Paradoxes !

par admin

Il aura tenu un mois, deux semaines, 3 jours avant de craquer. Le 23 mars dernier, le président de la République avait pris des mesures dans le but de freiner la propagation du Covid-19 au Sénégal. Il déclenche alors l’état d’urgence, suivi d’un couvre-feu (de 20 h à 6h), ainsi que la fermeture des lieux de culte, des marchés hebdomadaires (loumas) et l’interdiction des déplacements inter-régions.

A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

Pis, 7182 contacts sont suivis par les Services de santé. Sans occulter les cas communautaires qui circulent aveuglément dans le pays. Face à cet état de fait qui donne du tournis au corps médical, le Chef de l’Etat demande aux populations désarçonnées d’apprendre à vire avec le virus et à l’Etat d’adopter une nouvelle stratégie. D’où la réouverture des lieux de culte et des marchés hebdomadaires (Loumas). Quels paradoxes !

PS : Le président de la République a encore une fois oublié le sport. Pourtant les stades ont été les premières infrastructures à être fermées, bien avant les lieux de culte et autres marchés hebdomadaires. Les acteurs ont été renvoyés chez eux. Ils attendaient avec impatience un geste de la part du Chef de l’Etat. Hélas ! Comme d’- habitude, le sport restera le parent pauvre.

 

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Il aura tenu un mois, deux semaines, 3 jours avant de craquer. Le 23 mars dernier, le président de la République avait pris des mesures dans le but de freiner la propagation du Covid-19 au Sénégal. Il déclenche alors l’état d’urgence, suivi d’un couvre-feu (de 20 h à 6h), ainsi que la fermeture des lieux de culte, des marchés hebdomadaires (loumas) et l’interdiction des déplacements inter-régions.

A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

Pis, 7182 contacts sont suivis par les Services de santé. Sans occulter les cas communautaires qui circulent aveuglément dans le pays. Face à cet état de fait qui donne du tournis au corps médical, le Chef de l’Etat demande aux populations désarçonnées d’apprendre à vire avec le virus et à l’Etat d’adopter une nouvelle stratégie. D’où la réouverture des lieux de culte et des marchés hebdomadaires (Loumas). Quels paradoxes !

PS : Le président de la République a encore une fois oublié le sport. Pourtant les stades ont été les premières infrastructures à être fermées, bien avant les lieux de culte et autres marchés hebdomadaires. Les acteurs ont été renvoyés chez eux. Ils attendaient avec impatience un geste de la part du Chef de l’Etat. Hélas ! Comme d’- habitude, le sport restera le parent pauvre.

 

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Il aura tenu un mois, deux semaines, 3 jours avant de craquer. Le 23 mars dernier, le président de la République avait pris des mesures dans le but de freiner la propagation du Covid-19 au Sénégal. Il déclenche alors l’état d’urgence, suivi d’un couvre-feu (de 20 h à 6h), ainsi que la fermeture des lieux de culte, des marchés hebdomadaires (loumas) et l’interdiction des déplacements inter-régions.

A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

Pis, 7182 contacts sont suivis par les Services de santé. Sans occulter les cas communautaires qui circulent aveuglément dans le pays. Face à cet état de fait qui donne du tournis au corps médical, le Chef de l’Etat demande aux populations désarçonnées d’apprendre à vire avec le virus et à l’Etat d’adopter une nouvelle stratégie. D’où la réouverture des lieux de culte et des marchés hebdomadaires (Loumas). Quels paradoxes !

PS : Le président de la République a encore une fois oublié le sport. Pourtant les stades ont été les premières infrastructures à être fermées, bien avant les lieux de culte et autres marchés hebdomadaires. Les acteurs ont été renvoyés chez eux. Ils attendaient avec impatience un geste de la part du Chef de l’Etat. Hélas ! Comme d’- habitude, le sport restera le parent pauvre.

 

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A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

Pis, 7182 contacts sont suivis par les Services de santé. Sans occulter les cas communautaires qui circulent aveuglément dans le pays. Face à cet état de fait qui donne du tournis au corps médical, le Chef de l’Etat demande aux populations désarçonnées d’apprendre à vire avec le virus et à l’Etat d’adopter une nouvelle stratégie. D’où la réouverture des lieux de culte et des marchés hebdomadaires (Loumas). Quels paradoxes !

PS : Le président de la République a encore une fois oublié le sport. Pourtant les stades ont été les premières infrastructures à être fermées, bien avant les lieux de culte et autres marchés hebdomadaires. Les acteurs ont été renvoyés chez eux. Ils attendaient avec impatience un geste de la part du Chef de l’Etat. Hélas ! Comme d’- habitude, le sport restera le parent pauvre.

 

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Il aura tenu un mois, deux semaines, 3 jours avant de craquer. Le 23 mars dernier, le président de la République avait pris des mesures dans le but de freiner la propagation du Covid-19 au Sénégal. Il déclenche alors l’état d’urgence, suivi d’un couvre-feu (de 20 h à 6h), ainsi que la fermeture des lieux de culte, des marchés hebdomadaires (loumas) et l’interdiction des déplacements inter-régions.

A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

Pis, 7182 contacts sont suivis par les Services de santé. Sans occulter les cas communautaires qui circulent aveuglément dans le pays. Face à cet état de fait qui donne du tournis au corps médical, le Chef de l’Etat demande aux populations désarçonnées d’apprendre à vire avec le virus et à l’Etat d’adopter une nouvelle stratégie. D’où la réouverture des lieux de culte et des marchés hebdomadaires (Loumas). Quels paradoxes !

PS : Le président de la République a encore une fois oublié le sport. Pourtant les stades ont été les premières infrastructures à être fermées, bien avant les lieux de culte et autres marchés hebdomadaires. Les acteurs ont été renvoyés chez eux. Ils attendaient avec impatience un geste de la part du Chef de l’Etat. Hélas ! Comme d’- habitude, le sport restera le parent pauvre.

 

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Il aura tenu un mois, deux semaines, 3 jours avant de craquer. Le 23 mars dernier, le président de la République avait pris des mesures dans le but de freiner la propagation du Covid-19 au Sénégal. Il déclenche alors l’état d’urgence, suivi d’un couvre-feu (de 20 h à 6h), ainsi que la fermeture des lieux de culte, des marchés hebdomadaires (loumas) et l’interdiction des déplacements inter-régions.

A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

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A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

Pis, 7182 contacts sont suivis par les Services de santé. Sans occulter les cas communautaires qui circulent aveuglément dans le pays. Face à cet état de fait qui donne du tournis au corps médical, le Chef de l’Etat demande aux populations désarçonnées d’apprendre à vire avec le virus et à l’Etat d’adopter une nouvelle stratégie. D’où la réouverture des lieux de culte et des marchés hebdomadaires (Loumas). Quels paradoxes !

PS : Le président de la République a encore une fois oublié le sport. Pourtant les stades ont été les premières infrastructures à être fermées, bien avant les lieux de culte et autres marchés hebdomadaires. Les acteurs ont été renvoyés chez eux. Ils attendaient avec impatience un geste de la part du Chef de l’Etat. Hélas ! Comme d’- habitude, le sport restera le parent pauvre.

 

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Il aura tenu un mois, deux semaines, 3 jours avant de craquer. Le 23 mars dernier, le président de la République avait pris des mesures dans le but de freiner la propagation du Covid-19 au Sénégal. Il déclenche alors l’état d’urgence, suivi d’un couvre-feu (de 20 h à 6h), ainsi que la fermeture des lieux de culte, des marchés hebdomadaires (loumas) et l’interdiction des déplacements inter-régions.

A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

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PS : Le président de la République a encore une fois oublié le sport. Pourtant les stades ont été les premières infrastructures à être fermées, bien avant les lieux de culte et autres marchés hebdomadaires. Les acteurs ont été renvoyés chez eux. Ils attendaient avec impatience un geste de la part du Chef de l’Etat. Hélas ! Comme d’- habitude, le sport restera le parent pauvre.

 

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A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

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Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

Pis, 7182 contacts sont suivis par les Services de santé. Sans occulter les cas communautaires qui circulent aveuglément dans le pays. Face à cet état de fait qui donne du tournis au corps médical, le Chef de l’Etat demande aux populations désarçonnées d’apprendre à vire avec le virus et à l’Etat d’adopter une nouvelle stratégie. D’où la réouverture des lieux de culte et des marchés hebdomadaires (Loumas). Quels paradoxes !

PS : Le président de la République a encore une fois oublié le sport. Pourtant les stades ont été les premières infrastructures à être fermées, bien avant les lieux de culte et autres marchés hebdomadaires. Les acteurs ont été renvoyés chez eux. Ils attendaient avec impatience un geste de la part du Chef de l’Etat. Hélas ! Comme d’- habitude, le sport restera le parent pauvre.

 

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par admin

Il aura tenu un mois, deux semaines, 3 jours avant de craquer. Le 23 mars dernier, le président de la République avait pris des mesures dans le but de freiner la propagation du Covid-19 au Sénégal. Il déclenche alors l’état d’urgence, suivi d’un couvre-feu (de 20 h à 6h), ainsi que la fermeture des lieux de culte, des marchés hebdomadaires (loumas) et l’interdiction des déplacements inter-régions.

A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

Pis, 7182 contacts sont suivis par les Services de santé. Sans occulter les cas communautaires qui circulent aveuglément dans le pays. Face à cet état de fait qui donne du tournis au corps médical, le Chef de l’Etat demande aux populations désarçonnées d’apprendre à vire avec le virus et à l’Etat d’adopter une nouvelle stratégie. D’où la réouverture des lieux de culte et des marchés hebdomadaires (Loumas). Quels paradoxes !

PS : Le président de la République a encore une fois oublié le sport. Pourtant les stades ont été les premières infrastructures à être fermées, bien avant les lieux de culte et autres marchés hebdomadaires. Les acteurs ont été renvoyés chez eux. Ils attendaient avec impatience un geste de la part du Chef de l’Etat. Hélas ! Comme d’- habitude, le sport restera le parent pauvre.

 

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A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

Pis, 7182 contacts sont suivis par les Services de santé. Sans occulter les cas communautaires qui circulent aveuglément dans le pays. Face à cet état de fait qui donne du tournis au corps médical, le Chef de l’Etat demande aux populations désarçonnées d’apprendre à vire avec le virus et à l’Etat d’adopter une nouvelle stratégie. D’où la réouverture des lieux de culte et des marchés hebdomadaires (Loumas). Quels paradoxes !

PS : Le président de la République a encore une fois oublié le sport. Pourtant les stades ont été les premières infrastructures à être fermées, bien avant les lieux de culte et autres marchés hebdomadaires. Les acteurs ont été renvoyés chez eux. Ils attendaient avec impatience un geste de la part du Chef de l’Etat. Hélas ! Comme d’- habitude, le sport restera le parent pauvre.

 

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A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

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A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

Pis, 7182 contacts sont suivis par les Services de santé. Sans occulter les cas communautaires qui circulent aveuglément dans le pays. Face à cet état de fait qui donne du tournis au corps médical, le Chef de l’Etat demande aux populations désarçonnées d’apprendre à vire avec le virus et à l’Etat d’adopter une nouvelle stratégie. D’où la réouverture des lieux de culte et des marchés hebdomadaires (Loumas). Quels paradoxes !

PS : Le président de la République a encore une fois oublié le sport. Pourtant les stades ont été les premières infrastructures à être fermées, bien avant les lieux de culte et autres marchés hebdomadaires. Les acteurs ont été renvoyés chez eux. Ils attendaient avec impatience un geste de la part du Chef de l’Etat. Hélas ! Comme d’- habitude, le sport restera le parent pauvre.

 

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A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

Pis, 7182 contacts sont suivis par les Services de santé. Sans occulter les cas communautaires qui circulent aveuglément dans le pays. Face à cet état de fait qui donne du tournis au corps médical, le Chef de l’Etat demande aux populations désarçonnées d’apprendre à vire avec le virus et à l’Etat d’adopter une nouvelle stratégie. D’où la réouverture des lieux de culte et des marchés hebdomadaires (Loumas). Quels paradoxes !

PS : Le président de la République a encore une fois oublié le sport. Pourtant les stades ont été les premières infrastructures à être fermées, bien avant les lieux de culte et autres marchés hebdomadaires. Les acteurs ont été renvoyés chez eux. Ils attendaient avec impatience un geste de la part du Chef de l’Etat. Hélas ! Comme d’- habitude, le sport restera le parent pauvre.

 

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A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

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A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

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PS : Le président de la République a encore une fois oublié le sport. Pourtant les stades ont été les premières infrastructures à être fermées, bien avant les lieux de culte et autres marchés hebdomadaires. Les acteurs ont été renvoyés chez eux. Ils attendaient avec impatience un geste de la part du Chef de l’Etat. Hélas ! Comme d’- habitude, le sport restera le parent pauvre.

 

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A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

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A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

Pis, 7182 contacts sont suivis par les Services de santé. Sans occulter les cas communautaires qui circulent aveuglément dans le pays. Face à cet état de fait qui donne du tournis au corps médical, le Chef de l’Etat demande aux populations désarçonnées d’apprendre à vire avec le virus et à l’Etat d’adopter une nouvelle stratégie. D’où la réouverture des lieux de culte et des marchés hebdomadaires (Loumas). Quels paradoxes !

PS : Le président de la République a encore une fois oublié le sport. Pourtant les stades ont été les premières infrastructures à être fermées, bien avant les lieux de culte et autres marchés hebdomadaires. Les acteurs ont été renvoyés chez eux. Ils attendaient avec impatience un geste de la part du Chef de l’Etat. Hélas ! Comme d’- habitude, le sport restera le parent pauvre.

 

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par admin

Il aura tenu un mois, deux semaines, 3 jours avant de craquer. Le 23 mars dernier, le président de la République avait pris des mesures dans le but de freiner la propagation du Covid-19 au Sénégal. Il déclenche alors l’état d’urgence, suivi d’un couvre-feu (de 20 h à 6h), ainsi que la fermeture des lieux de culte, des marchés hebdomadaires (loumas) et l’interdiction des déplacements inter-régions.

A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

Pis, 7182 contacts sont suivis par les Services de santé. Sans occulter les cas communautaires qui circulent aveuglément dans le pays. Face à cet état de fait qui donne du tournis au corps médical, le Chef de l’Etat demande aux populations désarçonnées d’apprendre à vire avec le virus et à l’Etat d’adopter une nouvelle stratégie. D’où la réouverture des lieux de culte et des marchés hebdomadaires (Loumas). Quels paradoxes !

PS : Le président de la République a encore une fois oublié le sport. Pourtant les stades ont été les premières infrastructures à être fermées, bien avant les lieux de culte et autres marchés hebdomadaires. Les acteurs ont été renvoyés chez eux. Ils attendaient avec impatience un geste de la part du Chef de l’Etat. Hélas ! Comme d’- habitude, le sport restera le parent pauvre.

 

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A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

Pis, 7182 contacts sont suivis par les Services de santé. Sans occulter les cas communautaires qui circulent aveuglément dans le pays. Face à cet état de fait qui donne du tournis au corps médical, le Chef de l’Etat demande aux populations désarçonnées d’apprendre à vire avec le virus et à l’Etat d’adopter une nouvelle stratégie. D’où la réouverture des lieux de culte et des marchés hebdomadaires (Loumas). Quels paradoxes !

PS : Le président de la République a encore une fois oublié le sport. Pourtant les stades ont été les premières infrastructures à être fermées, bien avant les lieux de culte et autres marchés hebdomadaires. Les acteurs ont été renvoyés chez eux. Ils attendaient avec impatience un geste de la part du Chef de l’Etat. Hélas ! Comme d’- habitude, le sport restera le parent pauvre.

 

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A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
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Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

Pis, 7182 contacts sont suivis par les Services de santé. Sans occulter les cas communautaires qui circulent aveuglément dans le pays. Face à cet état de fait qui donne du tournis au corps médical, le Chef de l’Etat demande aux populations désarçonnées d’apprendre à vire avec le virus et à l’Etat d’adopter une nouvelle stratégie. D’où la réouverture des lieux de culte et des marchés hebdomadaires (Loumas). Quels paradoxes !

PS : Le président de la République a encore une fois oublié le sport. Pourtant les stades ont été les premières infrastructures à être fermées, bien avant les lieux de culte et autres marchés hebdomadaires. Les acteurs ont été renvoyés chez eux. Ils attendaient avec impatience un geste de la part du Chef de l’Etat. Hélas ! Comme d’- habitude, le sport restera le parent pauvre.

 

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A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

Pis, 7182 contacts sont suivis par les Services de santé. Sans occulter les cas communautaires qui circulent aveuglément dans le pays. Face à cet état de fait qui donne du tournis au corps médical, le Chef de l’Etat demande aux populations désarçonnées d’apprendre à vire avec le virus et à l’Etat d’adopter une nouvelle stratégie. D’où la réouverture des lieux de culte et des marchés hebdomadaires (Loumas). Quels paradoxes !

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A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

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De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

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A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

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Pis, 7182 contacts sont suivis par les Services de santé. Sans occulter les cas communautaires qui circulent aveuglément dans le pays. Face à cet état de fait qui donne du tournis au corps médical, le Chef de l’Etat demande aux populations désarçonnées d’apprendre à vire avec le virus et à l’Etat d’adopter une nouvelle stratégie. D’où la réouverture des lieux de culte et des marchés hebdomadaires (Loumas). Quels paradoxes !

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A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but de faire face à la pandémie du Covid-19, le 2 avril, le Chef de l’Etat promulgue la loi l’habilitant à prendre, par ordonnances, des mesures relevant du domaine de l’Assemblée nationale.

Autant de pouvoirs étaient alors concentrés entre les mains d’un hyper-président. Sauf, le Chef de l’Etat n’imaginait pas qu’il allait faire face à une résistance aussi farouche que le coriace Covid-19, de la part des religieux.
De Médina Gounass, à Yoff, en passant par Touba et Dakar, des imams piétinent l’ordre et décident de braver les interdits en se rendant dans les mosquées.

Fragilisé par la «révolte» grandissante des marabouts, le président de la République, qui sentait le risque d’avoir entre les mains, les émeutes de la faim, a été contraint de desserrer l’étau. Il libère ainsi le covid-19, confiné depuis plusieurs semaines par des vaillants médecins nonobstant le sous-équipement de nos structures sanitaires et les différents scandales notés dans gestion de la pandémie. Le serment d’Hippocrate en bandoulière, Dr Moussa Seydi et ses autres collègues avaient pourtant réussi à guérir 715 patients. Mais, leurs efforts et autres audaces entrepris risquent de voler en éclat.

Et pour cause, «leur» Chef a décidé et/ou contraint de céder à la pression maraboutique au moment fatidique. En effet, le Sénégal compte à la date d’hier, lundi 11 mai, 1151 malades sous traitement, dont 19 décédés.

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