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APR, les défis du Président

Par admin11 juillet 2020Aucun commentaire363 Vues
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La vie de l’Alliance pour la République (Apr), créé le 1er décembre 2008 par l’actuel président de la République avec certains de ses anciens camarades du Parti démocratique sénégalais (Pds), est tout sauf un long fleuve tranquille. La structuration horizontale du parti qui place son président Macky Sall comme la seule constance alimente depuis sa création des dissensions parfois sous fond d’invectives entre responsables dont la dernière en date est celle avec la diffusion des enregistrements audios de Moustapha Cissé Lô.

L’affaire de la diffusion des enregistrements audios dans lesquels, Moustapha Cissé Lô, 1er vice-président de l’Assemblée nationale et membre fondateur du parti présidentiel, l’Alliance pour la République (Apr), tenait des propos déplacés contre certains de ses camarades de parti dont le président Macky Sall remet au goût du jour le débat sur l’organisation de cette formation politique.

Créé le 1er décembre 2008 par l’actuel président de la République avec certains de ses anciens compagnons du Parti démocratique sénégalais (Pds), poussés avec lui à la porte de la formation de Me Abdoulaye Wade, dont Moustapha Cissé Lô, l’Apr a toujours fonctionné comme une véritable armée mexicaine. Sa structuration horizontale qui met tout le monde, militants et responsables, sur la même ligne au service et aux ordres d’un seul et unique chef de guerre, en l’occurrence Macky Sall président du parti, avait fini de montrer ses limites.

En effet, du fait de l’absence de cadre ou d’organe de concertation interne, c’est sur la place publique que le linge sale de cette prairie marron et beige est lavé. Depuis 2012, difficile de rester un mois sans que la presse ne fasse écho d’une guéguerre entre responsables de l’Alliance pour la République ou d’attaques de ces derniers contre les adversaires politiques du président, parfois sur fond d’invectives. Et cela dans l’indifférence totale du commandant en chef de l’Apr. Déjà en 2013, on se rappelle des attaques de Mahmout Saleh, ministre conseiller auprès du président de la République contre Me Alioune Badara Cissé, ministre des Affaires étrangères et numéro 2 de l’Apr traité d’«opportuniste» et «traitre» qui «parasite la légitimité de Macky Sall».

À peine cette page tournée avec l’éviction d’Alioune Badara Cissé de son poste de chef de la diplomatie sénégalaise et de coordonnateur de l’Apr, une autre bataille par presse interposée sur fond d’accusation d’enrichissement illicite s’ouvre entre les députés Moustapha Cissé Lô, 1er Vice-président de l’Assemblée, et son collègue et camarade de parti, Farba Ngom, maire des Agnams. Il faut également souligner pour le cas de Moustapha Cisse Lô que l’homme est un adepte de la violence verbale qui tire à cœur joie sur tout ce qui bouge sous le regard bienveillant de son «ami» et «président» qui semble même prendre du plaisir dans ce qu’il fait au regard de sa fulgurance ascension politique qui l’a propulsé jusqu’à la tête du parlement de la Cedeao.

Dans la liste des victimes de ses injures, on y trouve en plus des camarades de parti, des adversaires politiques du président de la République dont le leader de Pastef, Ousmane Sonko, qui a été traité de rebelle après avoir été insulté de père. Toujours dans ce registre des attaques sous fond d’invectives menées par des responsables du parti au pouvoir, on peut aussi citer Hamath Suzanne Kamara, responsable de l’Apr et membre du réseau des enseignants dudit parti.

En janvier 2016, ce dernier s’était levé en pleine session de questions d’actualité au gouvernement pour abreuver d’injures le député Me El Hadji Diouf dont le seul tort a été de revendiquer avec certains de ses collègues leur droit à un groupe parlementaire. Ni l’un ni l’autre n’a été sanctionné ni politiquement encore moins pénalement pour ces actes posés qui sont pourtant punis par le code pénal. Mais, il a fallu attendre la diffusion de ces enregistrements audios qui sonnent comme le retournement du soldat mercenaire contre son général pour voir enfin la machine des sanctions politiques se mettre en marche contre le désormais ex-militant de l’Apr, Moustapha Cissé Lô.

… et des enquêtes de moralité
 
Le régime du président Macky Sall est émaillé par de nombreux heurts entre hauts fonctionnaires de l’Etat. Les dernières sorties déplacées de hauts responsables de la mouvance présidentielle, tout comme les collisions entre Secrétaires d’Etat et ministres de tutelle sur fond d’insubordination ont fini de poser avec acuité la lancinante question des enquêtes de moralité nécessaires pour la nomination à certains postes de responsabilité.

La scène est surréaliste. Des propos déplacés, à la limite, orduriers d’un Haut dignitaire du régime ont fait le tour de la toile donnant un sacré coup à l’image du gouvernement. Le plus triste est que cela ne semble surprendre personne, dans la mesure où les Sénégalais sont habitués à ce genre de propos au ras de pâquerettes, ou à de heurts entre responsables du régime du président Macky Sall.

L’on se rappelle de la Secrétaire d’État, Mme Fatou Tambédou, qui avait profité de la tribune de l’Assemblée nationale et des caméras et micros des radios et télévisions pour régler ses comptes à son ministre de tutelle, en l’occurrence Diène Farba Sarr. Si ce n’est Fatou Tambédou et Diène Farba Sarr, le duel à fleurets mouchetés est entre Souleymane Jules Diop alors secrétaire d’État des Sénégalais de l’extérieur et son patron, le ministre Mankeur Ndiaye. Le ministre et le Secrétaire d’Etat se sont donné en spectacle et cela avait fini par déborder dans les médias.

Souleymane Jules Diop s’en était pris violement, dans les réseaux sociaux, à Mankeur Ndiaye. Ce qui n’avait laissé aucun choix au chef de l’État que de le limoger, le 18 août 2015, du poste de secrétaire d’État en charge des Sénégalais de l’extérieur. Mais cela n’a duré que le temps d’une rose parce qu’il a été recasé quelques temps après comme ministre en charge du Programme d’urgence de développement communautaire (Pudc). Des exemples de ce genre foisonnent avec le régime de Macky Sall. Que dire en effet du duel entre Moustapha Diop et Mariama Sarr ? Quid des rapports tendus entre Youssou Touré et Serigne Mbaye Thiam, anciennement ministre de l’Education ?

A ne pas oublier le clash entre Yakham Mbaye et Mouhamadou Makhtar Cissé, directeur de Cabinet du président de la République, ou encore le ministre de la Culture et de la communication, Mbagnick Ndiaye, et son secrétaire d’État, Yakham Mbaye. Autant de différends et autres dissensions causés par des refus de subordination vis-à-vis de la hiérarchie, qui ont fini de persuader les observateurs que le président Macky Sall procédait à des nominations par défaut, tellement certains d’entre eux étaient des novices dans ces fonctions importantes et que les écarts de langages font florès.

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