentiels sicaires qui ont tenu des propos d’une rare violence, certains ayant fait, publiquement, des appels au meurtre.

Le discours du Président de la république, au-delà de l’appel à la solidarité, a été d’une tonalité violente avec des propos comminatoires enrobés dans une rhétorique ou il réaffirme sa volonté d’assumer pleinement ses fonctions de Chef de l’État et sa détermination à faire respecter les décisions de justice. On veut bien croire le Président Macky Sall, mais qu’il respecte et fasse respecter l’état de droit qui consacre la prééminence du droit sur le pouvoir politique; l’état de droit, c’est aussi l’égalité de tous devant la loi. L’état de droit oblige tout le monde, gouvernants et gouvernés, à respecter la loi qui est générale et impersonnelle. Malheureusement ce n’est pas ce qui se passe au Sénégal    

A l’issue du pseudo-dialogue, en réalité une entente entre des conglomérats d’intérêts, il a été décidé de saisir l’assemblée nationale pour apporter au niveau de la constitution et du code électoral les modifications, changements et autres amendements nécessaires pour permettre l’éligibilité de Karim Wade et de Khalifa Sall à la prochaine présidentielle. Ce qui veut dire en clair que rien n’est impossible et qu’il suffit d’une volonté politique pour trouver des solutions. Pourquoi ne pas faire bénéficier à Ousmane Sonko de ces opportunités législatives, d’autant maitre Doudou Ndoye, éminent, respecté et respectable juriste a indiqué la voie à suivre.

Le renoncement du Président Macky Sall ne doit pas nous plonger dans une euphorie enivrante qui nous empêcherait de faire montre de lucidité. Il y a toujours une possibilité pour le Président Macky Sall de revenir dans le jeu; il suffit tout simplement que le pays soit dans une situation de grave insécurité, pour ne pas dire d’ingouvernabilité. Une telle situation peut être provoquée par l’arrestation leader du PASTEF; le problème est de savoir quel sera le niveau de révolte et d’actions de ses partisans, notamment des jeunes. L’intensité et la violence des manifestations pourraient être évoquées par le Président de la république en exercice pour justifier un report de l’élection présidentielle pour un délai d’au moins deux ans comme on l’a vu dans un pays de l’Afrique centrale. Ceci pour tout simplement dire que rien n’est gagné d’avance et qu’il faudra, aux membres du PASTEF, faire preuve de beaucoup de vigilance, d’intelligence situationnelle, de réalisme, de pragmatisme et de maturité politique pour déjouer certains plans et sauver leur projet. Il ne faut pas être surpris de voir de nouvelles charges contre Ousmane Sonko telles que, atteinte à la sureté de l’État, tentative de déstabilisation des institutions, menées subversives en lien avec un mouvement irrédentiste; la sortie du ministre Yoro Dia n’est ni fortuite ni gratuite.

Si vraiment le Président de la République Macky Sall a un code d’honneur et nous n’avons aucune raison d’en douter, s’il a banni la pratique du « ndiouth-ndiath » comme il l’a dit, s’il aime réellement le Sénégal qui, dit-il dépasse sa personne, s’il n’a aucune arrière-pensée, il a aujourd’hui une occasion historique de réaliser une sortie honorable. IL lui suffit de faire ce que, humblement, je lui suggère;

-libérer tous les détenus d’opinions,

-désigner une personnalité indépendante et consensuelle pour organiser l’élection;

-ouvrir une période exceptionnelle de quinze jours pour de nouvelles inscriptions;

-faire auditer le fichier électoral par des experts indépendants sénégalais;

-mettre le fichier à la disposition de tous les candidats;

-mettre la carte électorale à la disposition de tous les candidats;

-ouvrir les antennes de la RTS à l’opposition;

-prévoir l’organisation d’un débat obligatoire entre les deux candidats du deuxième tour.

-faire prévaloir toutes ses prérogatives présidentielles pour réussir la meilleure élection jamais organisée au Sénégal.

 Une élection transparente, libre, démocratique, sincère et totalement inclusive.

     Vive le Sénégal reconcilié avec lui-même. TERMINUS 2024.

Dakar le 12 juillet 2023.                           Boubacar SADIO.

                                                 Commissaire divisionnaire de police

                                              De classe exceptionnelle à la retraite.


 [S1]st

 [S2]f

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