La sortie du président de la République Macky Sall annonçant les mesures d’assouplissement dans le cadre de la lutte contre la maladie covid-19 a trouvé écho favorable auprès de l’économiste Meïssa Babou. «Je crois que la décision du président de la République consistant à desserrer l’étau est très courageuse autour des grandes surfaces de distribution, des marchés, des marchés hebdomadaires communément appelés ‘’loumas’’ et du couvre-feu pour permettre aux travailleurs à continuer de travailler», a-t-il déclaré. Selon l’économiste et enseignant à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar «certes, à coup sûr nous allons perdre quelques points de croissance, mais ceci…
Auteur/autrice : admin
Il aura tenu un mois, deux semaines, 3 jours avant de craquer. Le 23 mars dernier, le président de la République avait pris des mesures dans le but de freiner la propagation du Covid-19 au Sénégal. Il déclenche alors l’état d’urgence, suivi d’un couvre-feu (de 20 h à 6h), ainsi que la fermeture des lieux de culte, des marchés hebdomadaires (loumas) et l’interdiction des déplacements inter-régions. A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but…
Il aura tenu un mois, deux semaines, 3 jours avant de craquer. Le 23 mars dernier, le président de la République avait pris des mesures dans le but de freiner la propagation du Covid-19 au Sénégal. Il déclenche alors l’état d’urgence, suivi d’un couvre-feu (de 20 h à 6h), ainsi que la fermeture des lieux de culte, des marchés hebdomadaires (loumas) et l’interdiction des déplacements inter-régions. A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but…
Il aura tenu un mois, deux semaines, 3 jours avant de craquer. Le 23 mars dernier, le président de la République avait pris des mesures dans le but de freiner la propagation du Covid-19 au Sénégal. Il déclenche alors l’état d’urgence, suivi d’un couvre-feu (de 20 h à 6h), ainsi que la fermeture des lieux de culte, des marchés hebdomadaires (loumas) et l’interdiction des déplacements inter-régions. A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but…
Il aura tenu un mois, deux semaines, 3 jours avant de craquer. Le 23 mars dernier, le président de la République avait pris des mesures dans le but de freiner la propagation du Covid-19 au Sénégal. Il déclenche alors l’état d’urgence, suivi d’un couvre-feu (de 20 h à 6h), ainsi que la fermeture des lieux de culte, des marchés hebdomadaires (loumas) et l’interdiction des déplacements inter-régions. A l’époque, le Sénégal comptait 79 cas déclarés positifs, dont 6 cas importés, 2 contacts suivis et 4 cas issus de la transmission communautaire, 8 guéris et 71 sous traitement. Toujours dans le but…
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