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vendredi, avril 19, 2024
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Dame Mbodj : « La décision qu’il fallait prendre, c’est de décreter l’année blanche; le contraire serait très risqué »

par admin

Le président de la République vient d’achever  son discours à la nation lors duquel plusieurs points ont été évoqués, notamment la réouverture des mosquées dans le respect des règles d’hygiène, le réaménagement dans les horaires du couvre-feu et aussi sur la reprise des cours. 

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Les syndicalistes dans le domaine de l’éducation se sont prononcés sur ces mesures, notamment le secrétaire général national du Cusems/Authentique qui estime que « les décisions que le chef de l’Etat a prises sont simplement incohérentes et à la limite, catastrophiques ».

En effet, pour le syndicaliste, il était attendu du président qu’il décrète  l’année blanche car, nous le savons tous, l’école sénégalaise a suffisamment perdu de temps avec presque 5 mois qui se sont écoulés. « Les conditions dans lesquelles nous allons nous trouver après la reprise des cours ne pourrait pas permettre de finir l’année dans la quiétude. » 

Dame Mbodj réaffirme alors que toute autre décision différente de celle qui décrète l’année blanche, serait risquée car le virus se propage terriblement…

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En effet, pour le syndicaliste, il était attendu du président qu’il décrète  l’année blanche car, nous le savons tous, l’école sénégalaise a suffisamment perdu de temps avec presque 5 mois qui se sont écoulés. « Les conditions dans lesquelles nous allons nous trouver après la reprise des cours ne pourrait pas permettre de finir l’année dans la quiétude. » 

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Les syndicalistes dans le domaine de l’éducation se sont prononcés sur ces mesures, notamment le secrétaire général national du Cusems/Authentique qui estime que « les décisions que le chef de l’Etat a prises sont simplement incohérentes et à la limite, catastrophiques ».

En effet, pour le syndicaliste, il était attendu du président qu’il décrète  l’année blanche car, nous le savons tous, l’école sénégalaise a suffisamment perdu de temps avec presque 5 mois qui se sont écoulés. « Les conditions dans lesquelles nous allons nous trouver après la reprise des cours ne pourrait pas permettre de finir l’année dans la quiétude. » 

Dame Mbodj réaffirme alors que toute autre décision différente de celle qui décrète l’année blanche, serait risquée car le virus se propage terriblement…

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par admin

Le président de la République vient d’achever  son discours à la nation lors duquel plusieurs points ont été évoqués, notamment la réouverture des mosquées dans le respect des règles d’hygiène, le réaménagement dans les horaires du couvre-feu et aussi sur la reprise des cours. 

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En effet, pour le syndicaliste, il était attendu du président qu’il décrète  l’année blanche car, nous le savons tous, l’école sénégalaise a suffisamment perdu de temps avec presque 5 mois qui se sont écoulés. « Les conditions dans lesquelles nous allons nous trouver après la reprise des cours ne pourrait pas permettre de finir l’année dans la quiétude. » 

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