Après un premier cas, l’Institut de recherche en santé, de surveillance épidémiologique et de formation (Iressef) a isolé un nouveau variant britannique du coronavirus chez une patiente de nationalité sénégalaise. En marge de l’ouverture d’une session de formation sur les Nouvelles générations de séquençages (Ngs) hier, le fondateur de l’Iressef a donné plus de précisions concernant cette découverte.
«Ce nouveau variant britannique qu’on a trouvé est caractérisé par sa vitesse de propagation. On a vu que sa propagation est 70 % plus rapide que le précédent », a révélé le professeur Souleymane Mboup. Selon lui, «ce variant existe et circule au Sénégal. Il circule à bas bruit, c’est-à-dire que le fait de ne pas le trouver ne signifie pas qu’il n’est pas là ».
Pour rappel, ce deuxième variant comporte huit mutations, comparé au premier qui en avait six.
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