La SociĂ©tĂ© Africaine de raffinage (SAR) observe, depuis dimanche dernier, un arrĂȘt de sa production, selon des informations obtenues par LâObservateur. Un arrĂȘt liĂ© Ă une rupture de brut dans les barges. La Sar est dans une situation financiĂšre catastrophique au point quâelle ne peut plus assurer une bonne fourniture de lâĂ©lectricitĂ©. Les banques ne lui assurent plus de crĂ©dit en raison de son insolvabilitĂ©. Le Fonds de soutien Ă lâĂ©nergie (FSE) doit environ 25 milliards aux banques qui refusent de rallonger le crĂ©dit En effet, la Sar est dans une situation financiĂšre catastrophique au point quâelle ne peut plus assurer une bonne fourniture de lâĂ©lectricitĂ©.
Les banques ne lui assurent plus de crédit en raison de son insolvabilité.
Le Fonds de soutien Ă lâĂ©nergie (FSE) doit environ 25 milliards aux banques qui refusent de rallonger le crĂ©dit. Pis, le gap de 50 milliards Fcfa plombe les activitĂ©s de la SAR.Â
Un tanker de brut mouille depuis le 6 juillet dernier dans les eaux sĂ©nĂ©galaises, mais le dĂ©barquement ne peut se faire car la sociĂ©tĂ© est dans lâincapacitĂ© dâeffectuer le paiement qui tourne autour de 46 milliards Fcfa.