Fermer le menu
DAKARMATINDAKARMATIN
  • Accueil
  • Actualités
  • Politique
  • Economie
  • Société
  • International
  • Sport
  • Chroniques
  • People
Facebook X (Twitter) Instagram
Urgent
  • Paris sportifs en ligne: quels risques pour les jeunes ?
  • Ambiance balnéaire à Dakar : La plage de Ngor, une baie de détente populaire
  • Birame Souleye Diop révèle : « plus de 200 sites d’hydrocarbures sont clandestins »
  • Sénégal – Mines : Birame Soulèye Diop révèle pourquoi 95 % des demandes de titres sont rejetées
  • Blanchiment de capitaux présumé : La CENTIF ouvre une enquête sur des paiements de 6,7 milliards de FCFA à un cabinet français
  • Pool judiciaire financier (Pjf) : Amy Samaké et la Dage du ministère des Télécommunications arrêtées
  • Scandale financier au ministère du Numérique : deux hautes responsables arrêtées, l’ancien ministre Me Moussa Bocar Thiam cité
  • Ecoles Hlm 4 et Ibrahima Diop de Dakar : Moustapha Guirassy prévoit de rénover ces établissements
  • Village artisanal de Dakar : Soumbédioune, un musée à ciel ouvert
  • Diaspora bonds : l’or du Sénégal de demain (par Lamine Niang)
  • Le cabinet Lazareff, Promo Consulting et le rapport de la Centif : Un signalement de Tracfin a tout déclenché.
Facebook X (Twitter) Instagram
DAKARMATINDAKARMATIN
Bannière Dakar
  • Accueil
  • Actualités
  • Politique
  • Economie
  • Société
  • International
  • Sport
  • Chroniques
  • People
DAKARMATINDAKARMATIN
Home»Actualités»Société»Non atteinte de l’autosuffisance en riz : Le Pnar indexé
Société

Non atteinte de l’autosuffisance en riz : Le Pnar indexé

Par admin9 mai 2020Aucun commentaire26 Vues
Facebook Twitter Pinterest LinkedIn WhatsApp Reddit Tumblr Email
Share
Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email
Ecoutez l'article

Lancé en 2014 par le président de la République Macky Sall dans un contexte international inhabituel où les plus grands exportateurs de riz, comme l’Inde, étaient devenus progressivement des importateurs, le programme autosuffisance en riz au Sénégal en 2017 reste encore une équation difficile à résoudre. Malgré des centaines de milliards injectés dans des programmes comme le Programme national d’Autosuffisance en Riz (Pnar), l’impact réel en termes de production n’est toujours pas au rendez-vous. Six ans après, Sud Quotidien interpelle des spécialistes et acteurs du milieu agricole, dans un contexte de Covid-19 où la résilience alimentaire se pose avec plus d’acuité encore.

OMAR NDAO FAYE, CHERCHEUR A L’ISRA : «IL EST TEMPS DE REVOIR OBJECTIVEMENT ET SCIENTIFIQUEMENT LES PROBLEMES»

Omar Ndao Faye, chercheur à l’Institut Sénégalais de recherches agricoles (Isra), spécialiste en sélections variétés riz, est d’avis que «la dernière version (2014) du Programme national d’autosuffisance en riz (Pnar) n’est pas reluisante». Au départ, explique-til, «l’objectif était de 60 000 ha en une saison et annuellement 120 000 ha ». C’est pourquoi, fait-il observer : «Si en 2020 l’on parle de 50 000 ha comme record, je pense très sincèrement qu’il y a urgence de s’asseoir pour revoir ensemble les problèmes». Pour ce spécialiste en sélections variétales en riz, à l’Isra de Saint Louis, «l’urgence s’impose de voir objectivement et scientifiquement les problèmes en termes de développement et moyens financiers injectés pour atteindre un objectif jusqu’ici chimérique». Et d’ajouter: «J’avoue que le gouvernement a mis beaucoup d’argent dans le Pnar, mais jusqu’à présent, les résultats ne sont pas au rendezvous». Il en appelle donc à «une évaluation ». Et d’asséner une conviction «Tant qu’un diagnostic profond et transparent n’est pas fait, l’autosuffisance en riz au Sénégal ne sera qu’un vœu pieux».

DE GRANDS PAS DANS LA SELECTION ET LA PRODUCTIVITE DES SEMENCES

Sur la question semencière, Omar Ndao Faye, spécialiste en sélection riz, convoque ses propos de 2016. Il affirmait alors que « La recherche est fin prête pour accompagner l’autosuffisance en riz». Suite aux travaux effectués, il constatait : «Nous avons des variétés qui sont en train d’être diffusées et qui, au niveau rendement, montrent qu’on a des potentialités beaucoup plus fortes aussi bien au niveau de la vallée qu’à l’échelle nationale». Mieux, fait il remarquer, «pour la saison pluviale, nous sommes en train de tenter des variétés pluviales de plateau, de 70 jours». Il précise que la même chose «est en train d’être fait au niveau des bas-fonds avec des variétés hybrides qui donnent de bons rendements». Relevant que de « grands pas » ont été faits, Omar Ndao Faye affirmera que des recherches sont en train d’être menées pour «les variétés adaptées à la sécheresse et à la salinité».

BABA DIALLO, PRODUCTEUR DE RIZ DANS LA VALLEE : «Il faut auditer le Pracas et le Pnar»

Baba Diallo, producteur de riz dans la vallée, conseille pour sa part le président de la République, Macky Sall, d’auditer d’abord les deux programmes que sont le Programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (Pracas) et le Programme national d’autosuffisance en riz (Pnar) qui ont englouti des centaines de milliards sans de réels impacts. Il n’en revient pas encore de la situation qui s’offre à ses yeux. Aussi s’est-il exclamé : «Je suis estomaqué de voir autant d’argent injecté dans le Programme d’autosuffisance en riz depuis lors sans de réels résultats ». A cause de tout cela, il «demande au chef de l’Etat de garder d’abord ces 20 milliards annoncés pour «assurer» l’autosuffisance alimentaire au Sénégal post Covid-19 et de faire auditer le Pracas et le Pnar, deux programmes qui ont englouti des centaines de milliards depuis des années sans résultats escomptés». Pour lui: «un pays qui aspire à l’émergence, au développement doit nécessairement bâtir ses politiques publiques sur la gestion axé sur les résultats (Gar)». D’où l’importance de se donner «la peine de faire l’évaluation des actions réalisées». Le constat est amer puisque, fera-t-il remarquer, «dans ce pays, c’est l’inverse qui marche». Et sous ce rapport, dirat-il: «J’estime que c’est inacceptable de dérouler un programme sans rendre compte et au même moment continuer à gérer les deniers publics de manière opaque».

LA VOLONTE POLITIQUE N’EST PAS SINCERE

Au regard de ce qu’il constate sur le terrain, Baba Diallo déplore «un manque réel de volonté politique à faire un bond en avant ». Ce qui lui faire dire que : « Tant que les rôles seront intervertis, difficile sera le chemin vers l’autosuffisance en riz». En clair: «Que les politiques fassent la politique, les producteurs produisent, les chercheurs se consacrent à la recherche, le gouvernement joue son rôle d’organisation, de contrôle et surtout de respect des règles édictées pour parvenir à un objectif clairement affiché». A défaut, souligne Baba Diallo, c’est courir le risque de voir «des politiques bien rangés du côté du pouvoir s’introduire dans le secteur agricole uniquement pour capter les ressources allouées à la subvention des intrants, à l’accompagnement des producteurs au vu et su des autorités étatiques».

ABOUBACRY SOW, DG DE LA SAED : «1.015.000 tonnes de paddy produits»

Interpellé sur le fait que l’objectif de l’autosuffisance en riz en 2017 n’est toujours pas atteint, le Dg de la Société d’aménagement et d’exploitation des terres du Delta et de la Vallée du fleuve Sénégal (Saed), Aboubacry Sow, rétorque que «l’Etat, à lui seul, ne peut tout supporter». Selon le Dg: «En 2014, on ne produisait pas plus de 300.000 tonnes de riz de paddy au Sénégal. La vallée à elle seule, donnait quelque 250 000 tonnes et le reste était produit dans le Sud du pays (Anambé et autres rizières)». Ainsi, il fait remarquer qu’«en 2017, nous avons atteint 1.015.000 tonnes de paddy produits». Se félicitant de ce résultat «remarquable», il poursuit: «Tout ceci a été rendu possible grâce au Pracas, avec l’avènement des cultures pluviales. Et l’apport des cultures pluviales était de 53% contre 47% pour les cultures irriguées. Tout le contraire dans le programme initial qui prévoyait 57% pour les cultures irriguées contre 43% pour les cultures pluviales».

URGENCE D’ATTEINDRE LA SOUVERAINETE ALIMENTAIRE

En visite sur des périmètres emblavés dans la vallée du fleuve Sénégal le week-end dernier, Aboubacry Sow, Dg de la Saed indiquait que «la pandémie du Covid-19 qui a fini de gagner tous les pays du monde, avec une quasi paralysie de l’économie mondiale, montre à suffisance qu’il faudrait que nos pays soient autonomes du point de vue de leur alimentation».

Le Dg de la Saed de rappeler que «depuis 2012, le Sénégal s’est engagé dans cette perspective par la mise en place du programme d’autosuffisance alimentaire en riz dans la vallée, ainsi que le Programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (Pracas)». M. Sow a ainsi relevé que «le chef de l’Etat, en Conseil des ministres, avait donné des instructions pour aller vers cette souveraineté alimentaire, pour toutes productions alimentaires, notamment les produits céréalières et horticoles (en 2014)». Pour lui, «Cette souveraineté alimentaire » est «la seule voie de salut pour notre pays pour faire face à ces événements qui peuvent arriver et qui sont imprévisibles».

WALY DIOUF, COORDONNATEUR DU PNAR : «Le Sénégal est en bonne voie pour l’autosuffisance en riz»

L e coordonnateur du Programme national d’autosuffisance en riz (Pnar), Waly Diouf, est plus que jamais convaincu que l’autosuffisance en riz est juste une question de temps. Ainsi, dira-t-il: «Le Sénégal est en bonne voie pour l’autosuffisance en riz. Il est plus que nécessaire de ne jamais dormir sur ses lauriers, mais au contraire, rester toujours engagé pour poursuivre la construction de la chaine de valeur riz national car, il y va de notre souveraineté». Pour se convaincre de la bonne voie, il soutient : «Je peux citer, sans être exhaustif, le fait que le Sénégal qui importait de la semence est devenu autosuffisant et même prêt à exporter ; le niveau de mécanisation et particulièrement la motorisation des activités de production est inédite ». Et de poursuivre : «les difficultés liées à l’écoulement des eaux en riziculture irriguée sont grandement améliorées ; les aménagements ont fortement augmenté en riziculture irriguée et pluviale ; le niveau de production de riz paddy et de riz blanc a très fortement augmenté ; la qualité du riz sénégalais n’a plus rien à envier à n’importe quel riz à travers le monde». Pour Waly Diouf, « le riz sénégalais d’excellente qualité est désormais commercialisé partout sur le territoire national et toute l’année etc…»

En six ans, le Pnar a reçu de l’Etat plus de 75 milliards

A en suivre Waly Diouf, tout ceci a été rendu possible grâce à l’appui financier conséquent de l’Etat: «Entre 2014 et 2019, l’Etat du Sénégal a investi, sur ressources propres, plus de 75 milliards dans la riziculture pour améliorer le niveau d’accès des producteurs aux intrants de qualité, renforcer et moderniser les équipements de production, de récolte et de transformation, améliorer la maitrise de l’eau agricole ainsi que les services de conseil, sans compter l’apport des Partenaires Techniques et Financiers». Le coordonnateur du Pnar n’a pas manqué de relever le diagnostic qui a été fait en 2014 sur toute la chaine de valeur riz et qui ressortait beaucoup de contraintes de divers ordres. Parmi elles :«le déficit d’accès à des semences de qualité, le manque d’équipement, l’insuffisance des aménagements et le manque d’entretien des périmètres aménagés, le manque d’infrastructures de stockage, le déficit du conseil, etc.» Après avoir noté que «chaque action posée depuis lors est destinée à résoudre une ou plusieurs de ces difficultés»,

PROBLEMES D’ORDRE ENVIRONNEMENTAL ET INSTITUTIONNEL

Pour mieux appréhender la situation, M. Diouf indique qu’«on peut comprendre que la proximité de l’Océan Atlantique provoque la salinisation des terres, ce qui rend compliqué la pratique de la riziculture». Il y a, «aussi l’insuffisance de la pluviométrie dans la majorité des régions qui limite les performances que le Sénégal pouvait avoir dans la production de riz, car, le riz n’est pas une plante aquatique, mais aime beaucoup l’eau».

Il relève ainsi que «les contraintes d’ordre institutionnel sont plus relatives à l’insuffisance de ressources humaines, matérielles et financières». Auparavant, il renseigne qu’«en 2014, l’image de la riziculture sénégalaise était peu reluisante». A l’en croire, «dans la riziculture irriguée, en plus de la faiblesse des aménagements, s’ajoutaient des problèmes liés à l’écoulement des eaux d’irrigation et de drainage, au manque de tracteurs, de moissonneuses-batteuses, de rizeries aux normes, etc.»

Il constate que «la riziculture pluviale était abandonnée à ellemême, produisant peu avec un rendement très faible et un sous équipement honteux». Et d’ajouter: «aujourd’hui, grâce aux ressources massivement investies, beaucoup d’acquis ont été enregistrés dans la riziculture, même si l’objectif quantitatif d’arriver à 1,6 million de tonnes n’a pas été atteint». Ce qui explique selon Waly Diouf, que «le Président Macky Sall, soucieux d’anticiper sur les conséquences du Covid-19, a réitéré, à maintes reprises ces derniers temps, sa volonté déjà fortement affirmée, de voir le Sénégal autosuffisant en riz»

Partager Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Telegram Email
admin

Articles similaires

Paris sportifs en ligne: quels risques pour les jeunes ?

17 septembre 2025

Birame Souleye Diop révèle : « plus de 200 sites d’hydrocarbures sont clandestins »

17 septembre 2025

Sénégal – Mines : Birame Soulèye Diop révèle pourquoi 95 % des demandes de titres sont rejetées

17 septembre 2025

Blanchiment de capitaux présumé : La CENTIF ouvre une enquête sur des paiements de 6,7 milliards de FCFA à un cabinet français

17 septembre 2025

Pool judiciaire financier (Pjf) : Amy Samaké et la Dage du ministère des Télécommunications arrêtées

17 septembre 2025

Scandale financier au ministère du Numérique : deux hautes responsables arrêtées, l’ancien ministre Me Moussa Bocar Thiam cité

17 septembre 2025
En direct
Bannière
Plus lus

Logements sociaux : devenir propriétaire avec des mensualités dès 70 000 FCFA, annonce du DG de la SN HLM

15 septembre 20252 050 Vues

Bon maintenant ça suffit cette campagne de manipulation. Par Dr Mamadou Mansour Diouf

11 septembre 20251 837 Vues

Le Collectif Rappel à l’Ordre s’oppose à la nomination de Me Bamba Cissé et saisit des instances internationales

12 septembre 2025891 Vues

Parcelles Assainies : Daouda Traoré retrouvé sans vie dans une auberge, sa copine arrêtée

9 septembre 2025519 Vues

POOL JUDICIAIRE FINANCIER : Les dessous de l’affaire Waly

15 septembre 2025247 Vues

Lettre « Confidentielle » pour la liberation de Farba Ngom : Amsatou Sow Sidibé parle de « fuite » et menace

11 septembre 2025242 Vues

Scandale financier au ministère du Numérique : deux hautes responsables arrêtées, l’ancien ministre Me Moussa Bocar Thiam cité

17 septembre 2025227 Vues

2,5 milliards FCFA d’arriérés : les avocats commis d’office se désengagent progressivement

12 septembre 2025190 Vues

Mbour : Quarante jeunes Maliens condamnés avec sursis et sommés de quitter le Sénégal

12 septembre 2025175 Vues

Dr Babo Amadou Ba corrige Pape Malick Ndour : « Quand on est NUL, c’est pas pour une journée mais… »

15 septembre 2025152 Vues

Mac de Mbour : violents affrontements entre gardes pénitentiaires et prisonniers, trois détenus grièvement blessés

9 septembre 2025147 Vues
Ne ratez pas!
A la Une

Paris sportifs en ligne: quels risques pour les jeunes ?

Par Dakar Matin17 septembre 20258 Vues

Alors que les paris sportifs battent des records de popularité, l’association Addictions France tire la…

Ambiance balnéaire à Dakar : La plage de Ngor, une baie de détente populaire

17 septembre 2025

Birame Souleye Diop révèle : « plus de 200 sites d’hydrocarbures sont clandestins »

17 septembre 2025

Sénégal – Mines : Birame Soulèye Diop révèle pourquoi 95 % des demandes de titres sont rejetées

17 septembre 2025

Blanchiment de capitaux présumé : La CENTIF ouvre une enquête sur des paiements de 6,7 milliards de FCFA à un cabinet français

17 septembre 2025

Pool judiciaire financier (Pjf) : Amy Samaké et la Dage du ministère des Télécommunications arrêtées

17 septembre 2025

Scandale financier au ministère du Numérique : deux hautes responsables arrêtées, l’ancien ministre Me Moussa Bocar Thiam cité

17 septembre 2025
Suivez-nous
  • Facebook
  • Twitter
  • Instagram
  • YouTube
À propos de nous
À propos de nous

DakarMatin traite des principaux problèmes de notre temps sous un angle destiné aux spectateurs qui veulent en savoir plus sur le Sénégal en soulevant des sujets souvent ignorés par les médias grand public pour produire un contenu qui sort de l’ordinaire.
Ecrivez-nous: dakarmatin@gmail.com
Contact: (221) 33 825 25 17

Facebook X (Twitter) Pinterest YouTube WhatsApp
Derniers articles

Paris sportifs en ligne: quels risques pour les jeunes ?

17 septembre 2025

Ambiance balnéaire à Dakar : La plage de Ngor, une baie de détente populaire

17 septembre 2025

Birame Souleye Diop révèle : « plus de 200 sites d’hydrocarbures sont clandestins »

17 septembre 2025

Sénégal – Mines : Birame Soulèye Diop révèle pourquoi 95 % des demandes de titres sont rejetées

17 septembre 2025
Les articles populaires

Refus d’acquiescement de Sonko : la grosse erreur du président du tribunal de Dakar

17 octobre 202359 362 Vues

Affaire Ousmane Sonko : Me Ciré Clédor donne les deux raisons pour lesquelles son client a suspendu sa grève de la faim

3 septembre 202354 247 Vues

Embargo sur le Mali: Les Groupements Economiques du Sénégal annoncent 1348 camions en souffrance à la frontière avec le Sénégal

3 février 202246 437 Vues

Séquestration de Sonko : L’indignation de la Communauté Internationale

29 mai 202332 975 Vues
© 2025 DAKARMATIN
  • WEB RADIO
  • Web TV
  • Reportages
  • Scandales d’Etat
  • Chroniques
  • Religion
  • Culture
  • People
  • Contributions
  • Autour du Micro
  • Carte Blanche
  • Actualité des régions
  • Nouvelles Technologies

Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour effectuer la recherche. Appuyez sur Esc pour annuler.

pixel